Le Prix littéraire Goncourt de l’année 2024 perd sa crédibilité , comme l’atteste la violation de l’article 3 de ses statuts qui stipule que les membres du Goncourt ayant dépassé l’âge de 80 ans n’ont pas le droit de voter. Pour le Prix de cette année qui doit être décerné ce lundi, il a été enfreint à cet article, comme l’indique la participation de Paule Constant, née le 25 janvier 1944, dépassant de 10 mois l’âge permis et requis pour le vote.
Par ailleurs, il faut noter que cette violation des statuts du Prix Goncourt vise à ternir l’image de l’Algérie en attribuant ce prix 2024 au néocolonisé auteur Kamel Daoud, dont l’auteur et chercheur Algérien Ahmed Bensaada avait bien réussi en 2016 à recadrer le profil d’un sous-produit du parti dissous le FIS, à l’origine de la tragédie nationale des années 90. L’essai d’Ahmed Bensaada intitulé » Kamel Daoud, Cologne contre-enquête » avait bien mis à nu le profil psychologique du natif de Mesra.
Algérie54 avait déjà révélé sa condamnation par le tribunal d’Oran, suite à son agression à l’égard de son ancienne épouse, sachant qu’il avait été épargné par les médias Mainstream inféodés à l’Etat profond français sur ce sujet, et a été même autorisé à plaider pour l’émancipation de la femme arabe . Une attitude qui résume bien le bien fondé de l’essai d’Ahmed Bensaada, datant de 2016, après l’attribution du Prix Goncourt à Kamel Daoud, pour son livre- mensonge, « Meursault, contre-enquête » visant la communauté maghrébine en Allemagne la qualifiant de violeurs.
Pour cette année, il est clair que le Prix Goncourt a été utilisé à des fins politiques pour ternir l’image de l’Algérie et ses institutions, en récompensant une publication d’un individu ayant bien servi la cause de « Qui tue qui », et qui aurait du être poursuivi pour atteinte à l’intégrité physique de son épouse, si réellement, le pays de Molière défend les droits de femmes comme il le prétend.
Voici la liste des membres actuels :
Didier Decoin : 13 mars 1945
Françoise Chandernagor : 19 juin 1945
Tahar Ben Jelloun : 1er décembre 1944
Paule Constant : 25 janvier 1944 DONC 80 ANS
Philippe Claudel 2 février 1962
Pierre Assouline 17 avril 1953
Eric Emmanuel Schmitt
Camille Laurens 28 mars 1960
Pascal Bruckner 15 décembre 1948
Christine Angot 7 février 1959
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