Ghali Sarah, jeune enseignante et candidate à l’APW d’Oran sur la liste du mouvement El-Bina veut faire la différence.

En effet, dans un entretien accordé à notre journal, elle affirme que les propositions des autres candidats sont trop vagues et généralistes alors que le citoyen oranais souhaite voir ses problèmes quotidiens réglés ou du moins pris en charge sérieusement et pour certains dans l’immédiat, estimant que le citoyen souffre en silence et que ceux qui le représentent ne s’occupent que leurs affaires personnelles et les exemples sont légions, nous dit-elle.

Elle cite, pêle-mêle les désagréments qui préoccupe l’électeur comme la question de l’urbanisme clochardisé dont ceux en charge de ce secteur ne font pas assez d’efforts ou pas du tout pour l’harmoniser et empêcher les constructions anarchiques et la délivrance des permis de construire sans respect des règles le régissant.

Elle nous parle, également de l’anarchie régnant dans les marchés couverts s’interrogeant sur le fait que les commerçants les désertent pour étaler leurs marchandises sur les trottoirs avoisinants sans qu’aucune autorité ne daigne réagir.

La saleté ambiante qu’aucun responsable n’a pu éradiquer depuis des années et la voirie dégradée dans plusieurs endroits de la ville ont, aussi, été évoquées ainsi que la prise en charge des répercussions des intempéries qui font que la wilaya est inondée dès les premières pluies et se dit prête, à militer pour tenter de trouver de solutions à tous ces problèmes qui empoisonnent la vie des oranais.

Sarah Ghali est une universitaire détentrice d’un master2 en maths-informatique et porte le n° 41 sur la liste APW d’El Bina.

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Ali.B