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La princesse Amira Dz, « reine de la belle », à la Antonio Ferrera: Qui exfiltre qui ? 

Par Boualem Snaoui

« Chouette ! » pour qui n’a pas vu  la mouette du régime glissant ses boulettes dans la résidence de la résistance anti- coloniale, en y laissant ses crottes démocratiques, comme pour annoncer l’atterrissage du « vol-planeur » au-dessus du nid de cou-cou, de la princesse Amira( dont le nom au masculin est Amir Dz), sous les ailes d’un colonel (Dawla Madanya) ?, venue rendre visite à la société civile de sa « matrie », dirigée par Bernard l’Hermite Emié, le patron des services « sucrés » de la « Fronce ». 

Exfiltrée d’Algérie, parai-il par le colonel Pomerot (c’est le nom de guerre d’un officier de la société civile), loin des doux services du pouvoir,  l’agent du système du FMI, la princesse (Amira Dz) Bouraoui, « reine de la belle », vient de surpasser la réputation d’Antonio Ferrara, surnommé le « roi de la belle », suite à son évasion spectaculaire de la prison de Fresnes, lors d’une opération-commando, au printemps 2003. Ce qui prouve que les records peuvent toujours être battus ! Et qui peut mieux faire que cette Amira Dz, princesse révolutionnaire  au service des mygales du grand « Kapital » ?  Les masses populaires, qu’elle rabattait vers le guet-apens colonial, découvrent médusées sa soudaine nationalité FrançAlgérie, voilée jusqu’à son exfiltration organisée par le portillon magique, et surtout démocratique,  à partir de leur Tunisie ennemie. 

Ah oui ! La grande révolutionnaire est une petite princesse « Amira » bien cachottière ! Et c’est à l’occasion de la « reine de sa belle » qu’elle a annoncé sa nationalité-surprise française, en un claquement de doigt, à Tunis en 2023; c’est là où règne le « Parant » André,  ancien ambassadeur de « Fronce » à Alger entre 2012 et 2014 qui, évidemment, ne la connaît pas, puisqu’elle a eu sa « baraka-t » à la même époque et faisait partie du lot  d’« opposants au rabais » fabriqué spécialement pour le peuple algérien afin de le mettre à genoux. Elle est donc l’un des produits commercialisés dans les épiceries politiques hard-discount, pour le peuple Algérien, comme la radio Meuuuuuh,  tenue par le moustache-pistache, le franchisé à « Quai »  d’Orsay. 

Au passage, selon un canard froissé du continent africain, le « Parant » routier du système de la « France à fric » surtout avec « Starkozy », a occupé le plus vaste et le plus beau des bureaux (Le seul bureau avec rez-de-jardin – du 2, rue de l’Élysée à Paris), sans Bob Bourgi, l’éminence grise du continent noir, avec Balkany. Il est aussi l’héritier de la politique de son « Parant » Philippe, conseiller spécial  du président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, et de son grand « Parant » lui aussi, André, ancien gouverneur du Gabon. Sa dulcinée, Maya Siblini, est aussi active, puisqu’elle est non seulement journaliste du système (RFI, France 24), mais qu’elle assure des formations « d’informateurs » avec l’agence française de développement médias -CFI-  (le même organisme à « Quai d’Orsay » qui finance la radio Meuuuuh !). Déjà, en 2014, elle avait été remerciée pour son aide apportée à la réalisation d’une émission à RFI, sur la jeunesse algérienne (à clochardiser ?), où étaient présents Adlène Meddi du « Point » levé (qui n’est plus à présenter à Bernard l’Hermite Emié, le patron des services qui auraient exfiltré la princesse « reine de la belle » Amira Dz), et Abdou Bendjoudi, présenté comme un super « printaniste » avant l’heure. 

