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Les énigmes de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » (1ère Partie )

Avec les crises des cerises du système qui se succèdent et se rassemblent en douce « Fronce » qui défonce les peuples, il est fort probable qu’il n’y aura pas eu beaucoup de cadeaux sous le sapin pour tous les attaquants de l’équipe de guerre du FMI (France-Maroc-Israël), contre l’Algérie et son peuple, déguisés en libérateurs de l’avenir tout tracé ? avec le « Panot » de Mathilde et des « opinions détenues +» de décapitation qui ont enjambé le tourniquet de Coquerel « Molotov ». 

C’est pour cela que je me dis qu’il y a des choix à faire en offrande,  à l’occasion de ces fêtes de « faim » d’année, tout en respectant le devoir sans réserve de solidarité avec un fonctionnaire (re)traité de la diplomatie ; [lequel, après deux mandats (2008-2012 et 2017-2020) d’excellent diplomate du système, poursuit le blindage des murs entre les deux rives, avec une troisième affectation naturellement pas officielle]; car on peut offrir un cadeau de « Moel » à cet  ambassadeur énigmatique « qui ne doit pas dire ça » sur l’Algérie et son peuple, si évidemment son excellence du « Dilem » l’accepte, vu qu’il a presque fini sa tempête médiatique, dans un verre d’eau salée, au point de générer la goutte qui fait déborder le vase colonial. 

C’est vrai, il a doublé le bail, leur excellence, celui qui nous décrit à la perfection le théorème de l’inversion des valeurs et des rôles, théorème qui je l’espère est enseigné en sciences politiques modernes dans le monde anticolonial. Excellents résultats directs, et même inédits de son bon boulot : « brouille diplomatique entre Alger et Paris, rappel de l’ambassadeur d’Algérie de Paris, convocation de son successeur par les autorités algériennes, fermeture de l’espace aérien algérien aux avions militaires français, fermeture du dialogue entre les deux capitales, etc.  Que pouvons-nous attendre de mieux d’un ambassadeur de « Fronce » dans un pays meurtri par 132 ans de son colonialisme sauvage, qui continue à héberger douillettement, en les couvrant d’une couette démocratique, des groupes classés terroristes en Algérie ? Sans parler des coups printaniers (en réalité hivernaux) fabriqués pour l’Algérie, après l’arrachage de son indépendance, et non sa « décolonisation » comme le propage le système « Daoud 19 » et les victimes de sa pandémie politique virale, à côté des colons. 

A l’occasion donc de la sortie de ses énigmes, en mars 2022- (Ed. Éditions de l’Observatoire / Humensis, Paris), et annoncée dans « la grande dictature Algérienne » aux éditions (dont le nom révolutionnaire a été lui aussi converti en colon) Frantz Fanon, il avait déclaré : « Les Algériens ne comprennent que les rapports de force » et il considère que la position française vis-à-vis de l’Algérie est bien trop « timorée ».  C’est là où l’on reconnait la démarche d’un grand diplomate, au langage pur « miel » produit dans le cadre des écoles « à Quai » d’Orsay, pour former les futurs pionniers de la maison. Voilà la vraie diplomatie moderne, révolutionnaire même, qui fait le lien entre l’immortel Frantz Fanon et Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » par le canal du « KD », l’informateur-détenu d’opinion de Reporter avec beaucoup de Frontières (RSF). 

 

Le « Dilem » c’est qu’il paraît que c’est Aitaoudia9,  l’un des Zapatas algériens modernes, dont la révolution coule dans les veines, qui a fait le lien entre  le « K »Drareni de RSF (ou RSM : Reporters Sans Ménard de Jacques-Marie Bourget), Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » et la planche d’un cercueil du croque-mort de la caricature, à travers une publication du « Canard déchaîné »  contre l’Algérie ; tout cela sous couvert de la « Liberté » d’un détenteur du grand capital algérien à faire couler les richesses de la rive Sud, dans les poches de la grande bourgeoisie du Nord. Même les sciences physiques sont convoquées pour inverser le principe « capital »  des vases communicants.  

