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Les fioles de l’imposture vaccinale responsables de l’hécatombe covidale

Par Khider Mesloub

L’audition au Parlement européen, le 10 octobre dernier, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, avait permis de démasquer l’imposture sanitaire, de confondre la mafia gouvernementalo-pharmaceutique occidentale.

Interrogée par un député européen, la responsable du laboratoire avait déclaré : « Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation (lapsus avec le mot « transmission », nda) avant la mise sur le marché ? Non. ».

Pour justifier la commercialisation précipitée, donc prématurée, de ce produit chimique en phase expérimentale, Janine Small avait excipé, non pas d’un argument d’urgence médicale, mais de vitalité financière : « Pfizer avait vraiment dû avancer à la vitesse de la science, mettant en avant les investissements risqués – à hauteur de 2 milliards – pour la recherche et le développement du vaccin », comme le rapporte le journal Libération.

In fine, en quelques mois, uniquement en Union européenne, cette escroquerie vaccinale aura rapporté à la multinationale Pfizer 36 milliards d’euros pour 2,4 milliards de doses d’une valeur unitaire oscillant entre 15,50 € et 19,50 € (alors que le coût de revient est de 80 centimes). L’année dernière, Pfizer a réalisé 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires (réglés par les contribuables car c’est l’État qui achète les vaccins). Pour information : Pfizer a fait l’objet de quatre-vingt-dix condamnations aux États-Unis, dont une record de 2,3 milliards de dollars pour des ventes surdosées du Bextra, un anti-douleur. Avec un tel casier judiciaire aucun prolétaire ne peut se faire embaucher dans une entreprise, ni une société poursuivre normalement son activité commerciale, encore moins bénéficier d’une commande étatique. Plus grave. Comme l’a révélé l’émission Complément d’enquête, Pfizer aurait procédé à des vaccinations expérimentales sur des dizaines d’enfants atteints de méningite en 1996 au Nigeria, sans autorisation des parents, ni autorisation de mise sur le marché. Et, pourtant, c’est cette société pharmaceutique mafieuse multirécidiviste qui aura été sélectionnée pour fournir, en un temps record, un produit chimique encore en phase expérimentale à des dizaines de pays, curieusement essentiellement atlantistes, autrement dit sous domination des États-Unis.

Autrement dit, l’efficacité du vaccin anticovid contre la transmission n’avait pas été évaluée avant sa mise sur le marché. Ce faisant, rien ne permettait non plus d’affirmer que la vaccination protégeait contre la transmission, ou même simplement contre l’infection.

Question : les autorités occidentales, tout comme l’OMS, organisation entièrement inféodée aux intérêts de Big Pharma, ont-elles menti sur l’efficacité du vaccin ? Une chose est sûre, à la date de la mise sur le marché de ce produit commercial à base d’ARNm, les gouvernements occidentaux ignoraient, au vrai, dans quelle mesure le vaccin pouvait empêcher l’infection, ou réduire la charge virale des patients. Et donc, de diminuer le risque de diffusion du virus. Or, tous les gouvernements occidentaux, avec la même résolution concertée, avaient autorisé la commercialisation des fioles présentées comme étant des vaccins.

Avec la guerre de l’Irak de 2003, pour justifier l’intervention militaire américaine, qui provoquera le massacre d’1,3 millions de civils d’Irakiens, nous avions eu droit à la fiole du mensonge (anthrax) exhibée par le secrétaire d’État américain Colin Powell devant le Conseil de sécurité des Nations unies (1), en 2020-2021, nous avons eu droit aux fioles de l’imposture Big Pharma pour légitimer la vaccination forcée de centaines de millions de personnes, et le massacre de six millions de malades, mortes faute de soins, c’est-à-dire d’une réelle médication curative et d’un traitement médicamenteux efficient, tous deux curieusement interdits dès le déclenchement de la pandémie. En effet, dans tous les pays capitalistes atlantistes, les médecins avaient interdiction de soigner leurs patients présentant les symptômes d’un état grippal. De même, il leur était défendu de prescrire les habituels médicaments, notamment l’hydroxychloroquine et Azithromycine, comme le préconisait dès le début de l’épidémie le Pr D. Raoult.