Dans cette affaire de barbouzerie de Bouraoui,  qui ne doit pas plaire au pistache-moustache El Kadi, aujourd’hui  débusqué, qui a voulu coller son étiquette au Docteur A. Bensaada (dans le cadre du théorème raté d’inversion des valeurs et des rôles du « poison » d’avril), c’est le  silence au château hanté d’ « élisez » notre « O’ Macron », l’ami du pandémique Daoud 19, qui est paradoxalement  troublant !..  On entend le même silence assourdissant de la part de Bernard l’Hermite Emié, le chef des « exfiltreurs » et des « exfiltrés » en « Fronce »,  comme d’ailleurs celui de « l’excellence » pianiste François « La Goulette », ambassadeur du régime de Jupiter à Alger, qui joue de jolies mélodies stratégiques au fromage pour le peuple d’en bas (afin de détendre sa vigilance, avant le coup fatal). Remarque : pour l’orchestre de François « La Goulette », on pourrait proposer une flute à la « printaniste » Ahlem Gharbi, la cheftaine de la culture (du pain, du vin et du boursin, pour qu’ils aillent bien !)  « fronçaise » de changement climatique en Algérie (elle sait de quoi je parle), pour accompagner en musique la danse-du-ventre politique des recrues de la «Bleuite » moderne.

L’heureux François « La Goulette » vient de recevoir le décret de sa mise à la retraite, en date du 17 février 2023, contrairement à nous qui devons continuer à morfler avec ce régime; c’est le grand révolutionnaire Khaled Drareni, le détenu d’opinion de RSF (Reporter avec beaucoup de frontières) sans Robert Ménard, qui l’a annoncé pour le régime. Cet avant-dernier de l’information  ne risque pas d’être orphelin : il a déjà pris des photos avec d’autres employeurs ricains, qu’il a fièrement exposées sur la toile « d’araignée » ! 

Qui a dit que la princesse (Amira) révolutionnaire Bouraoui (Amir Dz au masculin), était un agent de la DGSE ? 

Surtout que maintenant, son avenir d’agent « sucré » est définitivement gravé dans les mémoires du bâti du monde entier, et pas seulement en Algérie !  D’ailleurs, pour prouver sa glorieuse et enviable réputation,  elle n’a pas tardé à se montrer sur les écrans-de-fumée du système officiel impérial, et à donner une télé-interview au Kamis, chez les barbus parisiens démocratisés, et jamais concernés par plus de 20 ans de législation anti-terroriste en « Fronce ». Dans ses fabrications déclaratives, la « reine de la belle », a expliqué qu’elle a choisi sa destination par hasard dans l’avion-planeur qui l’a déposée sur le Tarmac de l’aéroport Saint (alors qu’Exupéry a disparu en vol le 31 juillet 1944 au large des côtes marseillaises). Elle a déplié un argument juridique imparable : elle voulait « voler » dans les bras du système colonial, pour voir aller son fils en  France, car ce dernier éclaboussé du coup dans cette affaire par sa mère, ne pouvait pas aller voir sa génitrice, sous contrôle-judiciaire en Algérie. Une belle parade en sport politique.

Ils ont eu chaud pour leur révolutionnaire qui n’a pas jeté l’éponge, puisqu’elle a indiqué qu’elle repartirait bientôt dans le sens opposé (en Algérie, pour affronter le peuple qu’elle a trahi : traître d’un jour, traître pour toujours), sans doute après avoir fait le plein de légumes politiques et de bananes colorées qui déambulent à Paris, vu que les stocks commencent à s’épuiser de l’autre côté de la Méditerranée. 

Sans retenue, sans honte,  comme si les injures de cette fugitive, proférées à l’encontre du peuple algérien, ne suffisaient pas, elle vient déclarer que la « Fronce sauve ses citoyens » ; elle a osé insulter en direct : les éborgnés, les mutilés, les enfants agenouillés et humiliés, les salariés jetés à la rue, les sans-papiers parqués dans les centres de rétention du pays des Droits de l’Homme !  Les millions de citoyennes et de citoyens  qui bataillent contre le braquage social, contre les injustices généralisées dans notre société, et qui bravent les interdits pour sauver deux ans de leur vie, que le régime qui l’a  exfiltrée  veut nous voler. Elle a insulté tous les « justes » militants des droits humains en France et ailleurs; mais aussi Salah Hamouri, cet avocat franco-palestinien victime de la politique de nettoyage ethnique « démocratique », dont la prise de parole a été censurée au moyen de ciseaux toujours coloniaux à Lyon, sous la pression de son pouvoir « exfiltreur »  et de son système-employeur, juste avant  l’atterrissage de son avion-planeur. 

