Monsieur le « tirailleur médiatique » de la « France à fric », puisque vous considérez que c’est l’Algérie qui est le bras de l’OTAN en Afrique (et non la monarchie du hachisch d’André Azoulay qui accueille les exercices militaires impérialistes « African Lion »), pourriez-vous démêler les enchevêtrements des services secrets occidentaux (USA, France, Allemagne, Angleterre, Suisse, Belgique, Pays Bas, …etc) infestant tout le Sahel ?
Il y a à boire et à manger avec l’AFD (Agence Française pour le Développement), l’Allemagne avec la Konrad-Adenauer-Stiftung et Friedrich-Ebert-Stifting, les Belges avec leur agence de développement « Enabel », Caritas Suisse et la Fondation Hirondelle (gère des médias d’envergure nationale-Studio Tamani), USAID de l’oncle Sam, l’ONG hollandaise PUM, l’agence norvégienne « Norad » de développement…etc.
Au Mali, rien qu’en 2014, pas moins de 22 radios ont été enrôlées par la NED (National Endowment for Democracy), une filiale de l’USAID, et donc de la CIA! C’est la NED qui mène la danse au Mali, puisque cela a été rendu public, le 10 juin 2019 par Azaz Ag Loudag Dag, premier Vice-Président du Haut Conseil des Collectivités (HCC), en compagnie de Badié Hima, le Directeur-résident-senior du NDI (National Démocratic Institute), chargé de mettre en place le programme concocté dans les laboratoires impérialistes américains.
Comme pour les autres peuples des pays du Sud, cet encerclement médiatique du peuple malien correspond précisément à l’un des bras fondamentaux de la stratégie des guerres de 4ème génération (appelées G4G), indispensable pour mener à bien les guerres cognitives préalable aux chaos structurels envisagés dans des zones visées par les puissants.
La particularité dans le Sahel, réside dans l’accompagnement de ses agressions des peuples par les dirigeants des pays respectifs, qui prennent officiellement leur feuille de route au royaume de la drogue.
Encore mieux, vous qui êtes noyé dans votre écran de fumée, pourquoi ne parlez-vous pas du financement par la NED (National Endowment for Democracy) de la plate forme « OBSERVATOIRE » (constituée de 36 ONG et Associations de la société (dite) civile malienne et présidée par Ibrahima Sangho), censée mener la transition au Mali ? Nous vous laissons le soin de faire le lien entre ces ONG maliennes formées par la NED et les dirigeants de la transition du Mali, qui font leurs courses politiques dans les palais du royaume d’Israël d’André Azoulay.
Sur le même registre, et pour lever le voile sur le verrouillage de l’information dans l’AES par le « SAHELIEN », un centre de désinformations de l’Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) de Georges Soros et du Groupe Klédu (Mali) de Mamadou Sinsy Coulibaly (surnommé « Coulou »), le businessman (activités dans les médias, l’industrie, le tourisme, les services ou l’agriculture) pilleur du Mali qui a dirigé le conseil national des entreprises du Mali.
Mamadou Sinsy Coulibaly est l’une des figures du grand capital malien, au service des intérêts des multinationales prédatrices qui organisent les déplacements des populations de leurs terres, afin de s’en accaparer et d’étendre l’influence des régimes coloniaux occidentaux.
Ces multinationales occidentales sont les principales entreprises de l’esclavage moderne et de la traite d’être humains, au moyen du trafic des migrants africains, qui font déplacer des centaines de milliers de personnes, avec la collaboration des bourgeois locaux, comme Mamadou Sinsy Coulibaly, Fatoumata Batouly NIANE (Touly’s Group), Aliou Boubacar Diallo (Wassoul’or), Mossadeck Bally (Azalai Hotels), Ibrahima Diawara (groupe IBI), Seydou Kane (homme d’affaires dans l’immobilier, agro-alimentaire et le pétrole), Basseydou Sylla (société Sylla Transit Transports), …etc.
Peut-être que vous devriez vous occupez du charognard « Coulou » qui a fait une jolie fortune ( 25 millions de chiffre d’affaires annuel rien qu’avec « Malivision ») sur le dos du peuple malien avec son entreprise de pompes funèbres « spécialisée dans les enterrements à l’africaine », tout en déclarant à côté de Pierre Gattaz (le patron des patrons du MEDEF en France) lors d’une conférence de presse organisée à Bamako le 13 janvier 2017, à l’occasion du forum économique de la « France à fric » : « Au Mali, il n’y a pas la culture du travail ».
Monsieur le tirailleur médiatique de la « France à fric », s’il vous manque des données pour compléter le tableau noir de « l’Afrique des libertés » que vous tentez de confisquer, vous pouvez vous adresser à Choguel Kokalla Maïga, l’ancien premier « sinistre » du Mali, lequel est aussi outillé d’une langue pendue comme une cravate, afin de nous éclairer sur sa démarche (symbolique dit-il!) d’administrer la première dose de vaccin Johnson & Johnson contre le « Covid 19 » à Cheryl Anderson, la Directrice de l’USAID au Mali, le lundi 23 août 2021… Après cette promotion du vaccin de l’USAID, n’est-il pas légitime de penser que Choguel Kokalla Maïga a des liens avec la CIA ?
Enfin, on attend toujours les explications géographiques de l’AES et de Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la « France à fric », sur la convocation des trois pays de l’AES, le 23 mars 2023 à Marrakech, par le Makhzen, qui leur a proposé un accès à l’Océan Atlantique.
A moins de sortir de l’école des reptiles du Makhzen, ou d’être frappé d’une amnésie géographique généralisée, la lecture politique de cette escalade néocoloniale vise non seulement à exploser l’Union Africaine, en entérinant la colonisation du Sahara Occidental, mais aussi à faire exploser la Mauritanie et dissoudre le Mali dans le Grand Maroc. Assimi Goïta, le général de Bamako et les dirigeants maliens, ne font pas le parallèle entre le Grand Israël et le Grand Maroc, eux qui ont déjà normalisé leurs relations avec les généraux génocidaires de Tel-Aviv, par l’intermédiaire du royaume de la drogue et de la pédophilie d’André Azoulay.
En attendant, la « France à fric » continue de tisser sa domination, avec la complicité d’une élite vendue aux colons, comme elle l’a exprimé lors du colloque qu’elle a confectionné le 14 avril 2025, au Palais du Luxembourg, siège du Sénat français, afin que les populations du Sahel continuent à être livrées aux « négriers indigènes » de la traite humaine dans le désert.
C’est Arnaud Benedetti, l’un des fascistes du système colonial français, et ami de Boualem « Sent Sale », qui a conclu cette messe basse sans le curé Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la France « à fric » qui pratique à merveille l’Uberisation de la politique en Afrique.
Le Mali est sur la voie du royaume du cannabis, maillon faible du continent africain et bras armé de l’impérialisme mondial.
Lire: Lettre à L’AES, et à Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la France «à fric» (Partie1)