La France officielle révèle de plus en plus son allégeance au Crif, et son hostilité aux musulmans et que les concepts de l’égalité, liberté et fraternité et la laïcité de la république, ne sont que de la poudre aux yeux pour servir la classe dominante des décisions, et qui ne sont pas lointaines du lobby sioniste.
La dernière décision discriminatoire et inégalitaire est la décision des autorités macroniennes, d’autoriser l’organisation des cérémonies religieuses liées aux fêtes chrétienne et juive de la Pentecôte, prévues le 29 mai prochain, quatre jours après la célébration de l’Aid El Fitr par les musulmans.
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, , a exprimé son indignation au sujet de cette décision qui installerait de fait l’inégalité des citoyens.
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, menace d’aller aux juridictions compétentes si la dérogation continue d’exclure la communauté musulmane, deuxième communauté en France.
Il faut rappeler, que la dérogation a été datée intentionnellement du 29 mai prochain, sachant que le confinement prendra fin le soir du 11 mai prochain.
Cela confirme que les citoyens musulmans, ou originaires de l’Afrique, Maghreb, Asie sont considérés comme des citoyens de seconde zone, le code de l’indigénat est dans l’inconscient collectif, et son abrogation nécessite de longues années de combat