Ils sont en guerre, six fois !!!

Dans son parcours d’exfiltration concocté par les  laboratoires sombres de l’histoire, le système colonial aurait pu choisir une sortie par l’Ouest, qui n’aurait pas été étonnante de la part du royaume d’Israël et des généraux du palais.   De plus, Bob l’américain est de retour, et il aurait apporté son savoir-faire et-défaire  les ficelles de l’oncle Sam, qui tisse sa toile dans le sens des vents du chaos.  Mais non ! Les tenants des manettes du FMI (France-Maroc-Israël) lui ont mis les voiles à l’Est, pour briser l’entente populaire et la coopération entre les  peuples des deux Républiques encore debout (face aux « printemps ») dans le monde des monarchies « arabes », au service du régime des généraux de Tel Aviv. 

François Zimeray, une autre pièce-maîtresse de la barre politique directionnelle de Tel Aviv,  maître du barreau et du bateau, dans cette escapade de parade romanesque de leur princesse (Amira Dz) révolutionnaire Bouraoui (qui  figurera peut-être  dans le prochain film en préparation pour « Cendrillon » Bouraoui au carrosse volant) a été aussi cité comme partie-prenante essentielle dans cette exfiltration ! Il s’agit d’un ancien eurodéputé socialiste (encore une production du Parti Socialiste !) au Parlement Européen, dont le riche CV politique a été étalé par plusieurs contributeurs en dehors de l’hexagone, mais est impossible à dérouler à Paris, puisqu’on vit en démocratie. 

Pour ne pas trop exciter le système, qui m’a fait bénéficier de ses nombreux bienfaits démocratiques, je peux juste dire que François Zimeray, l’ « exfiltreur » judiciaire de la princesse révolutionnaire Amira Dz Bouraoui, proche de l’élite des régimes, n’en est pas à son premier coup d’essai révolutionnaire ! En effet, il a aussi été  l’avocat de Carlos Gohn, le PDG du mastodonte de l’industrie automobile Renault-Nissan et de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, inculpé au Japon pour des affaires financières salées et des enjeux géopolitiques transparents; il a été exfiltré de ce même pays le 29 décembre 2019. Comme tout le monde le sait, le Japon est une grande dictature, puisque F. Zimeray avait déclaré au « journal de l’automobile » (publication du 30 septembre 2019), qu’il était « inquiet sur la perspective d’un procès équitable ». Dans ce jeu énigmatique, qui n’est pas rapporté par Xavier « Le Driant court toujours derrière l’Algérie »,  le scénario d’exfiltration consacré à la révolutionnaire  Amira Dz a été amputé de la caisse musicale « Flight case » (une malle ou boîte pour instruments de musique politique) de résonance géostratégique, qui a servi à dissimuler Carlos Ghosn dans son évasion du pays du « soleil qui ne s’est pas levé ». On a dû faire avaler des hypnotiques puissants aux deux grandes dictatures : le Japon et l’Algérie.

C’est en 2010, dans le N° 129 du PI (Politique Internationale-organe de l’élite du monde de l’Oxydant, où j’ai déniché  Loulouwa AL-RACHID, une perle de l’OTAN qui a donc une assemblée parlementaire élue dans les coulisses) que François Zimeray a livré la feuille de route  « …la diplomatie se fixe comme objectif d’agir sur le réel, d’obtenir des changements concrets, alors il faut accepter l’idée d’une action plus discrète mais non moins résolue, faire le deuil de nos désirs narcissiques (l’« image de la France ») et prendre le monde tel qu’il est, avec l’ambition de participer à sa transformation » voilée. Ses « Echos » du marché des affaires des droits de l’hommiste  nous sont parvenus grâce à l’encre de  Delphine Iweins, le 15 octobre 2018, sous un titre alléchant : « Avocats : droits de l’homme des affaires, la nouvelle tendance ». Il y a encore des questions à poser ? Surtout avec la corruption généralisée des « dépités »  du Parle-ment Européen de l’Arena Maria, « défonceuse » des Hommes et de leurs droits.  Le marché est partout et leur « Kapital » gère tout.  

