Selon des médias sionistes, plusieurs sites des ministères de l’entité sioniste ont été la cible de cyberattaque, ayant occasionné un arrêt systématique des sites électroniques du gouvernement de l’État hébreu. »
Sans avancer des preuves, les responsables de l’entité sioniste accusaient des hackers iraniens qui seraient derrière cette gigantesque cyberattaque, contraignant le gouvernement de Tel Aviv à décréter l’alerte maximale.
Ce rebondissement à l’allure d’une guerre qui prend forme, intervient quelques jours après l’attaque d’une base de l’entité sioniste implantée au Nord de l’Irak, précisément à Arbil, revendiquée par les gardiens révolutionnaires iraniens, en représailles à l’assassinat de deux officiers de l’armée iranienne en Syrie lors d’un raid israélien.