Par Khider Mesloub
La barbarie fait fureur à Gaza. Une barbarie perpétrée par les sionistes israéliens, avec à leur tête le Führer Bibi.Pour rappel, le Führer Netanyahou dirige un gouvernement fasciste composé de suprémacistes laïques et de fanatiques juifs religieux.
Ce qui caractérise ces dirigeants sionistes, notamment Bibi le Führer, c’est leur psychopathie. Leur furieuse pulsion de tuer. De massacrer. Cela rappelle les nazis.
Depuis la création de l’Etat d’Israël, ce repaire de criminels de guerre suprémacistes, deux sociétés, « sociétalement » distinctes mais « chauvinement » unies, forment ce pays artificiel colonial : les fanatiques religieux et les laïcs fanatisés par le sionisme. Toutefois, le trait de personnalité commun de ces deux communautés religieusement et politiquement fanatisées composant l’entité sioniste, est la sociopathie. Cette propension atavique à commettre des massacres de masse, des crimes de guerre contre les Palestiniens.
On peut affirmer sans contredit qu’Israël est le dernier pays colonialiste basé sur l’ethnie et la religion, dont la gouvernance repose sur des fondements archaïques, vestiges de l’ancien monde « négrier » façonné par la mentalité esclavagiste : tribalisme, racisme, suprémacisme, théocratisme, totalitarisme, fascisme, nazisme. Tous ces attributs concentrés dans le système sioniste.
Le sionisme, idéologie suprémaciste et belliciste, a transformé les juifs israéliens en sociopathes, totalement déshumanisés.
Ce profil psychopathique se caractérise par le narcissisme (il n’y a que moi et ma « nation juive » qui comptent, les autres ne sont pas des humains mais des animaux, des objets) ; le machiavélisme (je manipule à ma guise et à merveille le monde entier pour accréditer et imposer, sur le fondement de l’inversion victimaire, mon narratif informationnel, mon paradigme analytique politique et historique) ; la psychopathie (l’absence d’émotions, notamment d’empathie, qui se traduit par l’indifférence à la souffrance des autres, en l’espèce, des Palestinien, victimes de lynchages, de pogromes, de massacres de masse, de génocide) ; et le sadisme (ce plaisir jouissif à infliger la souffrance à autrui, à jouir des supplices des victimes, notamment des Palestiniens).
Le sionisme, idéologie suprémaciste fondée par ailleurs sur une religion qui enseigne à ses adeptes qu’ils appartiennent au peuple élu, fabrique inéluctablement des personnalités psychopathiques. Un trait de caractère qu’on retrouve dans le nazisme fondé, lui aussi, sur la croyance de la supériorité de la race aryenne, incarnée par le peuple germanique allemand.
Sans surprise, le sionisme aura conduit au nazisme. À la reproduction des crimes nazis. Ces dernières années, en particulier depuis 2023, le régime israélien fasciste ne prône-t-il pas et n’applique-t-il pas, sous couvert de la « dissolution finale » du Hamas, la « solution finale » des populations civiles palestiniennes de Gaza, c’est-à-dire l’extermination des Palestiniens, le nettoyage ethnique des Gazaouis ?
Pour prendre la mesure de la nazification de l’État israélien, il suffit d’inventorier les multiples déclarations génocidaires des dirigeants israéliens. Notamment celles de Liberman, qui appelait ouvertement à « la délocalisation » des Arabes israéliens. C’est-à-dire à leur expulsion, à leur déportation. À propos des milliers de prisonniers politiques palestiniens, Liberman avait préconisé : je propose de les transporter en autocars jusqu’à la mer Morte pour les noyer ».
Depuis le 9 octobre 2023, les dirigeants sionistes, soutenus par plus de 85% des Israéliens, reconnaissent que le dessein réel de la guerre est le grand Israël, duquel les Palestiniens et autres Arabes auront été déportés violemment.
Aujourd’hui, ce sont des nazis qui gouvernent Israël. Ainsi, les victimes du nazisme se transforment à leur tour en bourreaux nazis, comme ne cessent de le dénoncer, ces dernières années, des juifs et des Israéliens eux-mêmes.
« Il y a des judéo-nazis. Les judéo-nazis existent », n’avait pas hésité de déclarer le philosophe Yeshayahou Leibowitz. L’écrivain Amos Oz affirmait la même chose. Il dénonçait « les nazis d’Israël ».
Les propos de ces deux juifs israéliens sont corroborés par les dernières évolutions de l’Etat d’Israël en voie de nazification. Un État dirigé par des judéo-nazis qui appliquent une politique nazie de sinistre mémoire : celle des camps de concentration à ciel ouvert érigés sur tout le territoire gazaoui, de l’exterminatrice par la famine. Une politique fondée sur des bases suprémacistes, la haine raciale méthodiquement organisée et planifiée par l’entité sioniste génocidaire dirigée par le Führer Netanyahou.
Force est de constater que les Palestiniens sont les nouveaux juifs et le sionisme nazifié est devenu le véritable successeur de l’antisémitisme d’antan, un antisémitisme incarné un moment par Hitler, l’ancêtre gouvernemental et le mentor idéologique de Netanyahou.
Ce nouveau Führer israélien, Netanyahou, poursuit la même politique d’expansion territoriale que Hitler. Tout comme l’État nazi était en guerre contre l’ensemble des pays européens qu’il voulait annexer, l’Etat d’Israël, dirigé par le Führer Bibi, est non seulement en guerre contre les Palestiniens mais également contre la Syrie, l’Iran, le Hezbollah libanais, les chiites yéménites. Et actuellement contre l’ensemble des hommes et femmes du monde entier qui manifestent quotidiennement contre la guerre génocidaire israélienne menée contre les Palestiniens.
Khider Mesloub