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ANALYSE, DÉCRYPTAGE

Hend Sadi « Samedi » au service des colons

Alors que l'on s'attendait à des révélations des secrets civils (et pas militaires) sur Mouloud Mammeri, l'aspirant de l'armée coloniale française, formé à l'Académie des officiers de Cherchell, de la part de Hend Sadi (celui qui vient de brosser un beau tableau de l'inventeur final des buchettes de Jacques Bénet, que personne ne lit, à l'occasion de la célébration de la 44ème année du complot "berbériste du 20 Avril 1980"), on a eu droit à une salve d'injures et d'insultes de la part de celui que la France-coloniale a élevé au grade d'intellectuel-indigène, presqu'à l'image de son mentor militaire.

Alors que l’on s’attendait à des révélations des secrets civils (et pas militaires) sur Mouloud Mammeri, l’aspirant de l’armée coloniale française, formé à l’Académie des officiers de Cherchell, de la part de Hend Sadi (celui qui vient de brosser un beau tableau de l’inventeur final des buchettes de Jacques Bénet, que personne ne lit, à l’occasion de la célébration de la 44ème année du complot « berbériste du 20 Avril 1980 »), on a eu droit à une salve d’injures et d’insultes de la part de celui que la France-coloniale a élevé au grade d’intellectuel-indigène, presqu’à l’image de son mentor militaire.

@54algerie

Désemparé face à ses contradicteurs, Hend Sadi le frère de Said Sadi,champion du berbérisme insulte ses contradicteurs ! Pour conclure cela Hendi Sadi c’est vous qui êtes ridicule et à fini ridiculisé ! #algeria #politique #berberisme #mak #kabylie #ⴷⵣⴰⵢⵔ #ⵜⴰⵎⵓⵔⵜ #tiziouzou #bejaia #alger #jijel #bordj_bou_arreridj #akbou #kabyle

♬ son original – ALGERIE54

Pour rappel, à ceux qui n’ont pas encore vécu de près cette opération « printanière » cousue par les colons, elle a été fabriquée par la France coloniale dans son laboratoire académique, et confiée à Mohand Arab Bessaoud, le braconnier-raquetteur des brasseries parisiennes, décrit par Michel Bole-Richard, dans le journal le « Monde » en date du 14 juillet 1980 (condamnation du 8 juillet 1980 de MA Bessaoud, par la 11ème chambre de la Cour d’appel du Tribunal de Paris). 

Différentes assemblées festives ont été préfabriquées, comme au temps des colonies par le régime de l’OAS français, épaulé par des néo-indigènes réclamant le statut de sous-hommes aux Algériens.
Au moment où Said « Samedi » Sadi (SSS), un autre acteur principal du complot berbériste de 1980, est allé festoyer avec « la fourchette » de Jacques Bénet à Toulouse, pour brunir la ville rose, après s’être pris en photo à Paris avec Sophia Chikirou (la dame socialiste de Haute-Savoie, et bras-droit del Commandante), pour fêter la politique du folklore, son frangin, mais surtout sa main ‘Hand’ Sadi, lui, est allé mathématiquement plaider la cause de la génétique en politique de sa “RACE” à Pontoise (Val d’Oise) dans l’après-midi du 20 avril 2024, en compagnie de trois personnages issus du même parti fasciste de “Croix de feu”, du berbériste Augustin Ibazizen. 

Durant cette séance de lapidation de l’Humanité (puisque ces « savants de toilettes » expliquaient à leur auditoire qu’il y a des populations tribales en Algérie à vendre, équipées de six pieds, qui existent depuis 2974, années -calendrier fabriqué par Amar Negazi, dit « Amar Chaoui » (alors que nous ne sommes, selon le calendrier grégorien qu’en 2024 et selon le calendrier de l’Hégire en 1445), Hacène Hirèche, le comploteur berbériste de l’organisation terroriste du MAK, et même d’avant (puisqu’il est l’un des acteurs principaux de 1980, qui a laissé sa griffe en préfaçant la compilation des textes du complot de 1980, édité par “Imedyazen” en 1986, dirigé par Arezki Hamami -un autre berbériste à six pieds-), a eu le courage d’avouer son appartenance au système colonial de la « France-Maroc-Israël » (FMI), en exprimant ouvertement son appui à la séquestration de Georges Ibrahim Abdallah, le plus vieux prisonnier politique en France.

Hend Sadi, quant à lui a, eu recours à l’injure et à l’insulte (« ridicule », « grotesque » : ce sont les propos de ce champion berbériste) pour faire face à la vérité, qu’il aurait cachée dans le beau décor des 31 pages cousues de fil blanc pour Mouloud Mammeri, celui à qui l’armée coloniale française a flanqué gratuitement des galons d’aspirant sur ses épaulettes, à l’école des officiers de Cherchell.