Qui a encore des doutes sur la qualité révolutionnaire du « K » Drareni, de son pote le barbouze de type moustache-pistache El Kadi (de la Radio Meuuuuh) et de sa progéniture mythologique Tin Hinane, des porteurs du Kamis sans frontières, des berbérologues au fanion de « Jacques Naftali Bennett », des pingouins bras cassés (c’est un pléonasme)  ? Aïtaoudia9 doit-être un « couploutiste ». 

Comme dans l’introduction de ses énigmes, il glisse : « J’ai aimé l’Algérie, j’aime les Algériens, j’ai gardé beaucoup d’amis (je m’en doutais bien)…. J’ai réuni et gardé autant de fidélités » ; alors je me suis dirigé électroniquement pour visiter sa page des réseaux « twitter » construits autour du peuple algérien. Outre le classique chant des ruines politiques, j’ai trouvé sur sa page pas du tout vierge, les deux imminents supporters du régime du FMI (France-Maroc-Israël), Boualem Sansal (avec qui je partage malheureusement le prénom) et Daoud 19. 

C’est là aussi que j’ai vu sa course politique à pieds nus, engagée contre le peuple algérien, pour lui faire barrage et le faire s’écrouler dans le ravin de l’histoire des chaos révolutionnaires. Beaucoup de conférences politiques dirigées singulièrement contre l’Algérie, mais naturellement présentées à l’envers, dans l’espace et dans le « thon », couvertes par des promotions médiatiques énigmatiques (en réalité pas plus que ça). 

Sur son amitié avec les Algériens, il parle peut-être de ce fromager biberonné au lait frais, Rachid Ibersiene, dont il assure la promotion sur sa page de « réseaux » fidèles, après sa mise en ligne par un Tir Sur l’Algérie (TSA- le canard du fast-food médiatique) des Guemache frère et frère, les cousins de François Aïssa Touazi, le parrain « kabyle AOC » de Marc Endeweld. A moins que ce ne soit un leurre, pour fermenter crûment le lait, avec cette pub de Rachid Ibersiene, qui risque d’avoir des emmerdes pour se défaire de l’étiquette « Wlid Frensa –Amiss N Frensa –agent colonial », qu’on lui a collé.  

En revanche, ce qui est énigmatique sur sa page d’amis des « réseaux » Françalgérie, c’est que je n’ai pas trouvé Rachid Hamamouche, le roi de la vinasse en Algérie, celui qui a été décoré par Bernard Emié (le patron des « services sucrés » en « Fronce »), avec qui il s’apprêtait à boire le vin en « Baron », comme au bon vieux temps, sans le pain et le boursin, alors que ce jus de raisin fermenté se déguste dans des ballons. Bien que leurs silhouettes paraissent minces, ils ont l’air d’avoir un gros ventre, du moment que c’est le peuple qui trinque, notamment par le canal de l’éducation à la « Mecque des révolutions » de Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ». Rachid Hamamouche ne doit pas être un habitué des cercles restreints de la Françalgérie, au point d’avoir été décoré des « propres » mains de l’actuel patron des services « sucrés » du système d’une légion (étrangère ?) de Chevalier (au galop, au galop, …) de l’ordre (établi) au mérite agricole, probablement pour son labourage du terrain, avec le pinard du renard qui rend ivre de joie les charognards. 

Rachid Hamamouche, n’assure pas non plus la continuité du service (comme on peut le constater !), et doit appartenir à la « Mecque des révolutions » arrosée du vin béni par son excellence. 

