Réagissant aux qualificatifs tenus par le représentant du régime du Makhzen à l’ONU, Omar Hilale, dans la foulée du clash l’ayant opposé au même titre que son suppléant Omar Kadiri, avec des républicains marocains, à l’occasion de la réunion de la commission de la décolonisation du Sahara Occidental le 11 juin dernier, le journaliste marocain Ali Lmarabet a tiré à boulets rouges sur le sinistre « diplomate » marocain, dans une nouvelle vidéo, ou il met à nu ses calomnies et mensonges à l’égard de l’Algérie.
A ce titre, Ali Lmarabet, évoque le financement du régime du Makhzen des journalistes et politiques dits « opposants » pour mener une campagne mensongère à l’encontre de l’Algérie.
Ali Lmrabet revient sur l’ingérence du régime du Makhzen dans les affaires internes de l’Algérie, via les propos tenus par Omar Hilale, soutenant l’organisation terroriste du MAK, qui bénéficient de toutes les facilités financières, de circulation et de propagande.
Ali Lmrabet cite le financement de sites et réseaux sociaux subversifs et de propagande, au même titre que de certains journalistes qui dans un passé récent défendaient la Issaba.
Réagissant aux accusations tenus par Omar Hilale, et la porte-voix du régime du Makhzen la MAP, à l’égard des républicains marocains qualifiés de « traitres », Ali Lmrabet indique que l’Algérie n’a rien à voir avec l’invitation des trois républicains marocains, ou le financement de leur voyage à New York, et leur hébergement. Sur ce sujet, Ali Lmrabet révèle preuves à l’appui, que les trois républicains résident aux USA et n’ont jamais pris d’avions, ou logés dans des hôtels de luxe, comme prétendu par le diplomate makhzenien. Les républicains marocains avaient voyagé avec leurs véhicules et passé la nuit chez un ami, pour Hichem Radoui et dans un motel pour les Fanane.
En conclusion, Ali Lmrabet, révèle la bagarre opposant les républicains marocains et les diplomates makhzeniens, dans les couloirs du siège où s’est tenu la réunion de la commission onusienne de décolonisation du Sahara Occidental.