Décrété ambassadeur pour les droits de l’Homme de « Fronce » par le système, sous le régime de Starkozy, le 15 février 2008 (décret paru au JORF le 16 février 2008), il a été dénoncé par une campagne de mails en direction du Ministère des Affaires étrange –ères, tenu par Bernard « couche-nerfs », l’un des acteurs des guerres de 4ème génération, voilées sous la fantastique  idée du « droit d’ingérence humanitaire », avec des sacs de riz sur le dos et sous les feux des caméras. Dans ce texte de protestation de sa désignation par le système, comme ambassador el matador de « défonce » des droits de l’Homme, on peut lire :  

  • M. Zimeray a été jusqu’à cette nomination (et il l’est peut-être encore) le vice-président de la ’Commission d’études politiques’ du CRIF. Il est également fondateur, avec le président du Fonds social juif unifié, d’une association de lobbying au niveau européen, intitulée « Medbrige ».
  • Selon le Canard Enchaîné du 20/02, « il est classé ’pro-israélien en diable’ par ses camarades socialistes ».
  • …cette nomination s’inscrit dans un vaste mouvement (y compris des personnes) en faveur d’Israël depuis l’élection de N. Sarkozy.

Dans le modèle de lettre de protestation proposé publiquement pour dénoncer cette nomination, il est précisé : « Alors qu’après sa nomination il a déclaré conserver toutes ses opinions et vouloir les mettre en œuvre comme Ambassadeur, il convient de relever que celles-ci contreviennent au droit international qui doit être applicable à tous les peuples en tous lieux, sans considérations personnelles de nature communautaire ou autre ». 

Le tuyau de « la nouvelle tendance des droits de l’Homme des affaires » est un bon filon pour celui ce « défonseur » classé ’pro-israélien en diable’, puisqu’il ne lâche pas l’affaire ! Et selon Thomas Cantaloube (dans une contribution du 29 janvier 2019),  l’élite de « Fronce »  a voulu le propulser au poste de très Haut-commissaire-adjoint aux Droits de l’Homme de l’ONU (HCDH, Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l’Homme) en janvier 2019, pour seconder Michelle Bachelet, l’ancienne présidente du Chili, et Haute-Commissaire de l’ONU aux Droits de l’Homme. La socialiste Michelle « Bachelor », du business des Droits de l’Homme, envisageait même d’intégrer F. Zimeray, qui aurait reçu l’appui du château de l’« Elisez». 

Thomas Cantaloube précise : « François Zimeray (main tendue, au centre), accompagnant Emmanuel Macron lors de la visite de ce dernier au Danemark en août 2018. C’est après cette rencontre que le président aurait décidé d’appuyer la nomination de l’ambassadeur au HCDH. © Reuters »

Cette initiative de l’élite « Fronçaise » à l’ONU a fait grincer des dents,  et selon Thomas Cantaloube,  le syndicat « CFDT du ministère déposera d’ailleurs un recours devant le Conseil d’État, contestant la manière dont son prédécesseur a été viré du jour au lendemain, sans respecter les formes. Elle ironisera également dans sa lettre mensuelle sur « le Quai d’Orsay, terre d’asile des recalés du suffrage universel, des amis d’amis et des courtisans de tous poils », citant nommément Zimeray », et d’ajouter : « François Zimeray remplit bien les trois cases moquées par la CFDT : ami, courtisan et réfugié du suffrage universel ». L’auteur ajoute, selon un observateur, qu’il y a un « agenda politique derrière la promotion de Zimeray : il y a la volonté de satisfaire Israël et de s’en prendre à l’agenda du HCDH ». 