Pas de révélations donc sur la vie de Dada Thsen (leur « tonton ») Mouloud au Makhzen, hébergé gracieusement, dès l’âge de 11 ans par son oncle Mohamed (Lounès) Mammeri, dans le château de Mimi 5; pas de révélations sur ses relations avec Mohand-Arav-Bessaoud, que ce dernier brosse dans ses récits nauséabonds; pas de révélations sur ce qui ne dérange pas (l’absence de personnages algériens), Mouloud Mammeri chez Camus, avec lequel il a partagé au moins le professorat du philosophe Jean Grenier, à qui il avait dédié son premier livre « L’Envers et l’Endroit » (publié par Edmond Charlot en 1937 ,à Alger colonisée) ; pas de révélations sur son implication, en la bonne compagnie de Salem Chaker, dans le complot berbériste d’avril 1980; pas de révélations non plus sur ses galons de Docteur “Honoris Causa”, obtenus à la Sorbone en 1988, juste après le complot de 1980! En fait, rien de nouveau sous le « capot » de la politique de leur “RACE”, pour enfermer tout un peuple dans un maillage ethnique de galeries souterraines, fabriquées par l’armée française depuis Napoléon III, sous la direction du Mosellan René Basset qui a oublié de s’occuper des gènes des Alsaciens.

 Ce « co-matheux de  l’insulte » à ses contradicteurs, qui sème les graines de la haine, est un expert en calculs, surtout politiques. Il devrait s’attacher plutôt à inventer des bûchettes mathématiques à Jacques Bénet, pour enrichir l’alphabet finalisé par l’aspirant de l’armée française pour les « frisés », afin de construire un maillage de galeries de l’intelligence artificielle, encore plus profondes pour les « indigènes », toujours colonisés. D’où son commentaire, suite à son complot à la “Mammeri” avorté, vu qu’il ne voyageait pas dans la Peugeot 204 avec Salem Chaker, le détenteur de la machine à codes des “barbares” des « barbares ». C’est la raison pour laquelle il s’est plaint, en des termes complotistes, suite au coup-de-pied qu’il a reçu à Sidi-Aich, le 26 avril 2024, par la nation algérienne ! »En 1980 à Tizi-Ouzou, on avait interdit de parler à Mouloud Mammeri ». Il a donc voulu refaire le coup de la fourchette de Jacques Bénet de 1980, puisque la radio « Meuuuuuuh » du barbouze El Kadi, et la presse du Royaume du haschich (où a été hébergé son mentor-aspirant de l’armée coloniale française) sont venus à son secours!

On a bien compris que le système colonial de l’Algérie-française a voulu le faire passer pour Rima Hassen, (l’insoumise franco-palestinienne interdite de parole en France et poursuivie pour apologie du terrorisme), ou encore pour Muzna Shihabi (licenciée par les protecteurs de SSS pour son attachement aux droits de son peuple palestinien), ou encore mieux pour Stéphane Hessel (le libérateur de la France et l’un des acteurs de la rédaction de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme adoptée le 10 décembre 1948) l’indigné rescapé du camp d’extermination nazie de Buchenwald, à qui la colonie israélienne a interdit la parole à l’Ecole Normale Supérieure le 18 janvier 2001,  car il défendait les “Justes” Palestiniens. Le système pourrait peut-être charger ce scientifique de proposer aux Palestiniens du camp d’extermination de Gaza un plan pour lutter contre le réchauffement climatique, eux qui vivent le génocide du 21ème siècle devant les caméras du monde entier ! Ce serait plus utile pour justifier l’interdiction d’entrer en France de Ghassam Abu Sittah, médecin témoin direct des horreurs subies par les Palestiniens à Gaza, et crucifier Guillaume Meurice pour son humour non conforme aux normes médiatiques du système. 

On comprend pourquoi votre système « racialiste » se sent menacé par un humoriste. 

Il veut nous faire croire que c’est une lumière, celui que le système colonial biberonne douillettement, en compagnie des « coupeurs de têtes » du peuple algérien, en lui permettant de festoyer au « berbère » dans le pays où le peuple est clochardisé, les citoyens sont éborgnés, mutilés, assassinés, et où plus de 500 personnes (dont des députés) sont poursuivis pour apologie du terrorisme!!! On va éviter de lui flanquer sur la tronche une expression antillaise très populaire sur le poulet.

