En dépit de tentatives de déstabilisation actionnées à partir de l’autre rive de la Méditerranée, pour imposer et dicter un autre agenda que celui du retour à la légitimité des urnes, les Algériens, ont fait le grand saut, le 12 décembre 2019, en élisant, le candidat Abdelmadjid Tebboune, à la magistrature suprême.
Les Algériens, ont imposé leur volonté et leur choix en ce mémorable jour d’élections, mettant fin à des années de rapine, de gabegie et de délinquance politique.
Pour autant, est-ce l’aube d’une nouvelle ère ? Abdelmadjid Tebboune, le nouveau président de la République, a réussi son incroyable pari: se faire brillamment élire dans un scrutin libre en battant largement le candidat de l’establishment, le candidat du système qui a eu toutes les faveurs des partis maisons, des médias, des milieux d’affaires et même de certains pays étrangers.
Une première, dans les annales de la jeune et fragile démocratie algérienne ! Le candidat adoubé a été battu par le candidat du peuple et de la jeunesse. Oui, c’est effectivement le début d’une nouvelle ère, celle qui enterre la manipulation des résultats électoraux.
Fort, de l’appui de la majorité du peuple algérien qui lui a accordé sa confiance, le président Tebboune, a vite planté le décor d’une Algérie nouvelle. Désormais, le peuple algérien est le socle de cette nouvelle ère de par ses choix. Personne ne lui imposera ses choix ni ses représentants. D’ailleurs, tous les scrutins organisés dans la nouvelle Algérie en réel devenir, sont libres, transparents et réguliers. L’ère des fameux quotas est définitivement révolue. La confiance refait surface. Une forme de communion s’est installée depuis entre les Algériens, et leur président et c’est loin d’être une illusion d’optique !!!
