Le Washington Post, l’illustre journal américain, inclut dans son édition imprimée de ce mercredi 23 avril,une correction à un rapport publié il y a une semaine et demie dans lequel il plaçait le Front Polisario dans l’orbite de l’Iran , en pleine campagne mensongère du régime du Makhzen, tentant bien que mal, d’inciter l’administration Trump à suivre le lobby sioniste pro-makhzenien, et déclarer le Front Polisario, une organisation « terroristte », sachant que ce mouvement de libération est reconnu par la communauté internationale, comme le représentant légitime du Peuple Sahraoui, dans le règlement du conflit dans le cadre des Nations Unies, par le recours à un référendum d’autodétermination du Peuple Sahraoui.
Le 13 avril dernier, le journal américain a rapporté la présence présumée de Sahraouis arrêtés en Syrie et leur prétendu lien avec Téhéran.
Le Washington Post indique « Le Front Polisario, qui lutte pour l’indépendance du Sahara Occidental, nie tout lien avec l’Iran et affirme que « suggérer que les combattants du Polisario abandonneraient leur lutte de plusieurs décennies contre l’occupation marocaine en faveur de conflits lointains dans lesquels ils n’ont aucun intérêt est non seulement invraisemblable, mais constitue une insulte à la dignité et à la détermination d’un peuple qui lutte pour sa liberté. »
Le Polisario salue ce revirement et dénonce qu’il « intervient après les critiques et les dénonciations des activités d’une journaliste marocaine dans les médias américains, qui a utilisé sa position pour ternir l’image du mouvement de libération nationale sahraoui ».
Cet épisode s’inscrit dans le cadre d’une puissante campagne mensongère marocaine visant à persuader l’administration Trump de déclarer le Polisario organisation terroriste. Le Polisario est considéré internationalement comme le représentant légitime du peuple sahraoui et un acteur clé du conflit dans l’ancienne colonie espagnole, territoire non autonome et dernier territoire d’Afrique à être décolonisé, occupé par le Maroc depuis 1975.
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Le Polisario salue ce revirement et dénonce qu’il « intervient après les critiques et les dénonciations des activités d’une journaliste marocaine dans les médias américains, qui a utilisé sa position pour ternir l’image du mouvement de libération nationale sahraoui ».
Cet épisode s’inscrit dans le cadre d’une puissante offensive marocaine visant à persuader l’administration Trump de déclarer le Polisario organisation terroriste. Le Polisario est considéré internationalement comme le représentant légitime du peuple sahraoui et un acteur clé du conflit dans l’ancienne colonie espagnole, territoire non autonome et dernier territoire d’Afrique à être décolonisé, occupé par le Maroc depuis 1975.
Pour rappel, l’administration américaine avait clarifié vendredi dernier sa position à l’égard de ce conflit d’un demi-siècle, par la voix du Conseiller du président américain Donald Trump, l’américano-libanais le haut conseiller du président américain Donald Trump aux questions africaines et arabes, Massad Boulos, dans un entretien, diffusé vendredi 18 avril, sur la chaîne de télévision Al Arabiya.
Il laissa entendre « la porte ouverte pour le dialogue afin de parvenir à une solution qui contente les deux parties », une solution qui soit acceptable par les deux parties.