Cette stratégie « tout vaccinale », au vrai purement mercantile, étant donné l’inefficacité avérée des vaccins ARNm, aura provoqué la mort de plus de 6 millions de personnes dans le monde. Preuve de l’inefficacité de cette stratégie « tout vaccinale » imposée par l’OMS (autrement dit Big Pharma), 80% des décès liés au Covid ont été enregistrés dans les pays occidentaux ou sous domination atlantiste (Afrique du Sud, Brésil, Tunisie). Malades décédés non pas à cause des vaccins (totalement inopérants), mais faute d’une authentique médication prophylactique et curative, et de traitements médicamenteux. Autrement dit, par la faute des gouvernants occidentaux, plusieurs millions de personnes, majoritairement âgées ou vulnérables, auront été euthanasiées, sacrifiées sur l’autel des multinationales pharmaceutiques. Par cette orchestration de plusieurs millions de morts anticipées, en majorité des personnes âgées et vulnérables, le capital réalise désormais, annuellement, des dizaines de milliards d’économie à la fois sur les pensions de retraite et les dépenses médicales. L’Europe et les États-Unis auront sacrifié 3 millions de « surnuméraires », véritables fardeaux financiers du point de vue du capital : « l’argent macabre » économisé servira à financer leur réarmement, leurs guerres contre la Russie et la Chine. Ainsi fonctionne le capitalisme mortifère. Au plan économique : « Le capital est du travail mort, qui, semblable au vampire, ne s’anime qu’en suçant le travail vivant, et sa vie est d’autant plus allègre qu’il en pompe davantage », dixit Marx. Au plan social et géopolitique, il poursuit cette opération funèbre économique par les famines, les guerres permanentes, les massacres de masse, les génocides.

En revanche, les pays ayant adopté la stratégie médicale et médicamenteuse conventionnelle, c’est-à-dire le protocole classique, notamment l’Inde, le Mexique et l’Algérie, auront déploré un très faible nombre de décès attribués au Covid.

Pour prendre l’exemple de l’Algérie, grâce au protocole préconisé par le Pr D. Raoult, adopté dès le déclenchement de l’épidémie par le gouvernement algérien, le bilan définitif du nombre de décès, en dépit du très faible taux de vaccination de la population, n’a pas été plus mortifère qu’une grippe saisonnière : 6881 morts en deux ans et demi sur une population de 42 millions d’habitants.

En comparaison, la France, avec une population adulte vaccinée à plus de 80%, elle a enregistré 160 000 décès attribués au Covid pour 67 millions d’habitants. Ainsi, en Algérie, avec une population très peu vaccinée, la pandémie aura provoqué 22 fois moins de morts qu’en France.

Le pays voisin, la Tunisie, qui a misé, selon les recommandations de l’OMS (Big Pharma) sur l’interdiction de toute médication conventionnelle et traitement médicamenteux prophylactique, donc la stratégie tout vaccinale, compte 16 fois plus de morts par millions que l’Algérie.

L’Algérie confirme que le protocole préconisé par le Pr D Raoult est très efficace. La stratégie médicale et médicamenteuse choisie par le gouvernement algérien aura permis d’épargner la vie des malades du Covid, sauvés grâce à leur prise en charge médicale et médicamenteuse.

Sans nul doute, l’hécatombe française et tunisienne, pour ne citer que ces deux pays, est liée au choix de la stratégie tout vaccinale imposée par l’OMS, c’est-à-dire Big Pharma. À l’échelle mondiale, cette stratégie tout vaccinale aura décimé 6 millions de morts : L’Europe enregistre plus de 2 millions de décès, les États-Unis 1 million, le Brésil 700 000.

Autre donnée prouvant l’inefficacité de la stratégie tout vaccinale : en dépit de la vaccination de la majorité de la population française, le Covid continue sa propagation en France. Comme le titrait un journal français il y a 6 mois : « Covid-19 : La circulation du virus s’intensifie, les hospitalisations augmentent ». L’Agence nationale de santé publique, organisme français, dans un de ses derniers points épidémiologiques, s’alarmait de l’augmentation du nombre de décès : « le nombre de décès toujours en hausse », déplorait-elle.

A contrario, en Algérie, l’épidémie est quasiment terminée depuis l’été 2022. Par la suite, le nombre de nouvelles contaminations journalières est demeuré très infime en Algérie.

 

1- Le 5 février 2003, Colin Powell brandit une fiole devant l’ONU. Cette fiole est censée prouver que le régime irakien détient des armes de destruction massive (comme la fiole ARNm est censée enrayer l’épidémie du Covid, donc d’éviter l’hécatombe). Ce mensonge servira d’excuse à une intervention militaire (comme la vaccination servit de mensonge pour permettre le pillage des deniers publics par les multinationales pharmaceutiques, favorisées par les gouvernants occidentaux stipendiés qui auront combiné ce hold-up de plusieurs dizaines de milliards de dollars en quelques mois, note de l’auteur). Le secrétaire d’État avait déclaré : « Aucun doute que Saddam Hussein a des armes biologiques et la capacité d’en produire rapidement davantage (aucun doute que le vaccin ARNm a la capacité d’endiguer l’épidémie avait déclaré le groupe pharmaceutique Pfizer, NDA). Et il a la capacité de répandre ces poisons et maladies mortels de façon à provoquer des morts et destructions massives (c’est exactement ce qu’a répandu la stratégie tout vaccinale imposée par les gouvernants des pays atlantistes, NDA). Si les armes biologiques semblent trop horribles à envisager, les armes chimiques sont tout aussi glaçantes. ».

 

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