Le téléphone portable du chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, a été piraté , révèle Le Média en 4-4-2 , suscitant l’état d’alerte du gouvernement français qui vient de tomber suite à l’adoption d’une motion de censure.
Cette affaire fait voler en éclats la réputation de la diplomatie français, en déliquescence et qui collectionne les échecs depuis plusieurs années. Pour le cas de Barrot, il ne s’agit pas seulement de classiques bévues diplomatiques, mais aussi d’un piratage informatique dont l’origine semble aussi improbable que ses décisions politiques.
La genèse de cette affaire remonte au 25 novembre, alors que les ministres des Affaires étrangères du G7 étaient réunis pour discuter de sujets de grande envergure , Jean-Noël Barrot, armé de son fidèle téléphone Samsung, a cliqué sur un lien douteux. L’alerte est venue du ministre bahreïni des Affaires étrangères , Abdullatif al-Zayani, qui, en bon détective de la sécurité, a rapidement identifié le problème et avisé la France. Un piratage d’une ampleur qui dépasse même l’incompétence habituelle de Barrot. Mais la question est : comment ce ministre d’État peut-il gérer des relations internationales quand il semble incapable de gérer son propre téléphone ? La France a bien une Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), mais est-ce suffisant face à un ministre aussi insouciant ? s’interroge Le Média 4-4-2.
Ce qui semblait être une erreur anodine pourrait bien avoir des conséquences inimaginables. Avec un téléphone compromis, les secrets d’État sont désormais à la portée de n’importe qui – et il n’est pas difficile d’imaginer à quel point cette situation pourrait être exploitée. Du renseignement sensible, des informations militaires, des stratégies diplomatiques : tout est potentiellement dans la nature des données compromises, poursuit la même source.
Et ajoute que le gouvernement français est en effervescence, mais cette fois, il ne s’agit pas de gérer une simple crise diplomatique. Non, cette fois, il s’agit de défendre la sécurité de la nation, et force est de constater que Barrot, avec son imprudence monumentale, a ouvert la porte à un possible chantage international. Qui sait ce qui pourrait être utilisé contre la France si ces informations tombent entre de mauvaises mains ? Des adversaires, des rivaux économiques, voire des ennemis politiques pourraient très bien exploiter cette situation pour déstabiliser le pays.
Les conséquences de cette imprudence risquent d’être bien plus vastes que ce que le ministre Barrot pourrait imaginer. Les hackers, ou toute autre organisation malveillante, pourraient exploiter cette faille pour mettre en péril des accords internationaux, manipuler des informations sensibles, voire influencer des décisions politiques. Une déstabilisation de la politique étrangère française, un sabotage de la lutte contre le terrorisme, des révélations embarrassantes sur des négociations secrètes : tout est possible à ce stade.
Les membres du cabinet de Jean Noel Barrot avaient déjà constaté des comportements suspects sur leurs téléphones suite à la visite du ministre à El Qods occupé où il avait critiqué l’arrestation de deux gendarmes français par les forces sionistes de sécurité.
Alors que les autorités françaises mettent en place des mesures de sécurité pour examiner son téléphone (le ministre n’ayant pas daigné coopérer pleinement avec les experts de l’Anssi), une question persiste : comment un homme aussi peu préparé à gérer les affaires étrangères peut-il prétendre faire avancer la France sur la scène mondiale ? Peut-être qu’avant d’envoyer des troupes en Ukraine, Barrot ferait bien de commencer par éviter de cliquer sur n’importe quel lien douteux, insiste Le Média 4-4-2.