Connaissant la valeur mondiale de ces étranges bûchettes de Jacques Bénet (puisque personne ne les lit ni ne les comprend), Hend Sadi évite soigneusement d’en faire usage dans ses oeuvres poétiques de la politique sur l’aspirant de l’armée française, lequel lui même n’a pas tout à fait disserté avec son alphabet. Il a adopté la langue de Molière, comme pour sa famille, tout en injectant l’inculture avec ces bûchettes et l’histoire mensongère au peuple « d’en bas » afin de le maintenir dans l’obscurité scientifique des tunnels coloniaux souterrains! Il n’a pas d’inquiétude à se faire : il y en a d’autres dans l’air de ce temps des “maux de guerre” contre les peuples, dont  Benjamin Stora, le mémorialiste du système colonial, propose dans son rapport tronqué d’écrire, à partir du siège du colonialisme, l’histoire du peuple algérien, au moyen de ce même alphabet de Jacques Bénet. C’est sa façon de participer à arriérer, à abrutir la population, et par la même occasion nourrir les rangs du terrorisme de leur “Race” avec les bras cassés de leur parti-pris du néocolonialisme.

Ce mercenaire tribal intellectualisé, ennemi des peuples comme d’ailleurs toute la secte berbériste de la nébuleuse terroriste du MAK, fait semblant d’ignorer qu’il participe à la même croisière  politique identitaire du parti fasciste “Croix de feu” d’Austin Ibazizen  ainsi que celle de Bernard Lugan, l’autre fasciste moderne du royaume de Lucifer, ainsi qu’E. Zemour, Riposte-Laïque, les Identitaires, et toute la facho-sphère des maîtres de l’hexagone. Il veut aussi nous faire croire qu’il ignore qu’il est conçu scientifiquement dans les laboratoires coloniaux de l’impérialisme occidental, blanchisseur du génocide en cours en Palestine, dans le cadre du choc des civilisations de Samuel Huntington. Cet “Emir” du berbérisme n’est que le produit du colonialisme par l’évangélisation engagée par Napoléon III (à la fin du 19ème siècle), sous la direction de Charles de Lavigerie, évêque de Nancy nommé à l’archevêché d’Alger en 1867, et selon lequel l’Algérie : »« n’est qu’une porte ouverte par la Providence sur un continent barbare de deux cents millions d’âmes ? et que c’était là surtout qu’il fallait porter l’œuvre de l’Apostolat catholique ».

Dès sa nomination, Charles de Lavigerie, qui fonda la Société des Missionnaires d’Afrique (plus connue sous le nom de la Société des « Pères Blancs »), il désigna la région de la Kabylie (qui mobilisa presque toute son énergie) comme le foyer d’un grand projet d’évangélisation des habitants. Ce choix n’était pas fortuit, mais plutôt construit dans un cadre prévu, après le traumatisme, les souffrances, la pauvreté, la précarité et la marginalisation subis par les habitants, suite aux révoltes répétées contre le colonialisme depuis 1850; ceci jusqu’à la féroce répression faisant suite à l’insurrection lancée le 16 mars 1871 (appelée en kabyle Nnfaq [n] Urumi « l’insurrection du français » ou « la guerre du français ») menée par Cheikh El Mokrani, son frère Bou-Mezrag, ainsi que par le Cheikh El Haddad.

Exploitant la misère et la souffrance des populations meurtries par ce colonialisme monstrueux, les missionnaires, par leurs actions caritatives et scolaires, ciblaient les groupes sociaux les plus démunis (orphelins, veuves, marginaux, …), puisque plus accessibles. Trois voies de conversion ont alors été rendues possibles: par le baptême, par les soins médicaux, et par l’école.

A côté des deux principaux pôles (Fort-National -Larbaâ Nath Irathen- et Michelet – Aïn El Hammam) de missionnaires, Charles de Lavigerie dessina un espace géographique de conversion secondaire, touchant cinq tribus (Ath-Ismail, Ath-Menguellat, Ath-Yenni, Ath-Douala et Ouadhias). On ne peut pas dire que les missionnaires ont réussi leur œuvre civilisatrice du “choc des civilisations”, puisqu’en un siècle et demi, il n y a eu que quelques milliers de convertis, principalement en lien direct avec cette stratégie caritative.

 C’est sur la chaîne de la “Race” des “barbares” du berbériste Mohamed Sadi, et sous la direction de l’âme propagandiste “Tarwiht”, le 10 novembre 2022, que le raciste Mohand Ouramdane Khacer, l’un des farouches membres les plus actifs de cette secte identitaire de l’Académie de Jacques Bénet, s’est laissé allé sur son embrigadement juvénile. A la question : « comment es-tu devenu un identitaire ? », il répond qu’il a été initié, alors enfant scolarisé en 6ème, lorsqu’il était chez les « Pères Blancs » à Ath-Yenni (Benni Yenni), durant la colonisation. Membre actif de la secte identitaire de l’Académie de Jacques Bénet, il a crée, entre 1971 et 1975, une succursale chez les colons à Roubaix, dont le siège était au « 17 rue du Pays ». Mohand Ouramdane Khacer est l’un des experts des complots « berbéristes » qui se tramaient déjà au CRAPE d’Alger (Centre de Recherche Anthropologique Préhistorique et Ethnologique), organisme public dirigé par Mouloud Mammeri, aspirant de l’armée française. Dans leur lutte intestine, il a même revendiqué la paternité de l’académie de « l’Arabe » Mohand Bessaoud, sur la chaîne de la génétique de la politique des « barbares » 