Pour compléter le « pan clôt » (et non pas le complot) de la princesse révolutionnaire Amira Dz (héroïne de la banane coloniale des festoyeurs de guerre contre le peuple algérien), mais aussi de Xavier « Le Driant court toujours derrière l’Algérie », c’est le caméléon Louise Demitrakis, alias Abderrahmane Semmar, dit Abdou Semmar (propriétaire du site Algérie Part, ex-collaborateur de « Nicolas Joli », celui pour qui le royaume est « Beau »), qui, dans une diffusion, audio-vidéo(en date du 11 février 2023), nous apprend que l’activation des réseaux de diplomates (comprendre ce qu’il y a à comprendre) par François Zimeray, est l’œuvre d’un franco-algérien qui a le bras très très long et même à rallonge (il est même en lien avec le château hanté « Elisez » de « O’Macron ». Ce dernier, habitué des plateaux « merdiatiques » du régime en « Fronce », qui signerait des articles à l’encre noire dans le journal « Le Monde » du système, milite avec la banane coloniale dans les rangs des indigènes pour qui les temps des colonies n’est pas fini ; il aurait un riche, très riche carnet d’adresses avec les tenants des manettes de l’hexagone. Ce serait donc ce puissant  et imminent « polichinelle » de l’ombre (qui travaille activement pour une deuxième guerre d’Algérie) qui aurait accueilli la grande révolutionnaire Amira Dz  à son arrivée à Paris (gare de Lyon).   J’écris cela au conditionnel, puisque, courageusement, Louise Demitrakis n’a pas annoncé l’identité de ce robuste héros, sauveteur d’Amira Dz. 

Louise Demitrakis, qui, selon un internaute, n’est que l’autre pseudonyme de Skander Salhi dans la « presse » de leur ami le roi du hachich et du bakchich, divulguera peut-être le nom de ce Franco-Algérien au bras très long à rallonge dans le système « Fronçais » lors de son prochain passage sur le « Media » de Sophia Chikirou, cette « dépitée » à Paris ( pour  soupçons « d’escroquerie aggravée » avec sa société « fantomatique » de communication, « Mediascop » -rebaptisée l’Internationale –Marxiste ?- en 2019) de la LFI. 

L’informateur Théophile Kouamouo, du plateau bancal du « Media » (qui chantait la même mélodie que le trompettiste Skander Salhi, Louise Demitrakis ou encore Abdou « zemmar), a consacré une émission qui paraît cousue de fil colonial tordu ; comment n’a-t-il pas entendu le bruit assourdissant de toutes les casseroles que traîne son invité révolutionnaire, supporter du régime des généraux de Tel Aviv et du royaume enchanté du roi « Dagobert » qui cultive le hachich à l’envers ? Comme quoi le miracle existe bel et bien.  

Le féministe Théophile Kouamouo aurait pu inviter la journaliste Maud Le Rest, celle qu’il aurait sans doute traitée de « folle », ce qui aurait mis « toute la rédaction en état de sidération ». Il y a des opérations politico-médiatiques qui ne ressemblent à des missions pour combler  « un petit déficit structurel » de 30 000 à 50 000 euros mensuels, surtout après la condamnation pour « faute grave » de sa chaîne webtélé en collier, et  à plus de 300 000 €  d’indemnités, à l’automne 2020 par Denis Robert, son ex-directeur de rédaction. Il y a un commerce « arabe » qui sent « l’arbre » de Rachid M’Barki de Beur FM TV. 

