La mémoire algérienne salie à Paris.En cette date fort symbolique en commémoration des massacres du 17 Octobre 1961, les groupes de traîtres au peuple algérien, inféodés à l’organisation terroriste du MAK, sont allés installer  un stand et une sonorisation, sur le lieu prévu du rassemblement des militants qui luttent pour la reconnaissance de ce crime de l’Etat colonial français.
Nous avons bien compris que la France qui interdit les rassemblements des patriotes algériens, des rassemblements pour dénoncer le génocide du peuple Palestinien, autorise l’occupation des places parisiennes par leurs agents harkis, pour étouffer les voix de la justice.

Comment ne pas faire le lien entre les interdictions des expressions de solidarité avec le peuple Palestinien en voie d’extermination, et l’autorisation de salir la mémoire de martyrs algériens par ces collabos coloniaux ?
Il n’est plus un secret, les larbins du néocolonialisme portant la haine de l’Algérie travaillent pour le régime sioniste de Tel Aviv, afin non seulement de détourner l’attention des médias, mais aussi pour effacer l’histoire coloniale de leur commanditaire.

Ils veulent voir l’Algérie encore une fois sous le joug du régime qui les cultive pour achever la reconquête des généraux israéliens.
Des dizaines de militants ont quitté la Place Saint-Michel, pour ne pas apparaître avec ces harkis nouvelles génération. Cette nouvelle violation de la mémoire des martyrs algériens survient après la participation du chef terroriste du MAK , le maître-chanteur à la manifestation du régime du sioniste qui vient de perpétrer ce mardi un nouveau carnage en assassinant 500 personnes suite au bombardement d’un hôpital.