Echouant à mettre la main sur le Hirak béni, via la voie des périodes de transition synonyme d’usurpation de la volonté populaire, les pseudo-ténors ne lésinent pas sur les moyens pour y revenir au devant de la scène, pour plaire à leurs employeurs les commanditaires de l’exportation de la démocratie et du Regime Change.
Compte tenu de l’évolution que connaît le monde, via cette confrontation entre le gouvernement mondial, représenté par le néolibéralisme et ses valeurs d’Open Society cher au magnat Georges Soros, et le monde multipolaire, refusant l’hégémonie américano-sioniste et l’unipolaire. Le modus operandi du regime Change est tributaire des actions financées par la NDI relevant du département d’Etat américain et du Pentagone. Des actions qui tournent autour de l’exportation des démocraties , de la défense des « droits de l’homme » et de la « liberté d’expression » et qui ciblent uniquement les Etats-Nations et les pays qui refusent le diktat et l’hégémonie du monde unipolaire, dont l’Algérie.
D’ailleurs, ce n’est pas étonnant de voir certains salariés des officines étrangères hostiles à l’Algérie, revenir à la charge.
Parmi ces salariés, on y retrouve Ali Ait Djoudi et son ONG Riposte Internationale (RI) qui profitant de la crise diplomatique entre Alger et Paris en 2021, ont appelé à l’intervention militaire de l’OTAN pour démanteler l’Etat national en Algérie, à l’instar de l’intervention militaire en Libye en février 2011, sanctionnée par l’assassinat du leader libyen Mouammar El Gueddafi, et la pérennisation du chaos dans ce pays frère, dont la population ne s’est pas encore réveillée de ce cauchemar appelé « printemps arabe » .
Le 15 octobre 2021, la « Tartarine » du palais Bourbon, alias Marie-George Buffet, du PCF qui n’a rien à voir avec le PCF de Georges Marchais, ami de l’Algérie, organise, un colloque sur l’Algérie, au sein même de l’Assemblée nationale française dans le but d’appeler à une intervention militaire dans notre pays, deux jours avant la commémoration du 60ème anniversaire des massacres du 17 octobre 1961.
Selon l’expert des « révolutions colorées » chercheur et auteur du livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien ? »,l’Algérien Ahmed Bensaada, la « Tartarine » a réuni un aréopage de droitdelhommistes douteux, de sécessionnistes véreux, de syndicalistes fantoches et autres adeptes d’un Hirak frelaté pour… « renverser un pouvoir autoritaire » en Algérie!
Parmi les présents à cette réunion destinée à déstabiliser l’Algérie Ali Ait Djoudi, président de l’ONG « Riposte Internationale » qui vient d’annoncer la remise d’un rapport à l’ONU sur les droits de l’homme en Algérie. Ali Ait Djoudi et son ONG figuraient sur la liste des employés des officines étrangères qui avaient signé la pétition déposée au niveau du parlement européen le mois de novembre 2020 pour condamner l’Algérie sur le dossier des « droits de l’homme »
Riposte Internationale-MAK, même combat?
Comme le laisse deviner la similitude de l’identité du logo de l’ONG avec l’organisation terroriste le MAK, il n’est pas exclu que le salarié et trabendiste des « droits de l’homme » est plus proche de la stratégie destructrice du chaos du terroriste et maître-chanteur Ferhat M’henni.
Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).
Ali Ait Djoudi et Ferhat M’henni
Il convient de rappeler que l’ONG Riposte Internationale avait déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.
