Une guerre interne de clans est remontée en surface au sein de la composante de l’équipe dirigeante du président français Emmanuel Macron, en place au palais de l’Elysée, dans la foulée du génocide du peuple palestinien perpétré par l’armée de l’entité sioniste. Cette information a été diffusée ce lundi matin 20 novembre par la radio Europe1 qui n’exclut àle recours du locataire du palais de l’Elysée un renouvellement conséquent, alors que ses prises de position sur le conflit Israël-Hamas ne font pas l’unanimité en interne.
Que se passe-t-il à l’Élysée ? s’interroge le média hexagonal, qui évoque les acrobaties d’Emmanuel Macron sur les bombardements sionistes de la bande de Gaza et qui font les gros titres dans la presse, en coulisses, l’ambiance au palais pose question.
Un article publié dans le journal Le Monde ce week-end a révélé une guerre de clans parmi les conseillers du chef de l’État. Dans son entourage, tout a l’air de virer au règlement de compte. De l’aveu d’un proche conseiller du président à Europe 1, « l’ambiance est délétère, à tous les niveaux ».
Ces querelles intestines sont notamment nourries par la défiance d’une partie de l’entourage de Macron à l’encontre de Frédéric Michel. Le conseiller spécial communication et stratégie dénonce lui-même dans les colonnes du Monde « des jalousies » et des « luttes de clans ».En conséquence, Emmanuel Macron pourrait être tenté par un grand chambardement. Son secrétaire général adjoint, Pierre-André Imbert, nommé ambassadeur en Australie, s’apprête déjà à faire ses cartons. Deux nouvelles têtes, Émilie Piette et Constance Bensussan, lui succèderont début décembre. Le directeur de cabinet, Patrick Strzoda, est aussi dit sur le départ à l’aube de ses 72 ans.
Il convient de rappeler, que plusieurs ambassadeurs de France accrédités dans les capitales du Moyen-Orient avaient adressé une lettre à Macron, faisant part de leur opposition à son attitude alignée sur la position sioniste dans le conflit israélo-palestinien.
