Par Boualem Snaoui
Dans le cadre de la stratégie de diversion construite par les colons, afin de détourner l’attention sur les projets des marchands de morts, et de voiler l’installation de l’armée du « beau régime des généraux de Tel-Aviv » au sein de leur royaume à l’Ouest, le système du FMI (France-Maroc-Israël) a aussi déployé ses sportifs, qui divertissent médiatiquement la galerie, en jouant sans ballon (comme au football) pour nous éloigner du vrai terrain de lutte contre leur idéologie de domination, qu’ils veulent graver dans nos cerveaux pris pour ceux des « moineaux ».
En « défonce » de la France
C’est ainsi que le journal des détenteurs du Grand Capital du CAC 40, le Figaro (qui vient au secours du Trotskiste Moustache-pistache El Kadi, et plaide pour le « Hirak à la banane coloniale», à côté de la gauche française, dans un article publié le 21 avril 2023) avec l’encre de Charles Jaigu, déclare à l’endroit de l’Algérie : « On ne réussit jamais à changer en profondeur un pouvoir dictatorial ». On ne peut pas dire que Charles Jaigu soit un civilisateur, à l’image de toute la classe politico-médiatique « fronçaise», qui se bat comme une diablesse pour effacer les crimes coloniaux commis contre le peuple algérien. De plus, ce gars- là disserte sur l’Algérie, depuis le pays où le régime a même confisqué officiellement les casseroles aux citoyens, qui protestaient contre le hold-up de deux ans de notre vie. C’est peut-être pour faire barrage à un complot « Téfal », et éloigner le risque de voir Jérôme Cahuzac revenir racler les fonds et les bons de caisse de l’Etat, parfumés par Benchikou (fondateur du canard des ténèbres, appelé à l’envers le « Matin d’Algérie »), le refugié lui aussi politique.
Je ne sais pas si Charles Jaigu vit en France ? Si c’est le cas, on ne peut que se demander s’il a mis un peu le « Pif » (organe de communication de O’Macron avec le peuple de France encore juvénile) dehors, pour sentir la bonne odeur des BRAV-M et des nuages écologiques de lacrymogène qui couvrent la France entière. Sans parler des antivols placés dans les aliments par les gérants des supermarchés, pour mettre au régime les citoyens touchés par la famine, qui doivent faire encore des trous à leur ceinture, pour la serrer sur leurs osselets.
Cette dissertation « dictatoriale » ressemble à une réaction des maîtres chanteurs au report de l’incompréhensible visite du Président Algérien, à Paris, prévue au mois de mai 2023, pour lui faire partager la musique des casserolés dont bénéficient nos « démoctateurs », ou le faire participer au chant pyrénéen, avec l’association « Canto » ? Même Charles III a reporté son voyage dans la grande « Démoctature fronçaise » en ébullition. Ajoutons le fait que l’Algérie-française est en embuscade, pour garnir le parcours de sa visite avec des « pingouins-ratons » réclamant la généralisation du statut d’indigène au peuple algérien, sous la bannière des « Droits de l’Homme » à décapiter les citoyens. Les groupes « d’amitié en terrorisme international », démocratisés dans la « Fronce » moderne, ont déjà promis d’être de la partie pour animer la fête du peuple algérien, et déclencher le feu d’artifice qu’ils attendent depuis 1962. Oui, depuis 1962, c’est le slogan fétiche fabriqué pour les « bougnoules » en mal de colonisation.
Le président de l’Algérie va pouvoir partager un peu d’impopularité de son ami « Elysée » du château, surtout que le couvre-feu vis-à-vis des algériens solidaires du peuple est toujours en vigueur depuis l’époque coloniale : contrairement à ses salariés colorés à la banane, le régime « fronçais » leur interdit « démoctaturement » de se rassembler sur la place de la République à Paris.
