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Le supplétif sioniste, et l’avocate française violée chez le commandeur des croyants

L'arrestation à Alger du supplétif du sionisme Boualem Sansal a provoqué un séisme politico-médiatique français, réussissant l'unanimité de l'extrême droite à l'exrême gauche, autour d'un procès intenté contre l'Algérie souveraine.

L’arrestation à Alger du supplétif du sionisme Boualem Sansal a provoqué un séisme politico-médiatique français, réussissant l’unanimité de l’extrême droite à l’exrême gauche, autour d’un procès intenté contre l’Algérie souveraine.

Cette mobilisation de condamner l’Algérie, coincide avec l’indifférence des médias et classe politiques hexagonaux au sujet d’une avocate française violée et qui vient de passer un séjour cauchemardesque chez le commandeur des croyants qui déambule bien dans les rues parisiennes.

Etonnement, le viol de l’avocate française ne suscite guère de la réaction de l’écrivain franco-maroco-sioniste Tahar Benjelloun et son ami naturalisé français, spécialiste des viols, en l’occurrence Kamel Daoud, lauréat du Prix Goncourt, en 2015 pour « Meursault- contre-enquête » et qui s’avère un roman mensonge destiné à ternir l’image des maghrébins. Ce dernier vient de confirmer son statut de supplétif du CRIF, en s’attaquant à l’Algérie et son peuple, via un roman, et une escroquerie intellectuelle qui n’a pas encore livré tous ses secrets et dont les victimes sont des femmes algériennes, pour un prétendu émancipateur de la gent féminine qui qualifie la décennie noire comme la période la plus faste pour l’Algérie. Une période marqué par des scènes sanglantes quotidiennes imposées par ses adeptes idéologiques de l’obscurantisme et des égorgeurs, bien soutenus financièrement et logistiquement par ses employeurs d’aujourd’hui, les nostalgiques de l’Algérie française et leurs alliés makhzeno-sionistes.

L’arrestation de Boualem Sansal à Alger pour atteinte à la souveraineté nationale acquise à un prix fort de millions de martyrs depuis 1830, avait suscité la mobilisation des QG de l’Etat profond français, qui se sont tus , il faut bien le préciser à l’occasion de l’arrestation du défenseur des droits de l’homme et coordinateur de l’autorité marocaine pour le soutien aux prisonniers politique Foued Moumni. Une arrestation effectuée par l’appareil répressif du régime du Makhzen, le jour de l’arrivée du président français Emmanuel Macron au Maroc

D’ailleurs, le caractère sélectif chez les donneurs de leçons de la doxa hexagonale n’est plus à présenter. Et ce n’est pas l’ancien résident français qui va nous contredire, lorsqu’il avait déclaré que les victimes civiles palestiniennes de la bande de Ghaza sont de seconde zone. Même cas de figure pour le maire de Nice, Christian Estrosi, combattant de la cause sioniste et figure du soutien aux génocidaires Netanyahou et Gallant et qui n’a pas hésité à expulser l’international algérien, ancien sociétaire de l’OGCNice, pour avoir uniquement partagé un post soutenant la résistance palestinienne.

La doxa hexagonale qui traite la gouvernance algérienne de « dictature » oublie de facto que le mode de gouvernance en France s’appuie sur la très « démocratique  » règle de 49.3. Une France dirigée aujourd’hui par un président dont la popularité ne dépasse pas les 17% et d’un gouvernement dirigé par Michel Barnier dont la formation politique s’était classée en 4ème position lors des dernières législatives françaises.

Aujourd’hui, l’arrestation du traître Sansal, supplétif du sionisme et leur relais le CRIF, est somme toute judicieuse pour un imposteur animateur des séances dînatoires du CRIF et compagnon de l’OAS avec le Cercle algérianistes.

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