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Le Président Tebboune coupe l’herbe sous les pieds des ennemis de l’Algérie

Hirak

Coup de maître du président Tebboune qui,en décrétant la journée du 22 février , journée nationale , coïncidant avec le premier anniversaire du Hirak, il vient de couper l’herbe sous les pieds de ceux qui revendiquaient le paternalisme du mouvement ayant mis fin aux illusions de ceux qui voulaient imposer un cinquième mandat contre la volonté du peuple qui ne digérait plus d’être considéré comme une quantité négligeable.

A travers cette annonce, le président Tebboune consolidera les acquis du Hirak, et l’œuvre peuple-ANP entamée  à partir de l’application en premier lieu, de l’article 102 de la Constitution avec la démission du président Bouteflika, malade et dans l’incapacité de gouverner le pays, puis celle des 7 et 8 de la Constitution, permettant aux algériens d’élire leur président dans un cadre constitutionnel, garantissant la préservation des institutions de la république, évitant le démantèlement de l’Etat-Nation, et les périodes de transition, synonymes de tous les dangers pour la pérennité de l’Etat, revendiquées par une minorité, qui tentaient de s’accaparer du destin des algériens via les nominations comme ce fût au début des années 90.

Le Président Tebboune devance les conspirateurs de Paris

A travers l’annonce de décréter la journée du 22 février, journée nationale, le président Tebboune devancera ceux qui se sont réunis dans la capitale française pour donner un nouveau souffle à leur plan de réoccuper le terrain et de tenter encore une fois de détourner le mouvement à des fins servant les intérêts de l’ancien colon, qui perd du terrain en Algérie, avec la mise hors d’état de nuire de l’oligarchie et bien entendu des employés de Françalgérie.

Les objectifs non déclarés des grèves inopinées

Les grèves « spontanées » déclenchées par le Personnel Naviguant d’Air Algérie, les travailleurs de Tonic, suivies de celles prévues dans le secteur de l’Education et autres activités, portent la signature des résidus de l’Etat profond, dont le père spirituel est incarcéré à la prison militaire de l’Etat, pour conspiration contre l’Etat. Etrangement la grève à Air Algérie, coïncidait avec l’annonce par Air France et des compagnies françaises de Low-Cost, de l’ouverture de nouvelles dessertes à destination de l’Algérie.

Le DG d’Oreedoo, persona non grata

Cela s’est produit au moment, où le directeur de la téléphonie mobile Nicolai Beckers, s’apprêtait à annoncer le licenciement de 900 employés algériens, dans le but d’accroître la colère de la population. Tout cela se déroule au moment où se réunit les Bouchachi, Assoul, Zaitout, Amir DZ, Belabbes, des représentants du Rachad, affilié au FIS dissous, et Lahouari Addi, sous l’œil bienveillant des services de renseignement français.

Les journalistes inféodés au MAK

La célébration du premier anniversaire du Hirak, est sujette à toutesles convoitises, à commencer par cette obstination de certains individus inféodés au RAJ, où au MAK, de s’autoproclamer implicitement représentants du Hirak, en criant sur tous les toits que les services de la wilaya d’Alger, les avait empêché de se réunir, pour établir une plate-forme de revendications, au moment où le journaliste d’AlgériePart, en l’occurrence Abdou Semmar balance une Fakenews évoquant des troubles et mutineries au sein de la police, en vue de « consoler » ses employeurs des officines étrangères, à l’agonie et qui voient déjà l’Algérie sortir de sa crise, au grand bonheur de son peuple

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