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Le Bo(h)a de « Marokedbo » et la propagande d’insultes du Makhzen.

Par Mohamed El Abassi

 Il suffit d’une lecture diagonale sommaire de quelques articles du «kedbdomadaire » pour en déceler le soubassement mensonger et haineux envers l’Algérie, la mauvaise foi envers son Président et ses institutions nationales, notamment, l’Armée Nationale Populaire, héritière de la vénérée Armée de Libération Nationale : Les symboles de la fierté contemporaine et historique de tous les algériens, n’en déplaise à ses détracteurs du Makhzen.

Mais, le désespoir et l’amertume qui ronge le Makhzen fait rire les algériens et autres observateurs sympathisants mais inquiets de ce déclin de l’intelligence et de la parole du peuple marocain frère, muselé et pris en otage par des mercenaires, sans foi , ni loi,  de la plume au service du mensonge et la défense d’autres intérêts que les leurs.

La haine qui transparaît de ce chiffon mouillé, ne mérite peut être pas qu’on s’y attarde tant ses scribouillards à la solde du Makhzen se font la risée de ceux qui oseraient ouvrir leurs pages immondes en se demandant, dans leur for intérieur : Mais qu’est ce que c’est que ce journalisme marocain de bas étage, cette souillure dont ils se sont auto-flagellés dans un masochisme intellectuel, à oser, sans la moindre déontologie du métier, ni la moindre conscience professionnelle, de s’étaler de la sorte en ciblant l’Algérie pendant qu’ils l’implorent, les mains joints vers le ciel, les genoux à terre et dans une courbette bien inclinée qu’à leur monarque, pour lui demander de renouer ses relations diplomatiques et ouvrir ses frontières !

Une incantation qui en dit long sur le formatage, ou plus justement, le matraquage, dans le sens propre et moral, que ces plumes commanditées subissent pour se dépasser dans l’ignominie et obéir dans la passivité jusqu’à donner une image méprisable d’être journaliste au Maroc.

Les échos émanant d’intellectuels, d’hommes et de femmes de  libre arbitre et du discernement objectif qui parviennent de ce pays s’arrachent les cheveux d’être les témoins d’une catastrophe médiatique marocaine qui ne sait plus ce que signifie le métier d’informer et d’analyser l’actualité tout simplement, mais surtout d’assumer son rôle dans la société en s’inspirant de ses réalités et de son quotidien ignorés et relégués au profit d’une focalisation intempestive sur l’Algérie, qui se trouve bien  lointaine et, encore, irresponsable de leurs déboires, leur souffrance, de la mal-vie et de l’injustice qu’il subissent au quotidien.

 

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