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Le Consul Général de France à Oran, devient-t-il encombrant?

Le Consul Général de France à Oran Christophe Jean, est-il devenu encombrant ? Telle est la question que posent de nombreux observateurs dans la capitale de l’Ouest au sujet d’activités qualifiées d’incompatibles avec sa mission consulaire.
Selon des informations en notre possession, le Consul Général de France à Oran, avait reçu au siège de la résidence du Consulat Général d’Oran, l’auteur et Journaliste Kamel Daoud, le 21 mai dernier, quelques jours avant que ce dernier ait reçu au siège de la présidence de la république pour une interview du président Tebboune, au profit du très controversé média français Le Point.
Christophe Jean aurait même tissé des relations avec des responsables locaux, comme le patron d’un journal local et du directeur régional du Fonds National d’Investissement, reçu également au siège de la résidence du Consulat Général de France à Oran.

Des interrogations légitimes sur les activités du Consul Général et de certaines structures, liées à l’ambassade de France, sont à poser et méritent des réponses.
Aujourd’hui, les responsables algériens sont conscients que les anciens ambassadeurs de France à Alger, devenus des patrons de la DGSE, à l’image des Bernard Emie, Xavier Driencourt, et Bernard Bajolet, ont joué un rôle prépondérant dans la constitution de réseaux pour l’accomplissement d’agendas français. Leurs pions, sont aujourd’hui bien visibles dans certains médias, culture, université et sport, société civile,en plus de l’économie et la politique. Certains recevaient des instructions pour détourner le Hirak de sa vocation initiale de revendication populaire, au profit d’agendas bien déterminés et ficelés dans les laboratoires des officines étrangères visant en premier l’État-nation et sa colonne vertébrale l’ANP, digne héritière de l’ALN.A bon entendeur

 

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