Jamais dans l’histoire des relations entre les Etats, une visite d’un Chef d’Etat, a été autant suivie dans deux pays tiers. La récente visite du président de la république à Rome a fait autant de followers et de jaloux dans deux pays tiers àsavoir la France et le Maroc.
Ainsi, au moment,où le président de la république Abdelmadjid Tebboune est reçu ce mercredi 23 juillet dans la capitale transalpine par le président et présidente du Conseil italiens, et les accords dans le cadredu partenariat stratégique signés, les langues se délient, les plateaux des médias analyses, et les commentaires remplissent les médias sociaux . Il s’agit bien entendu des réactions venus de deux pays qui se sont positionnés en “ennemis” de l’Algérie et sa détermination à poursuivre sa politique souveraine visant la prospérité de son peuple via une approche pragmatique soutenue par des actions concrètes, dépassant les paradigmes néocoloniaux comme c’est le cas pour la France,ou régime vassal et Etat fonctionnel comme c’est le cas pour le voisin de l’Ouest.
La stratégie menée par le président Tebboune depuis son intronisation donne ses fruits à travers la diversification des partenaires dans le cadre du respect mutuel, et la coopération bénéfique aux peuples algérien et autres. Le partenariat stratégique scellé entre Alger et Rome, est devenu un modèle à suivre en matière de coopération entre le Nord et le Sud.
L’Algérie, qualifiée par Rome de partenaire fiable, ne se contente nullement d’un simple acteur fournisseur d’énergie, mais d’un pays qui s’ouvre au monde, via des partenariats mutuellement bénéfiques, basés sur le transfert de technologie, l’investissement productif, garantissant un avenir meilleur aux algériens et aux peuples frères et amis.
Cette approche fait pleurnicher l’Etat profond en France, et ses instruments de la propadande, qui voient en ce partenariat renforcé entre Alger et Rome, leur paradigme néocolonial qui considère l’Algérie, comme la” vache à traire ” disparaître.
Et c’est pour cette raison, que l’anction colon a réactionné ses réseaux et ses instruments lobbystes au sein de l’EU pour colporter des mensonges, des contre-vérités pour anéantir toute action visant à mettre les jalons pour un nouvel accord d’association, mutuellement bénéfiques aux parties algérienne et européenne.
Pour le cas du voisin de l’ouest, ses instruments propagandistes, oublient leur commandeur aux abonnés absents, et se concentrent sur le président Tebboune, acteur majeur dans la concrétisation des réalisations en Algérie, et caressent l’espoir des marocains de voir leur pays se débarrasser du néo-féodalisme, et d’un régime moyenâgeux qui fait de la pérennisation de l’esclavage de son peuple, la recette de sa survie.