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L’ONU dénonce une loi de l’entité Sioniste autorisant la fermeture des médias étrangers

Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a dénoncé jeudi la nouvelle loi de l'entité Sioniste autorisant la fermeture des médias étrangers opérant dans les territoires occupés, qualifiant cette décision de "restriction des libertés des médias".

Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme a dénoncé jeudi la nouvelle loi de l’entité Sioniste autorisant la fermeture des médias étrangers opérant dans les territoires occupés, qualifiant cette décision de « restriction des libertés des médias ».

L’entité Sioniste a adopté, lundi, une loi permettant d’interdire à la chaîne qatarie « Al Jazeera » d’émettre à partir de son territoire. Commentant cette décision, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme a écrit sur la plateforme « Entrer à Ghaza », que cette loi « est une autre restriction aux libertés des médias ».

En vertu de cette loi, l’entité Sioniste sera habilité à fermer les stations étrangères et à confisquer leur équipement.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression sauvage contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent. L’entité Sioniste est poursuivi devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour « crime de génocide ». Dans une ordonnance rendue en janvier, la CIJ a enjoint l’occupant sioniste de mettre un terme à ses agissements à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l’acheminement de l’aide humanitaire à la population civile de la Bande de Ghaza.

Dans une deuxième ordonnance indiquant des mesures conservatoires additionnelles, la CIJ a exhorté l’entité Sioniste à prendre « sans délai » des mesures pour assurer « l’acheminement sans entrave » de l’aide humanitaire, notamment de la nourriture, de l’eau , du carburant et des fournitures médicales. La Cour internationale de justice a déclaré que « les Palestiniens de Ghaza ne sont plus seulement confrontés à un risque de famine (…) mais que la famine est bel et bien là ».

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