A la Toussaint, le vin est sain pour ce juppéiste dont les frères du cousin (titulaires du canard qui vole à l’envers), ont dressé un joli portrait dans leur édition du 3 juillet 2017 : « Enarque du système, lié à la famille Debré par sa femme (et pas son épouse ?- ce sont des féministes à TSA, la femme est l’objet de leur homme); conseiller, avec un certain  Bernard Emié (patron des services « sucrés » aujourd’hui) au cabinet d’Alain Juppé alors ministre des Affaires Etrange-ères ; un diplomate qui se revendique catholique pratiquant (qui a beaucoup donné à l’Eglise de la Nativité de Bethléem emmurée, barricadée, colonisée), lequel est promu en 1995, conseiller diplomatique d’Alain Juppé à Matignon ,…etc);  et puis juste l’année d’avant,  il n’a vraiment pas eu de chance, puisque selon Sarah Belhadi qui TSA (Tirs Sur l’Algérie), il était de permanence, en ce jour de Noël 1994, lorsqu’un avion d’Air France et ses passagers sont pris en otage à Alger. 

Sans vouloir remuer leurs couteaux dans les plaies, notamment celles des familles des victimes de cette barbarie (enseignée sous l’appellation de « régression féconde » par un accidenté de la vie scientifique), ne faut-il pas s’interroger sur la désignation par le système de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », et son accréditation par le clan de Said Bouteflika, comme ambassadeur à Alger ?  Alors que son chef de file indienne de la politique, Alain de son prénom, était un acteur majeur dans la guerre des tranchées des services contre l’équipe Pasqua, qui a coûté la vie aux sept moines trappistes du monastère de Tibhirine en 1996 (et non en 1993, comme indiqué dans l’interview du KD de RSF, publiée sur le site de leur excellence à Alger) ! On peut dire que la neutralité politique a été largement respectée. Concernant ce massacre de religieux, Jean Charles Marchiani (Alexandre Stefani pour les intimes), ancien agent des services qui n’avait pas perdu une ride, en contact avec les « décapiteurs » (classés aujourd’hui démocratiques en « Fronce »), donne une idée de la guerre des clans politiques au sein de ce système qui tourne à plein régime, tout en enfonçant Alain le marin « droit dans ses bottes ». 

En principe pour éviter toute forme de confusionnisme, le clan juppéiste devrait se tenir loin des canaux diplomatiques avec l’Algérie, pour ne pas laisser s’installer le doute, après les déclarations fracassantes de JCM. Mais puisqu’ils n’ont plus de principes, alors ils alimentent le doute sur toute la route pour rendre hermétique toute voie de réconciliation avec le pays des lumières en manque d’éclairage. 

C’est sans doute le hasard, pour celui qui s’interrogeait sur la succession de Bouteflika par une nouvelle génération (de reptiles jaunes, formée dans les laboratoires coloniaux du FMI ?) grâce au travail (auquel il aspirait ?) en profondeur dans ce pays, au regard des développements (terroristes) au Sahel et en Libye, pays détruit par « le système » au nom des Droits de l’Homme à décapiter. Du coup, il a accédé à quelques « clés » pour comprendre et déchiffrer ce que les Algériens appellent « système »; je ne sais pas s’il parle du sien, celui  qui l’avait désigné pour la continuité du service (toutes couleurs politiques confondues), depuis 1984, sur beaucoup de missions de société civile;  puisqu’en effet, selon le journal « Les Echos » du 3 aout 2006, il s’agit de celui qui a occupé l’un des postes de l’ombre les plus prestigieux (qui ne dit pas son nom)  des armées d’attaque : « Chef du service des ventes de matériels militaires et de la coopération en matière d’armement à la direction des affaires économiques et financières au ministère des Affaires étrangères de 1986 à 1989 ». 

Cette prière cathodique n’est-elle pas belle ? Une « Mecque des révolutions », imaginée et plaidée par l’ancien vendeur d’armes officiel de la « Fronce », au point de miser sur une Mecque imaginaire à l’envers. Beau travail, qui pousse le cheptel que nous formons, à brouter l’herbe de leur ami le roi du hachich et du bakchich, en étant confortablement allongé sur le dos. On va avoir des courbatures et des crampes au niveau de nos neurones avec « les légumes » et « les bananes » révolutionnaires de couleur politique jaune, qu’on nous fait défiler sur leurs écrans de fumée pour les voiler… 