On n’a vraiment pas de chance ! Même le Président A. Tebboune prévoit de nous provoquer en créant un front de résistance au « Daoud 19 » supplémentaire. Les conseillers algériens ont peut-être oublié que le système avait même planté une belle tente pour Khadafi à Paris, en 2007, avant de lui faire la peau, et de transformer la Libye en un « très large et joli » terrain du terrorisme international qui frappe aujourd’hui toute l’Afrique. Bachar el-Assad, lui aussi, a été installé aux premières loges du défilé du 14 juillet 2008, avant de « démocratiser » le peuple syrien à coup de bombes, et de voir Daech, financé par le cimentier Lafarge, jouer au football avec les têtes découpées de ces innocents! Saddam Hussein, lui, a été pendu le jour de l’Aïd al-Adha, le 30 décembre 2006 ! Un symbole qui ne laisse aucun doute démocratique sur le choc des civilisations fabriqué dans les laboratoires par les puissants.
Pour confirmer que la « presse » « fronçaise» est à lire toujours à l’envers, deux frisés, oui deux : Karim Amrouche et Madjid Zerrouky, sont venus avec une spontanéité déconcertante au secours de leur Moustache-pistache, le 28 mars 2023 dans un canard de guerre braqué spécialement contre le peuple algérien, en rangeant les contradicteurs du régime colonial dans la case de « proches du pouvoir ». Ils n’ont pas désigné nommément les fellagas visés, mais on devine quand même la direction du jet lumineux de leur projecteur. Ces informateurs de dernière génération prennent-ils leur cas pour une généralité, dans le cadre du théorème de l’inversion des valeurs ? Leur propos est une vérité incontestable, surtout avec nos vieilles bécanes sous contrôle prévisible de tout les « Pegasus » du système du FMI, qui bug en permanence, et à qui il manque des touches, dû à l’usure. Ils se demandent encore pourquoi le peuple se détourne de leurs fakes-news officielles de « France un faux »? Il n y a qu’à demander diplomatiquement à Akram Belkaïd, pourquoi le titre d’un article du « Monde » du 2 mai 2023 a brusquement évolué de : »face à la contestation sociale, l’escalade sécuritaire », à : »police et préfets en première ligne ».
Sachant que leur « révolution » brune au « Kamis » et à la « fourchette de Jacques Natfali Benet » a pris l’eau de toutes parts, le système colonial en perdition a donné l’ordre d’organiser une « battue » (ce mode de chasse en groupe dans lequel des traqueurs rabattent le gibier vers des tireurs postés) pour atteindre les militants du Droit et de la Justice, Rafaa et le Docteur A. Bensaada : Ils ont été désignés « fellagas » par les salariés frisés du système colonial.
Après la milice de la justice de « Assoul la cagoule » et ses « tuniques brunes » de leur race, si je me souviens bien, j’ai fait une pause transitoire avec un grand cinéaste en politique, qui a atteint une vitesse de croisière inégalée avec 15 films littéraires en 2023, après ces deux productions en 2007, l’année de lancement de son satellite blog de « Fronce » spot (Satellite Pour l’Observation de la Terre) de télédétection intellectuelle.
Khaled « ça tourne »
Concernant Khaled « ça tourne », qui a frappé encore une fois avec ses fléchettes en position couchée, en désignant le militant Rafaa et A. Bensaada comme étant des « fellagas », il a baissé le rideau devant ses contradicteurs. J’ai vu un pleurnichard de la bande du « Zelig d’or » venir faire couler ses larmes de crocodile sur la page de ce héros moderne, qui n’est pas un louveteau (il comprendra) ! Ce cinéaste de premier plan « d’horreur de tournage de la politique chaotique » écrit : « Misère du débat algérien ». Je l’avais pressenti : c’est un vrai « démoctateur » exprimant sa vérité avec fermeté, et confirmant qu’il détient bien le « Pass intellectuel » chez les « Indigènes », après avoir jeté l’éponge devant le « Pass sanitaire » de « O’Macron ». Si j’avais évoqué « Khaled ça tourne » dans « Qui brûle qui ?», le militant Rafaa, qu’il avait désigné comme « fellaga », lui a déroulé son CV (au-delà de son bricolage professionnel) montrant son appartenance à la galaxie des « Qui tue quistes». Il est fou ce Rafaa ! Il lui a même ventilé la senteur du « Kamis Akbar » des « coupeurs de têtes » démocratisés, qu’il cachait sous ses aisselles odoriférantes d’enturbanné des sciences inhumaines.