J’espère que l’histoire de l’exfiltration de la révolutionnaire Amira Dz fera partie du « conte » de réconciliation des mémoires « colons-colonisés », au sein de la commission très encadrée par le grand mémorialiste du système, Benjamin Stora Bora. Son histoire sera beaucoup crédible en convoquant Madame le « Zelig d’or », la dulcinée de l’amphibien « Omar le crapaud fou » de RTS, celui qui faisait la promotion de la fumette du royaume du hachich sur le plateau de la radio Meuuuuh du Quai d’Orsay du barbouze El Kadi.  Après avoir vendu un entretien avec Louisa Lugan, l’autre voix de la « croix gammée » pour l’Algérie, Madame le « Zelig d’or »  se donne beaucoup de mal pour inverser les rôles entre les collabos (lkhbardjia) et les résistants, en oubliant juste que le traître d’un jour est un traître pour toujours. Cette souris qui grignote dans la main des puissants, pour abattre les travailleuses et les travailleurs, croit pouvoir se mesurer aux géants de l’histoire, et au Docteur A. Bensaada, après avoir été publiée par RSF (Reporter sous le règne de Robert Ménard) en 1996, sous un titre d’épicière de l’information que je refuse de reproduire dans cette modeste contribution. Ne cherchez donc pas, il n’y a aucun lien entre Ghania Mouffok et son éditeur Robert Ménard (RSF), l’auteur de « Vive l’Algérie française ». Le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? Ne le quitte pas. 

C’est la « fatwa » démocratique de son Jules que je voudrais lui renvoyer: « Si la fin de radio Meuuuuh pouvait nous débarrasser de ses dommages collatéraux, type Ghania Mouffok, le Zelig d’Or, le KD détenu d’opinion de RSF,  de Louisa Lugan, la paranoïa et autres consternations du boulevard des martyrs, ça serait bien ! Et on n’ose encore en rêver ». 

L’Histoire ne s’écrit pas seulement  au passé, mais au présent et même au futur, au dessus du mur des mensonges, du bluff, de la manipulation, de la mystification, des canulars,  de la tromperie ! Y compris de la mythologique Tin Hinan El Kadi, fille de son père, participante active au web-binaire, du 2 juin 2021, émission organisée par le « George C. Marshall European Center for Security Studies », l’un des 5 puissants centres militaires américains (DoD), partenaire du Ministère fédéral allemand de la Défense (FMoD). Il s’agit du  centre C. Marshall European Centre for security Studies, qui s’est consacré ce jour-là spécialement et singulièrement à l’Algérie. 

C’est Ghania Moufok, madame le « Zelig d’Or » qui va éclairer nos lanternes sur ce que mijote la fille mythologique Tin Hinan El Kadi, dans le dos du peuple algérien, au Chatham House du Royal Institute of International Affairs, dont la règle est : « Quand une réunion, ou l’une de ses parties, se déroule sous la règle de Chatham House, les participants sont libres d’utiliser les informations collectées à cette occasion, mais ils ne doivent révéler ni l’identité, ni l’affiliation des personnes à l’origine de ces informations, de même qu’ils ne doivent pas révéler l’identité des autres participants». Sans parler de cet Institut ISSRA qu’elle dirige avec Amel Boubekeur, une autre révolutionnaire de plateau, soutenues par toute une brochette de scientifiques d’encerclement politique du peuple algérien, dont le mémorialiste officiel du système, Benjamin Stora Bora.  

Quant au FIS, Ghilès (genre Spartacus pour les Romains ou Obélix pour les Gaulois) El Kadi, on ne peut pas dire que ce n’est pas le Trotskyste de son père, puisqu’il a les pieds et les mains trempés dans le cambouis de la Banque Mondiale, cette institution financière internationale qui ne nous veut que du bien, puisqu’elle pille les peuples sur terre.   On dirait que le Trotskysme ici est de famille, vu qu’on assure l’avenir de la progéniture sur le dos des peuples que l’on prend pour des veaux à diriger vers l’abattoir. 

Puisque l’assassin à dessins n’est pas là, j’en ai profité pour décrire ces personnages, qu’on nous présentait comme des hirondelles, mais qui sont en réalité des corbeaux qui ont perdu le maquillage et le coloriage qui tapissaient leur visage.

Qui exfiltre qui ? 

 

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