Ce sont donc les « Pères Blancs » (Père Vialleton et Père De Somme (?)) qui lui ont inoculé, au moyen d’une photo mythologique, l’idéologie de la  » Race berbériste » nauséabonde qui a enfanté aujourd’hui le courant identitaire d’Augustin Iba- Zizen, issu du parti fasciste “Croix de Feu”, et le mouvement terroriste du MAK de Ferhat Meheni.

Il en est de même pour Taos Amrouche (membre de la secte de l’Académie des “barbares” de Jacques Bénet) et son frère, Jean Amrouche, acteurs berbéristes dont les parents : Antoine-Belkacem Amrouche (vers 1880-1958) et Marguerite-Fadhma Aït Mansour (vers 1882-1967) ont été tous deux baptisés et élevés par des pères et des sœurs catholiques dans leur jeunesse, avant leur mariage vers 1898. Ils obtiennent la nationalité française en 1914, au moment où on vivait sous le statut « d’indigène ».

Depuis les années 2000, les évangéliques « ricains », appartenant au courant sioniste de l’Eglise,  ont repris plusieurs fiefs aux « Pères Blancs » et ont ouvert une quarantaine d’Eglises Protestantes en Algérie (EPA), principalement dans la même région, où leur prosélytisme bat son plein. Fatiha Kaouès et Karima Dirèche, deux sirènes du clocher, en font la promotion dans la presse et les sciences néocoloniales.

 On espère maintenant que Monsieur Hend “Lundredi” a retrouvé sa mémoire d’identitaire de “zouave” de Louis Juchault de Lamoricière, glorifié hier comme aujourd’hui par la France restée idéologiquement toujours coloniale et que Lucien de Montagnac, officier français responsable de nombreux massacres à l’encontre des populations civiles, décrit avec enthousiasme le 1er février 1841 : « Vive Lamoricière ! Voilà ce qui s’appelle mener la chasse avec intelligence et bonheur ! […] Ce jeune général, qu’aucune difficulté n’arrête, qui franchit les espaces en un rien de temps, va dénicher les Arabes dans leurs repaires, à vingt-cinq lieues à la ronde, leur prend tout ce qu’ils possèdent : femmes, enfants, troupeaux, bestiaux, etc. »

C’est Aomar MOHELLEBI, le « disserteur » public de Jacques Bénet  dans le canard de « l’Expression » d’Algérie, qui a trouvé -Youpiii – le 03 janvier 2021, que le racketteur Mohand l’Arab Bessaoud est le principal fondateur de l’Académie  des « barbares » à Paris ». Il ne lui reste plus qu’à prouver que Nadia Berdous et Malika Assam, deux têtes chercheuses qui ont fait un travail scientifique dans les fabuleuses galeries souterraines du » berbérisme », ont fait partie des scientifiques qui ont fait voler les villageois algériens de la région de Kabylie, dans les cavités de l’ethnicisme en mode « Montagnes Russes » du train d’enfer colonial.  La première, à partir de l’université « Pasquale Paoli », où la langue Corse est interdite, a produit une thèse MAKAK qui a dû beaucoup plaire à François Alfonsi, promoteur de la « régression inféconde » de l’accidenté de la vie scientifique de Lyon, et de Belkacem Lounès. La seconde, Malika Assam, a tiré à boulets bruns sur des villageois innocents d’At Zemmenzer, à partir de l’INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) parisien où « reigne » Salem Chaker, le pote du père de la génétique en politique,  et détenteur des QR-Codes de la « RACE » de Salluste, qu’elle a d’ailleurs remercié pour sa confiance, comme celle de Dahbia Abrous. 

Hend Sadi « lundredi », en faisant appel aux compétences et aux appétences scientifiques d’Ibtissem Chachou (université de Mostaganem), de Lynda Zaghda (Université de Boussaâda) et des tourtereaux OUARAS Karim et Maria Philippou (Universités d’Oran et de Mostaganem) au service de l’oncle Sam, qui cherchent dans les alvéoles ethniques les sous groupes des lombrics révolutionnaires, pour faire oublier au peuple l’installation des généraux génocidaires de Tel Aviv dans leur royaume enchanté, il pourra nous révéler pourquoi VGE (Valérie Giscard d’Estaing) avait donné le nom de « Jughurta » à son Braque de Weimar. 

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