Dans la foulée du génocide palestinien perpétré par l’entité sioniste, un mouvement de contestation estudiantin occidental est né représentant  » la nouvelle conscience de l’humanité » enterrant au passage la complaisance et les tergiversations des instances internationales et des ONG internationales otages des deux poids deux mesures lorsqu’il s’agit de défendre le droit humanitaire.
De ce fait, l’entité sioniste semble épargnée par ceux qui n’ont pas hésité un instant pour détruire la Libye, la Syrie et l’Irak sous le prétexte de la protection des populations civiles.
Qu’en est-t-il pour la population civile de la bande de Gaz? rien de palpable, même les aides humanitaires n’arrivent pas être acheminées à cette population enterrée vivante depuis 7 mois. Un holocauste bien mené par la bande criminelle sioniste dirigé par le génocidaire Benjamin Netanyahou.
Seuls les étudiants des universités américaines et françaises comme Harvard, Colombia, La Sorbonne et Sciences Po, ont réussi à damé le pion aux « donneurs de leçons » en matière du respect des droits de l’homme et ont mis à nu les arguments fallacieux diffusés au fil du temps par l’entité sioniste pour étouffer toute voix contestant et s’opposant à son hégémonie.

L’argument d’antisémitisme utilisé pour défendre le sionisme, vient d’être épinglé par le Hirak estudiantin occidental, et la répression des étudiants perpétrée par les forces de l’ordre américaines et françaises ce lundi 29 avril au niveau de l’université de Colombia et celle de la Sorbonne pour déloger les manifestants pro-palestiniens, confirme que le concept du respect du droit humain n’est qu’un fonds de commerce pour pérenniser la domination et l’hégémonie américano-sioniste sur le reste du monde. Même les instances judiciaires internationales comme la CPI et la CIJ n’ont pas échappé aux intimidations et menaces des lobbys sionistes, pour les empêcher de traduire en justice les auteurs des crimes de guerre et du génocide, comme Benjamin Netanyahou. A bon entendeur