A l’occasion de la tenue du conseil des ministres turc ce mercredi 6 décembre, le président turcs Recep Tayep Erdogan a salué la position constante et irréversible de l’Algérie dans son soutien indéfectible à la cause palestinienne. Pour le président turc qui vient d’effectuer une visite à Alger, l’Algérie est l’un des rares pays qui n’a jamais fléchi pour soutenir la cause palestinienne.

La sortie du président turc dément et désavoue les déclaration de l’ancien président du MSP, en l’occurrence Abderrazek Makri, qui s’est attaquée à la position de l’Algérie l’a qualifiant de faible et insignifiante, malgré les mesures prises par les hautes autorités du pays, à savoir le dépôt d’une plainte auprès de la CPI, pour condamner les criminels de guerre sionistes,l’envoi d’aides humanitaires  et la mobilisation diplomatique et médiatique pour mettre à nu le génocide du peuple palestinien par les criminels sionistes dans la bande de Gaza.

Cela s’ajoute à la dernière décision prise par l’Algérie d’accueillir 300 enfants palestiniens et leur prise en charge totale en matière de soins.

Abderrazek Makri, qui ne cache pas son admiration pour le président turc Recep Tayyip Erdoğan, reçoit une réponse cinglante de la part de son principal mentor et parrain du « printemps arabe ». L’ancien président du MSP, qui avait annoncé auparavant son retrait politique, en arrive à la conclusion qu’il est enterré politiquement par ses propres soutiens, et sa manœuvre via un message diffusé sur son compte « dénonçant » l’attitude des autorités algériennes intervenant suite à son appel (version du parti dissous) lancé dans la soirée du 17 octobre dernier, à sortir dans la rue, deux jours avant la grande manifestation de jeudi 19 octobre, n’est qu’un coup d’épée de la propagande malveillante dans ses eaux troubles. Le présent et l’avenir s’annoncent dure pour Abderrazek Makri.