Sans aller, nous dit-il (comme s’il était obligé d’y faire référence pour éviter de faire passer l’idée coloniale), jusqu’à reprendre la formule de François Mitterrand en 1954, « L’Algérie, c’est la France », il indique juste par hasard que « la question algérienne est une question politique interne française… ». Que voulez-vous comprendre avec une telle formulation ? Ce n’est pas assez clair pour celui qui considère que l’armée algérienne, contrairement aux armées du FMI qui encerclent le peuple algérien et même toute l’Afrique, est une entrave à la construction de sa « Mecque » des « révolutions colorées », en confisquant la banane du « Hirak » que la grande bourgeoisie algérienne distribuait dans les déambulations de clochardisation préfabriquées pour les citoyens innocents. 

C’est ce qui nous permet d’aborder la prochaine énigme qui reste à résoudre, après celle de son audition « sucrette », (qui ne sera pas publiée !) en plein « Hirak » -le 5 juin 2019- par la commission des Affaires Etrange-ères, de la défense (mais surtout de l’attaque) et des forces armées (jusqu’aux dents) du Sénat, qu’est le questionnement sur la possible implication de l’ambassade de France en Algérie dans un grand complot visant l’état-major de l’armée algérienne. Selon certaines sources, des responsables des services de renseignements Français (DGSE) auraient participé, avant la destitution d’Abdelaziz Bouteflika, à des réunions secrètes impliquant, entre autres, Saïd Bouteflika et la secrétaire générale du Parti de la « défonce » des travailleurs : tata Louiza Hanoune, celle qui a donné le tournis à Trotsky… Il paraît que Hanoune la coquine n’a pas lâché prise ! Elle continue à agiter le chiffon syndical à l’envers, au complexe sidérurgique d’El Hadjar (Est-Algérien), par l’intermédiaire de ses bras cassés, pour fouetter les travailleurs et les mettre à genoux devant le grand Capital pour lequel elle roule. 

Il est énigmatique, Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », sur la cession amiable, par l’arrêté du 6 février 2013, de la Villa « les Zebboudj », sise au 10 Chemin Sfindja à El Biar, et dont l’Etat français était propriétaire, à un membre de la « galaxie bourgeoise de pillage de l’ancien régime du rêve colonial ». Si même le ministre de l’Economie et des Finances, dans sa réponse à la question posée par un député Français Gentille, ne donne pas le nom de la personne physique bénéficiaire de ce cadeau de villégiature à  4,87 millions d’euros (estimé par le Ministère des Affaires Etrangères à 10 millions d’€), ne comptez pas sur moi pour résoudre l’énigme immobilière des millions d’euros de « Xavier Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ».

Sinon, l’autre énigme qui n’est pas encore résolu, c’est cette affaire d’espionnage qui a éclaboussé l’Ambassade de France en 2018, où se mêlent des trafics en tout genre (trop longs à inventorier dans cette modeste contribution), mais surtout la collecte de renseignements sécuritaires sensibles par le dénommé A.Z, qui collectait les mouvements de personnalités au niveau des frontières aéroportuaires d’Alger, pour les remettre aux services de renseignements français à Alger.   A.Z a été condamné le 11 novembre 2020 à une peine de 7 ans de prison ferme, pour avoir fourni des informations sensibles et secrètes, au profit d’un pays étranger (devinez lequel ?) au détriment de l’Algérie. Interrogé par « Le Point » levé (date de publication du 12/11/2020), Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », a répondu que cette affaire « ne (lui) dit absolument rien, mais rien du tout ».  Pourquoi, il y en a eu beaucoup d’autres affaires d’espionnage, au point que cela ne dise plus rien à celui qui a régné sur la Villa des Oliviers et sur le Parc Peltzer à Alger, durant sept longues années ?  

Au prochain tour, puisque la course n’est pas finie, il va falloir enfiler des chaussures à pointes, pour suivre Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », celui qui aurait dû suivre le parcours des Bernards « Bas Joli » et « l’Hermite » Emié, lesquels, après les secrets de la Villa des Oliviers, ont atterri par hasard à la tête des services « sucrés ». 

À suivre.

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