En autorisant l’organisation terroriste du MAK et des néo-harkis à marcher dimanche 20 avril à Paris, la France néocoloniale montre son vrai visage qu’elle n’a jamais digéré l’indépendance de l’Algérie, et qu’elle est en pleine nouvelle guerre d’Algérie, menée par l’extrême droite française et les fils de l’organisation terroriste de l’OAS.
Tout en interdisant les manifestations propalestiniennes destinées à condamner et dénoncer le génocide du Peuple Palestinien par l’armée la “plus démocratique” de l’entité sioniste dirigée par le génocidaire Benjamin Netanyahou, le Préfet de police de Paris, Laurent Nunez , connu pour sa haine viscérale à l’égard de l’Algérie a rapidement obéi à son ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau qui fait de la destruction de notre pays, son plat politique préféré,entamé depuis ses déclarations racistes tenues lors de l’assassinat du jeune Nehal en juin 2023 par la faction raciste de la police française.
Après avoir perdu la bataille des OQTF, l’expulsion de l’influenceur Doualemn, et l’expulsion de ses 12 agents de l’ambassade de France à Alger,par les autorités algériennes (leur mission consistaient à rejeter les demandes des visas des Algériens et la mise en oeuvre de plans de déstabilisation), le soldat Bruno Retailleau obsédé par la mort de son père durant la guerre d’Algérie, passe à une nouvelle étape de la seconde guerre d’Algérie, en propulsant l’organisation terroriste du MAK au devant de la scène, au même titre que certains traîtres à l’image de l’anaphabète néo-harki Amir dz, l’acteur de “l’ubuesque comédie” qui pue le mensonge, réalisée par le patron des services de Beauvau, en les autorisant à insulter le pays des martyrs et ternir son image.
Retailleau est à son actif le médiocre scénario, vendu à la ra-masse (pardon pour les doublons), et qui concernerait un employé du Ministère français de l’Economie mis en examen à Paris, qui avait noué une « relation intime » avec une assistante sociale de l’Office français de l’Immigration et de l’Intégration, pour soi-disant obtenir des renseignements sur de prétendus « opposants » (comprendre : les membres des groupes terroristes de « Rachad » et du « MAK »), on ne sait à quoi!
Ils ont beaucoup d’imagination, les services du « rocailleux »! Ce qui imaginatif avec ce système, c’est le fait que dès le moment où la « presse » française colle l’étiquette « d’opposant » à une personne, partout dans le monde, on comprend que c’est un traitre, un « Harki », en route vers le terrorisme. Ce régime néocolonial balance t-il volontairement ses collabos ? Et par la même occasion, on n’a même pas besoin de se gratter les méninges, puisqu’il désigne tout seul ses services complotistes.
D’autre part, l’Office français de l’Immigration et de l’Intégration, qui gère le guichet unique des demandeurs d’asile avec l’OFPRA (Office Français de Protection des Refugiés et Apatrides), est l’un des principaux organismes de recrutement de terroristes en France, à côté des ONG (comme Artémis), afin de grossir ces groupes au service du système colonial.
En France, toutes les ONG sont des organismes officiels du système, à l’image de France Terre d’Asile dirigée par l’ancienne « sinistre » sioniste Najat Vallaud-Belkacem, et ses dizaines de centres de recrutement, y compris en Tunisie! L’OFPRA est un organisme géré par les Services de Renseignements (DGSE-DGSI) en France, qui instruit les dossiers des demandeurs d’asiles, en fonction des directives de sa Division de l’Information, de la Documentation et des Recherches (DIDR).
A-t-on besoin de faire un dessin, pour comprendre les missions de ces organismes de l’information, de la documentation et des recherches, au sein du système colonial français?
C’est ce même organisme (DIDR) des « services secrets français », qui a donné des instructions à l’OFPRA, dans une directive datée du 9 août 2019, afin d’octroyer le statut de refugiés aux personnes présentées par le groupe berbéro-terroriste du MAK.
La France, qui a accueilli et protégé des terroristes islamistes, avec cette directive, reconnait officiellement son implication directe dans la formation et le recrutement des groupes terroristes, dont les recrues bénéficient du statut de « refugiés politiques ».