A titre préliminaire, comme dirait son détenteur, lorsque tu viens au secours de celui qui avait déclaré que les intellectuels algériens assassinés : « ont choisi la voie de la confrontation », qu’«ils [en] ont payé le prix» et qu’«ils en fassent des martyrs pour eux», c’est que tu donnes les meilleures garanties éthique et intellectuelle, non ?
A titre préliminaire également, lorsque tu voyages sur le même tapis de « prière satanique » que celui (et ceux) que S. Daniel (enquête du flic suisse Léon J.) désigne comme étant le (les) responsable (s) du massacre des sept marins italiens, égorgés en juillet 1994 à Jijel (Est d’Alger), impliqué(s) aussi dans un vaste trafic d’explosifs (Semtex) achetés en Slovaquie, et acheminés via Bâle et Marseille, pour assassiner des citoyens innocents en Algérie (dont quatre enfants déchiquetés le 1er novembre 1994 à Sidi Ali -Wilaya de Mostaganem- et 17 autres gravement blessés), c’est qu’il a les meilleures garanties éthique et intellectuelle, non ?
Enfin, n’a-t-il pas les meilleures garanties éthique et intellectuelle, lorsqu’il écrit (le 21 août 2021) à propos des berbéristes du MAK, groupes classés terroristes en Algérie: « L’appui apporté par le représentant du Maroc aux Nations-Unis le 14 juillet dernier à l’« autodétermination de la Kabylie » avait conduit les autorités algériennes à construire la thèse d’un complot contre l’unité du pays, ourdi par ce mouvement avec la complicité de puissances étrangères». Ces groupes construits par le système du FMI (France-Maroc-Israël), renforcés dans les manifestations parisiennes par les « sujets » et l’argent du roi Dagobert, qui défilent avec les drapeaux du régime des généraux du royaume d’Israël, ce n’est juste qu’un mirage et une fabrique imaginaire de notre esprit malsain, n’est-ce pas ?
Et puis sur le même registre, cet expert en cinéma en politique a voulu contredire Bernard Deschamps (le très très grand complotiste), ancien député du Gard, qui dans sa lettre à Patrick Le Hyaric, déjà en 25 septembre 2017, avait écrit à propos de cette organisation : « C’est une organisation séparatiste qui complote pour déstabiliser l’Algérie avec l’aide de pays étrangers. Son fondateur Ferhat Mehenni (présent à la fête de l’Huma), avait été reçu officiellement le 20 mai 2012 en Israël et par la suite, au Québec, devant le Centre consultatif des relations juives et israéliennes, il avait appelé Israël à soutenir « les droits du peuple kabyle. »
Madame « Zigomar »
C’est Madame « Zigomar », de son vrai nom Ghania Mouffok, celle qui a été publiée (avec un titre pompeux de journaleuse) par hasard en 1996 par RSF (Reporter surtout avec des Frontières) du « gentil » Robert Ménard, celui qui proclama « Vive l’Algérie française », et qui, dans une diarrhée écrite en date du 29 décembre 2022, a lancé une belle fatwa politique désignant le Docteur Bensaada comme étant un « fellaga »! La « démoctatrice » Ghania Mouffok, qui n’est autre que la dulcinée du Zelig d’or (le supporter du hachich de leur « beau » royaume d’Israël), est une vraie pacifiste, puisqu’elle relaye le mot d’ordre des coupeurs de têtes au « Kamis » contre les intellectuels algériens. Si sa haine profonde contre le peuple algérien, présentée comme un avenir progressiste, est diffusée par Nicolas « Joli » (celui pour qui le royaume du hachich et du bakchich est « Beau »), c’est qu’elle ne fait pas partie du gang « néocolonial à la banane ». Elle a aussi transcrit une discussion du « café maure » avec la grande « berbérologue » Louisa Lugan, l’Ogresse brune qui rabat les travailleurs avec une faucille et un marteau, vers le guet-apens de sa RACE.
