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Macron  défend l’unité de la France et encourage le séparatisme en Algérie

Quand le drapeau des martyrs devient une nappe de table

En France, il est interdit deux langues et deux emblèmes, alors qu’en Algérie, les responsables français obsédés par le « Paradis Perdu » encouragent les séparatistes à brandir un autre emblème que celui des sacrifices des martyrs. D’ailleurs, Emmanuel Macron a habitué les algériens à sa stratégie de communication hypocrite à la limite du mensonge. Ses déclarations sans un lendemain concret concernant les crimes de la colonisation française en Algérie, sont une parfaite illustration de la proximité du locataire du Palais de l’Elysée avec les anciens oligarques dont certains auraient financé sa campagne présidentielle de 2017 , confirmant le statut d’un Etat français receleur, et de sa tactique inopportune de jouer sur les sentiments des algériens, qui attendaient des gestes à l’occasion du 60ème anniversaire des essais nucléaires français dans le Sahara algérien, et le 15ème anniversaire de la promulgation de la loi glorifiant la colonisation en Algérie.

Drareni, activiste des médias français

Excellant l’insulte à l’intelligence des algériens, France24 présentera à l’occasion du premier anniversaire du Hirak, l’activiste Drareni comme représentant du Hirak, alors que des images diffusées sur les réseaux sociaux le montrent entrain de filmer une confrontation provoquée par des éléments du MAK et RCD, à proximité du siège du parti de Said Sadi, chargé par  BHL d’entretenir le pourrissement. C’est le même Drareni qui improvisera un point de presse à Alger, tout en manquant de respect à  l’emblème national des martyrs (voire l’image). Et c’est le même Drareni, journaliste à l’époque à Echorouk qui interviewera Emmanuel Macron, en visite à Alger dans le cadre de la campagne électorale pour la présidentielle française  de 2017.

 

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