La France officielle reconnait donc explicitement que des «néo-Harkis », des traîtres et des collabos, présenteraient un intérêt fondamental pour le régime colonial français et seraient catégorisés « secret-défense »! Pas mal le boulot de ces opposants qui bîtent en trottinettes, et qui pousseraient jusqu’à l’Intelligence avec une puissance étrangère!
L’organisation terroriste du MAK, création franco-maroco-sioniste
L’organisation terroriste du MAK a été créée le 5 juin 2001, sous la houlette du régime colonial français, avec l’appui du parti sioniste le Likoud et le financement du commandeur des croyants du Makhzen. Le promoteur de premier ordre de cette stratégie de la politique de la “Race” berbériste n’est autre que le facsiste Jacques Kupfer, Ancien président du Betar et du Likoud de France, dirigeant de l’Organisation sioniste mondiale, membre du conseil d’administration de l’Agence juive et président du Likoud Monde. Jacques Kupfer est le fondateur de l’association de nazis « Israel is Forever », dirigée aujourd’hui par sa fasciste fille Nili Kupfer.
Nili Kupfer, pour ceux qui ne la connaissent pas, est c’est cette sioniste-fasciste promue par les médias français pour faire l’apologie du génocide du régime criminel des généraux de Tel-Aviv. En plus de se mettre fièrement en scène à la frontière égyptienne pour bloquer les camions d’aides humanitaires à Gaza, elle a organisé le gala célébrant le génocide du peuple palestinien, avec comme invité spécial le ministre des Finances de l’entité sioniste et criminel de guerre Bezalel Smotrich.
Le régime du Makhzen, sponsor du terrorisme du MAK
Personne ne peut nier le rôle du régime du Makhzen dans le financement et la planification des incendies criminels de l’été 2022, ayant provoqué des dizaines de martyrs dont des éléments de l’ANP, ayant sacrié leurs vies pour sauver des civils encerclés par les feux des pyromanes terroristes du MAK. L’ignoble assassinat du jeune Djamel Bensmail est une parfaite illustration de la haine viscérale des éléments de la nébuleuse terroriste du MAK, à l’égard de l’ensemble du Peuple Algérien, dont la Kabylie qui demeure le coeur palpitant et une région intégrante de l’Algérie souveraine et indépendante.
Dans le même cadre, il est intéressant de savoir que les valises contenant (au moins) les 250 000€ que reçoit l’organisationterroriste du MAK, de la part du régime du Makhzen, dont l’annonce a été faite par Idir Djouder, son ancien trésorier, des valises qui atterri ssent au Quai d’Orsay pour être distribuées aux « ayants-droits d’assassiner » le peuple algérien!
C’est le gourou Co-fabriqué par le régime d’apartheid de Tel-Aviv en personne qui récupérait les bobines (250 000 €) de billets de banque , bien avant qu’ils ne soient gardés par « Nanard Koukouche », la « girouette », le porteur des sacs de riz en Somalie et le défenseur de l’ingérence des « Blancs » dans les affaires des « Noirs ». Même Jérôme Cahuzac, l’ancien Ministre du Trésor volé au peuple, ne pourra pas mentir là-dessus « les yeux dans les yeux »
Le complot ne date pas d’aujourd’hui
La mise en place du complot berbériste de 1980, a été organisé à l’académie berbère de Paris, sous la direction de façade Mouhand Arav Bessaoud. Les vrais penseurs de ce complots sont Augustin Léon Ibazizen (membre de la direction du parti fasciste “Croix de feu” du Colonel François de Laroque dissout en 1936) et Mahjoubi Aherdane qui a occupé plusieurs postes ministériels dans le royaume du Hachich, notamment celui de Ministre de la Défense de Hassan II.
Ils étaient entourés à Paris par des militaires “indigènes”: Youssef Achour (1914-1992), lui était un engagé dans l’armée française (1939_1940), désigné sénateur dans l’Algérie-française le 31 mai 1959 jusqu’à l’indépendance le 4 juillet 1962. Il a été désigné sous-préfet en France et a été décoré de l’Ordre du Mérite agricole.
Abdelkader Rahmani, ancien brigadier et instructeur dans l’armée française, il accédera au grade de sous-lieutenant le 20 octobre 1948 et sera promu lieutenant le 1er janvier 1952. Il sera décoré de la Légion d’honneur en 1956.