Un Moh qui en cache un autre
Un autre scientifique, un Mohamed qui cache un autre Moh Saïd Kahoul (un peu comme un frisé-surveillant officiel de gare qui contrôle les passages à niveau des chemins d’enfer coloniaux), a déployé son savoir de Marabout du Business, obtenu à l’Université du Québec, pour prononcer la sentence : « Bensaada est un fellaga ».
Ce supporter du grand « Capital », qui bataille pour la privatisation des biens du peuple algérien sur une chaîne de télévision publique (Canal-Algérie), n’est pas en mission pour dépouiller les citoyens de leur bien commun, sans doute au profit du royaume du hachich et du bakchich. C’est dans l’un de ses « posts du business maraboutique » raté, où il avait prédit le déplacement de leur ami, le roi Dagobert, au sommet arabe d’Alger en novembre 2022, qu’il s’est lâché : « Douter un instant de son déplacement, c’est méconnaître la politique royale depuis son défunt père ». Ce doué prêcheur royal, doté vraiment d’un sixième sens, aurait dû changer de métier, depuis l’échec de sa préméditation (où il avait écrit deux fois « méconnaître » la politique du père, du FIS et de leur esprit tout à fait saint !). Je crois que ce voyant-frisé, qui a peut-être trop fumé la moquette du palais, a voulu apporter la contradiction à Gérard Fauré, celui qui a tout balancé sur la « O’ belle vie » et les folies au château.
Rabah « le Moulla » à vent d’AlternaTV
Rabah « le Moulla avant » et d’aujourd’hui de la barbe à papa médiatique, est un « Dilem » de la vraie éolienne du raciste croque-mort. Il a même rendu malade son dieu Eole, en faisant tourner ses pales à l’envers du sens de l’Histoire, pour souffler le chaud à partir de son écran « histube » d’« enterre net ». Ce canadair (et non ce Canadien) incendiaire, prototype de l’expert scientifique lyonnais, auteur de la théorie de la régression inféconde, qui prend l’Algérie pour un zoo et les Algériens pour des animaux, jette le feu sur la toile pour des légumes, en désignant lui aussi Rafaa et Bensaada « fellagas ».
En effet, le « Moulla à vent » s’est interrogé en « réducteur » sur ce que peut faire « l’occidant » pour réduire chimiquement Rafaa et Bensaada, lesquels ont transformé en poussière leurs plans d’abattage du peuple algérien. J’espère que sa proposition, devant son auditoire bien aligné contre le peuple algérien, sera prise en compte par Aissa Rahmoune, qui vice préside la FIDH, financée par les philanthropes qui tiennent les « bourses » mondiales. Il doit « panser » à une merveilleuse réaction d’oxydoréduction à Guantanamo, ou à Abou Ghraib.
Si chez Rabah, le « Moulla à vent de la barbe à papa » on déguste la soupe du complot berbériste avec la fourchette « Jacques Naftali Bénet », il n’en demeure pas moins qu’il est à la tête de pont alternative de la boulangerie où sont produits des révolutionnaires, comme de petits pains farcis à la barbe des coupeurs de têtes des années 1990.
C’est sa fatwa « démoctatrice » pour se venger en position couchée, de Rafaa et de Bensaada qui lui ont étendu ses reptations cathodiques de son écran technologique de type ACS (Affichage à Cristaux Solides) et de taille zéro pouce. Il a appelé en renfort un autre géant intellectuel en révolution, l’habitué Youcef le « Zouk », un vertébré qui longe le mur du débat contradictoire sur la pointe des pieds, pour souffler comme un « colon-voyageur » : « …le pouvoir (pas le sien ?) lâche ses chiens, les Bensaada et d’autres invertébrés ». Youcef Re « Zouk », un danseur « politique en chef » d’un matin d’Algérie des ténèbres des bons du Trésor de Benchicou, doit-être un expert à distance en taxonomie des canidés, pour user d’un tel argument maxillaire fatal avec son képi de soldat de la société tellement civile.
