Sans se verser dans la théorie du complot, la surmédiatisation d’un fait divers d’immigration clandestine de sept adolescents vers l’Espagne, témoigne et confirme le plan concocté par El Isaba, ses employeurs, les officines du régime du Makhzen et celles liées au paradigme néocolonial.
Une instrumentalisation d’une opération d’immigration clandestine qui coincide avec la tenue de la 4e édition de l’IATF 2025, qui marque le redépoiement diplomatique, économique et surtout géopolitique de l’Algérie sur la scène continentale avec la concrétisaion d’importants acccords d’investissements visant la promotion et le renforcement des outils de production, pour le bien des populations et jeunesse africaine.
D’ailleurs, ce n’est nullement un hasard, si les instruments de la propagande du Makhzen s’est saisi de ce fait divers pour mener une campagne de denigrement contre l’Algérie visant à semer le désespoir et le doute sur les perspectives pour la jeunesse algérienne et africaine, surtout que le président de la république Abdelmadjid Tebboune avait insisté lors de son inauguration jeudi dernier 4 septembre, sur la nécessité de redoubler d’efforts et d’actions en vue de garantir un avenir digne et proetteur aux générations futures du continent africain.
Les néo-indigènes et larbins comme Kamel Daoud n’ont pas tardé à commenter le fait divers, et sera certainement relayé par ses confrères de l’indigénat et la trahison comme les Mohamed Sifaoui , et Abdou Semmar.
Kamel Daoud qui brisa l’espoir d’une victime du terrorisme, en lui volant son “histoire” redouble d’allégeance à ses employeurs à la veille de la prochaine audience de procédure prévue e 10 septembre après l’assignation en France déclenchée par Saâda Arbane contre lui. Même cas de figure pour le sinistre Mohamed Sifaoui qui a fait de l’Algérie et ses institutions un point de fixation depuis plusieurs mois, pour échapper à la sentence de son procès prévu au début de l’année 2026, dans le cadre du scandale du détournement de fonds “Marianne”. L’imposteur Sifaoui compte bien entendu sur le soutien du de l’organisation sioniste du CRIF, et de ses amis BHL et François Zimeray, avocat du sinistre Boualem Sansal.
Par ailleurs, il faut noter que la machine de la propagande du Makhzen a fait du fait divers une cause nationale destinée à ternir l’image de l’Algérie, au moment où l’Algérie à l’opposé du Maroc lançait le projet de la création de zones de libre-échange, avec ses voisins maghrébins et sahéliens (intégration régionale), visant la stabilisation des populations , dans le cadre de la lutte contre l’immigration clandestine, en offrant une vie digne, via l’édification d’équipements publics dans le domaine de l’enseignement, l’éducation, la santé, le sport , la culture, l’emploi et le divertissement.
L’approche algérienne demeure la plus fiable et la plus crédible pour les peuples du continent, pour sortir du joug du néocolonialisme. A l’opposé le régime du Makhzen fait du dossier de l’immigration clandestine une monnaie pour faire chanter ses voisins comme l’Espagne, en envoyant des centaines d’enfants à l’assaut de la mer pour rejoindre les côtes espagnoles. Outre, les 8000 jeunes envoyés à l’assaut de la citadelle des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, le régime du Makhzen est responsable de l’assassinat de dizaines d’africains qui tentaient en juin 2022 de rejoindre l’enclave espagnole de Melilla.
D’autre part, il faut noter que le Maroc signataire et hôte du Pacte de Marrakech, a été le premier à le violer, en “assassinant” 37 migrants africains selon les chiffres officiels dévoilés par le Makhzen, sachant que la royauté qui excelle dans la vente des biens et des personnes à ses maîtres, a été l’un des premiers pays à accepter la proposition européenne d’acceuillir sur son sol des centres de rétention de migrants africains contre des dividendes financières qui vont directement dans les compes du commandeur des sujets, sa familles royales et ses relais prédateurs du régime du Makhzen.