Ce pacificateur « berbériste » qui ne voulait pas voir l’Algérie se libérer du joug colonial, a été promu capitaine en 1975, peut-être pour avoir contribué à sauvegarder la culture indigène en Algérie, sans les indemnités pécuniaires de rattrapage pour le « bon boulot » réalisé, puisque le Conseil d’État avait rejeté ses demandes salariales pour son service fait en 1977.
Amar Naroun (1906-1988), originaire de Larbaa Nath Irathen (Tizi-Ouzou), sera député indigène du second collège (Constantine) du 13 juillet 1952 au 1er décembre 1955. Mahjoubi Aherdan (1921 ou 1924- 2020), officier supérieur de l’armée du royaume du haschich dès 1940, a été gouverneur de Rabat en 1956, et proche de Ahmed Réda Guérida, un ami intime de Hassan dos.
Ce membre fondateur de l’Académie coloniale pour les « barbares » de Salluste (qui aurait soufflé l’idée de l’intelligence artificielle avec les « buchettes » de Jacques Bénet), n’est autre que l’ancien Ministre des bidasses, au château hanté par Bernard Lugan, le spécialiste des guerres des éthnies et qui n’a rien à envier à Boualem Sent Sale, en matière de soutien à l’expansionnisme territoriel du régime du Makhzen.
Il a été aussi « sinistre » de l’agriculture marocaine (de 1964 à 1965) pour cultiver le Haschich pour le monarque, « sinistre » d’Etat chargé des Postes et des Télécommunications (1977) en prévision de « Pegasus », et « sinistre » d’État chargé de la Coopération (1981) pour préparer la normalisation avec le « beau » régime des généraux génocidaire de Tel Aviv.
En 1990, leur « ami le roi » de Tazmamart le désigne à son Conseil des Droits de l’Homme pour représenter les bidasses, poste qu’il occupera jusqu’en 2011. Ils ont eu de la chance les « kakis » du Makhzen : grâce à Mahjoubi Aherdan, ils ne peuvent que faire partie de la galaxie des « armées coloniales les plus morales du monde » de BHL.
Mohand Arav Bessaoud, l’un de leurs meilleurs foreurs ethniques, n’est autre que le pote de Jacques Bénet, ce berbériste hors-pair condamné par la 11ème chambre de la Cour d’appel du tribunal de Paris, pour « racket ». Cette Chambre de la Cour d’appel est sans doute « complotiste », pour avoir étalé les activités honorables de menaces avec ordres et sous condition, violences avec préméditation, coups et blessures volontaires, extorsion de fonds à des compatriotes, de cette académie évidemment “démocratique”.
Durant ce procès, en date du 8 juillet 1980, comme le souligne Michel Bole-Richard, dans le journal le « Monde » en date du 14 juillet 1980, il a été établi la réalité du lien avec les événements de Tizi-Ouzou de 1980, qualifiés de « printaniers » par le système du FMI, fabriqués pour les « lombrics » frisés.
En conclusion, le système du FMI (France-Maroc-Israël) nous a fabriqué une mythologie cachée parfaite, accompagnée de tous les accessoires nécessaires [chansonniers à la voie de casserole, écrivains « poublics », journaleux, caricatures sous presse, pingouins-dessinateurs racistes, « panseurs », « aboyeurs », racleurs politiques de légumes, épiciers politiques, salariés postés au mérite… Plus des partis-pris de la politique indigène, des télés en mode kamis ou MAKak – à toi de choisir –, des intellectuels et des « savons », afin de laver les cerveaux encore libres, etc.] pour t’installer douillettement aux premières loges du spectacle que nous jouent des artistes-spéléologues des légendes scientifiques, eux-mêmes fabriqués dans leur unique usine « clefs en main », qui n’a pas été délocalisée.
Dans la stratégique néocoloniale, la France otage de son paradigme néocolonial du 19e siècle, poursuit sa guerre de la “conquête”, en faisant appel aux indigènes-informateurs ,aux terroristes du MAK et du Rachad et aux néocolonisés bien illustrés par la doctrine de la servitude volontaire d’Etienne de Boétie, pour mener une nouvelle guerre contre l’Algérie et son Peuple, qui fidèle à son histoire de combattant et de résistant déjouera tous les complots néocoloniaux.