Rahmani le gourou de la « berbérologie »
Je passe sur un révolutionnaire des temps modernes, venu enrichir le tableau de chasse du Dr A. Bensaada, qui se définit comme le gourou de la secte « berbéro-complotiste » de Jacques Naftali Bennett. On lui a greffé une bouche pour débiter un vocabulaire puisé dans la fosse septique du « colon », afin de généraliser son atmosphère et sa stratosphère pestiférantes à partir de sa page de « face de bouc ». Chez cet Organisme Ambulant Génétiquement Modifié (OAGM), digne produit des révolutions colorées de la régression, appelée « féconde » par l’expert des banquets de la NED de Lyon, tu n’as pas besoin de tes narines pour sentir les gaz issus de la putréfaction politique fécale des « mètres » à « panser ». Pour rendre service au peuple, on pourrait éventuellement lui proposer de profiter du formidable projet de loi qu’envisage notre « démoctature », sous la direction du commandeur « O’Macron », sur la fin de vie politique (l’euthanasie), après les conclusions du lundi 3 avril 2023 de leur convention appelée citoyenne, pour répondre aux revendications sur nos retraites.
La guerre d’Algérie part II
Tout ce joli monde, et j’en oublie quelques figures glauques à claques (ainsi que ce chantre des « droits de l’Homme -LADDH- à décapiter » qui avait déclaré que Bensaada est un charlatan, avant de festoyer à la commission de corruption européenne des DH, contre le peuple algérien ), est mis en orbite dans le cadre de l’épidémie du « Daoud 19 ». Ce sont des métastases politiques injectées dans le corps algérien par la « Fronce » coloniale (identifiée « Grand Corps Malade » par le rappeur Fabien Marsaud) pour accompagner, juste avant le 19 mars 2023, l’inauguration de l’exposition «l’illusion de la paix en Algérie» des nostalgiques de l’OAS à Perpignan ! C’est la ville de Louis Alliot qui a déjà bétonné pour l’avenir une esplanade au nom de Pierre Sergent, une figure de premier plan de cette organisation.
C’est aussi à ce moment là (et ce n’est certainement pas de concert de « casseroles » avec l’OAS, comme on peut l’imaginer, dans le cadre de la deuxième guerre d’Algérie), que des « révolutionnaires la banane » se sont pointés à la Mairie d’Evian, pour renouveler le bail colonial.
Dans le même sillage de renouvellement du bail colonial, l’association « Le Grand Maghreb » qui se définit fraternelle de la guerre, a déposé une requête enregistrée les 12 juin et 1er décembre 2021 au Secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, en annulation des déclarations gouvernementales du 19 mars 1962, dites » accords d’Evian « . Si le Conseil d’Etat a rejeté (le 24 février 2022) leur requête d’attaque des peuples, ce n’est pas parce qu’il considère que ces génies des chaos modernes sont faiseurs de guerre, mais plutôt qu’elle est portée devant une « juridiction incompétente ». Ben, il n’y a qu’à trouver une juridiction compétente, type « ORION », qui prépare en ce moment nos bidasses à une guerre programmée entre deux pays fictifs qui ne sont pas la France et l’Algérie : « Mercure et l’Arnland ».
Tout ce joli monde de bras armés de la tête aux pieds, mis en valeur par les canaux de liaison néocoloniaux, ne prend pas ses directives dans un centre invisible de commandement des généraux du FMI de la société civile, pour désigner les Rafaa et Bensaada : « fellagas ». C’est un peu comme ces terroristes issus des cultures hydroponiques qui poussent comme du chiendent sur le sable du désert dans le Sahel, que nos satellites qui « Satour » le ciel ne voient pas. C’est Rabah, le « Moulla » à vent de la barbe à papa, qui souffle sur leur Kamis volant, avec la fourchette de Jacques Bénet, pour les faire voler au dessus du nid de coucou du passage à niveau gardé par le « Moh », qui en cache un autre !