Le préfet de police de Paris Laurent Nuñez a annoncé vendredi soir 23 février l’interdiction de trois rassemblements de contestation prévus dimanche 25 février à Paris, place de la République, organisés par les organisations terroristes du MAK, de Rachad , en raison de risques de troubles à l’ordre public .

Selon la préfecture de police de Paris, les organisateurs de ces rassemblements prévus ce dimanche sont le « Mouvement pour la justice et contre la corruption en Algérie », le collectif pour « la libération immédiate de tous les détenus et prisonniers politiques et d’opinion en Algérie » et le collectif « pour l’installation d’une assemblée constituante souveraine », et par un autre collectif, « Libérons l’Algérie ».

Des associations liées aux organisations terroristes de Rachad et le MAK, et qui bénéficiaient durant les cinq dernières années de toutes les facilités du préfet de police Laurent Nuñez, pour s’attaquer à l’Algérie, ses symboles et ressortissants algériens qui ne partageaient pas les visions des terroristes du MAK et de Rachad. Rappelons, sur ce registre, le comportement violent des membres des deux nébuleuses lors de la tenue des élections présidentielles de décembre 2019, et celles liées aux législatives et à l’amendement constitutionnel. Des algériens tenus par le devoir patriotique avaient été privés de leurs droits de s’exprimer librement par les terroristes du MAK et Rachad, devant les services de l’ordre français. Aujourd’hui, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez tentent de se donner une nouvelle virginité après avoir interdit trois rassemblements d’algériens qui tentaient de commémorer des évènements historiques liés au combat du peuple algérien, comme le rassemblement de la semaine dernière pour la commémoration de la journée nationale du Chahid coïncidant avec le 18 février, ou ceux de l’année écoulée en date du 19 mars et du 8 mai, pour la commémoration de la fête de la Victoire ou des massacres du 8 mai 1945.