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24 journalistes assassinés par l’entité sioniste en octobre: RSF, aux abonnés absents

Depuis le début du « déluge d’Al Aqsa », le 7 octobre dernier, et jusqu’à ce jour, 24 journalistes palestiniens ont été assassinés par la machine du crime sionistes, qui continue de bénéficie du soutien inconditionnel des promoteurs de la liberté d’expression et de la démocratie. Même les familles des journalistes n’ont sont pas épargnées.

Le journaliste d’Al Jazeera Ouael Ed Dahdouh vient de perdre son épouse, son fils et sa fille, pour avoir transmis au monde entier les images du génocide du peuple palestinien.

Aujourd’hui, l’entité sioniste fait des journalistes palestiniennes une cible privilégiée , pour exterminer les civils palestiniens, et forcer le reste à s’exiler loin de sa terre, en vue de son annexion, bénéficiant d’un feu vert à tuer et une impunité pérenne.

Aujourd’hui, il est important de s’interroger sur le silence complice de RSF, qui se contenta d’un article sur sa page, faisant état d’un « étouffement des journalistes », alors que ces journalistes se font massacrer aux yeux et au vu du monde entier.
notre cher confrère, représentant de RSF pour l’Afrique du Nord, Khaled Drareni, se contenta pour sa part, d’un petit post, de consolation  pour le journaliste palestinien Ed Dahdouh.

Qu’en est-t-il de Christophe Deloire et RSF?

L’assassinat prémédité de 24 journalistes palestiniens à Gaza, n’a pas suscité d’actions appropriées de la part de RSF, à la hauteur du génocide sioniste. Ce qui nous incitera encore à souligner que cette ONG, lauréate du prix Nobel de la presse de l’entité sioniste Dan David, en 2019, n’a nullement le courage de restituer le million de dollars, ou de se positionner contre les actes criminels sionistes ciblant les journalistes palestiniens.
Un an et demi, après l’ignoble assassinat de la journaliste américano-palestinienne Shirine Abou Aqleh à al Qods, 23 ans après la tentative d’assassinat du journaliste Jacques-Marie Bourget à Ramallah, et plus de vingt ans après l’assassinat des trois journalistes à Baghdad par les Marines US, l’ONG dirigée par le raciste Robert Ménard et son successeur Christophe Déloire, confirme son statut d’instrument à la solde des plans hégémoniques américano-sionistes.

 

 

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