Par Abdelkader H

Comme nous vivons dans un monde de clichés, d’images et de récits préfabriqués, le système colonial qui s’est modernisé au moyen de révolutionnaires qui boitent avec leurs neurones, ne désespère pas de nous projeter dans un mauvais film de guerre dont nous ne pouvons nous échapper, puisqu’il nous a habitué maintenant au génocide du peuple palestinien que les casseroles trouées d’un « faux » commercialisent en forme de dualité entre le bien « Satan Yahou » et le mal « les Palestiniens ».

La dernière production montée de « toutes pièces » par le système du FMI (France- Maroc -Israël), mettant en scène Hichem Bond, l’un des acteurs des complots les plus populaires de la toile de la Monarchie du hachisch, surnommé « la danseuse d’El Ayouné », est digne d’une série de Muppet Show des nouveaux révolutionnaires que fabriquent Paris-Rabat-Tel Aviv en série. Le metteur en scène royal, A. Hammouchi, le tortionnaire maroquin a perdu de son savoir-faire depuis qu’il a été décoré de la Légion d’honneur (et pas d’horreur) par la France coloniale, alors qu’il était sous le coup de plusieurs plaintes pour actes de torture.

Après ses performances dans les coups du « Marocogate », de l’espionnage -Pegasus- des plus hauts responsables en France, en Espagne et ailleurs, l’organisation du terrorisme, notamment dans le Sahel, le commerce mondial de la drogue (qui rapporte au 24 milliards de dollars par an), le chantage par l’image et le « sang » des dirigeants pédophiles qu’il tient par la « quéquette » et l’adrénochrome, ..etc, le voilà qu’il produit un navet avec l’un de ses salariés pitre Hichem Aboud, Contrairement à l’opération presque réussie avec le bakchich de Rachid M’barki sur BFM TV, cette fois-ci, le metteur en scène Abdelatif, Hammouchi, a tout raté dans l’opération « melon » avec le guignol Hichem Aboud, dans le rôle de James Bond qui aurait été kidnappé par des trafiquants de « cannabis » du royaume d’André Azoulay.

Hichem Bond Aboud a donc « conté » son film court-métrage de « kidnapping » sur la chaîne d’Anouar Malek, un autre pingouin de la politique, spécialisé dans l’organisation des chaos des Républiques arabes et sous protection de l’organisation dénommée « Trial », une multinationale suisse des Droits de l’Homme au service du colonialisme et du grand capital.

C’est le sinistre délinquant Abdou Semmar (dit Louise Demitrakis, ou encore Skander Salhi), un autre salarié des colons du FMI (France-Maroc-Israël), pour qui les généraux génocidaires israéliens constituent une société civile, qui a enclenché la bande annonce depuis Paris, en récitant le générique fabriqué dans le laboratoire du FMI (France-Maroc-Israël), comme pour confirmer les objectifs du déploiement du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) déployé pour la première fois, entre le 7 au 13 octobre 2024, avec les matelots du Hachisch dans l’exercice appelé « Chebec ».

La France va pouvoir nettoyer les sites contaminés dans le Sud algérien, en les bombardant avec les bombes acquises suite aux essais réalisés dans ce pays qui refuse d’aller à Canossa.

En attendant que ce film touristique tourné en Espagne, qui a produit une déferlante médiatique sur cette escapade complotiste de Hichem Bond Aboud (pour croiser par hasard quatre « kidnappeurs » vendeurs de shit), le faisant passer pour un rescapé du génocide en cours au camp de concentration de Gaza, soit projeté au prochain Festival de « Pannes », ce talentueux acteur « agent 000 » du FMI, pourra demander à El Mansouri une meilleure version sur l’embarcation rapide « Essaria » où il aurait séjourné avec son équipe de drogués durant trois jours, pour éviter d’atteindre l’Algérie en 2 heures.

Et par la même occasion, Louise Demitrakis pourra améliorer ce scénario sur son plateau « i 24 » des génocidaires humanitaires avec ses potes MAKaks.

Si Aboud le Bond de la DGEG est de retour chez lui à Paris, il a dû récupérer ses téléphones jamais perdus, pour voir les messages de félicitations de son ami Edy Cohen, le conseiller de SatanYahou dont le mandat d’arrêt international délivré par la Cour Pénale Internationale court toujours, comme « Xavier Le Drian » derrière l’Algérie.

A votre avis, est ce que la monarchie qui a dissous dans de l’acide Ben Barka va produire des révolutionnaires ???