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Le colonel Pomerot, de l’ambassade de France à Tunis, cheville ouvrière de l’exfiltration d’Amira Bouraoui

Dans l’affaire de l’exfiltration d’Amira Bouraoui ,certains responsables français racontent des bobards pour justifier cette opération « voyou »qui confirme la culture néocoloniale.
L’objectif visé par la diffusion des fakenews colportées par les médias inféodés à l’establishment français est de détourner  l’opinion publique des deux pays sur cet acte ignoble et de trahison.
Amira Bouraoui, une personne qui a de gros problèmes de structuration mentale est bel et bien entréE en France sans documents de voyage, sans papiers. Amira Bouraoui, a été admise sur le territoire français via l’aéroport de Lyon, avec le passeport de sa mère.
D’ailleurs, sa mère, a fait une déclaration de perte de son passeport, il y a huit jours ( est-elle victime ou complice).
La police des frontières PAF de l’aéroport de Lyon, a appliqué la loi en pareilles circonstances, en refoulant toute personne en situation irrégulière. Mais, les éléments de la police des frontières, ont été court-circuités par le colonel Pomerot, des services français en poste à l’ambassade de France à Tunis. Ce colonel a fait valoir auprès de la police des frontières de l’aéroport de Lyon, des instructions fermes pour l’exfiltration de Bouraoui, émanant du plus haut niveau de l’Etat français, sous-entendu, L’Elysée et le Quai d’Orsay. Les services français nous ont habitués à trouver tous les prétextes , arguments et motifs, lorsqu’il s’agit d’expulser des personnes, même françaises, comme c’est le cas pour les personnes jugées « dangereuses » que Gérard Darmanin comptait expulser vers l’Algérie, alors qu’elles n’ont aucun lien avec l’Algérie, excepté l’origine de leurs parents.
Aujourd’hui, les mêmes institutions françaises organisent des exfiltrations pour rapatrier leurs larbins
. L’opinion publique algérienne choquée par ce grave dérapage français , estime que la souveraineté algérienne a été bafouée. Les Algériens sont en colère, ils sont furieux et cette fois, ils ne vont pas se taire.
 

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