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Francis Ghilès, joue le comparse d’un crocodile en pleurs

Francis Ghilès vient de publier un article dans lequel il fait son mea culpa, suite à la polémique suscitée par son intervention sur la chaîne subversive et propagandiste française, France 24, et l’indignation générée par ses mensonges, concernant un don chinois à l’Algérie pour faire face à la pandémie du Coronavirus.

En mauvais figurant ou comparse , il tentera via des pleurs de crocodile à jouer le romantisme d’amis d’algérien, et sur la fibre des origines de son grand père, l’imam qui s’est converti à l’Islam à l’occasion de la colonisation française (une thèse sur l’histoire coloniale de l’Algérie entre 1830 et 1834 de Francis Ghilès à Oxford).

L’article en question confirme l’incompétence de son auteur, qui piochera dans le registre de ses connaissances algériennes (mortes pour la ciroconstance) comme c’est le cas pour M’hamed Yazid, un brillant diplomate et patriote algérien, qui ne pouvait aucunement être un ami,;

Prétendant être proche de certains cercles diplomatique, militaire, ou industriel algériens, ;signifie que Sieur Francis Ghilès était proche des néocolonisés , issus de l’Etat profond et défenseurs de l’ingérence française en Algérie. Ce qui explique ses attaques violentes à l’égard du Feu Ahmed Gaid Salah, et l’actuel président de la République, fraîchement élu, Abdelmadjid Tebboune, farouches opposants à la main basse de la France en Algérie, et personnalités convaincus de l’Etat-Nation, issu des idéaux de la révolution du premier novembre et des sacrifices du peuple algérien.

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