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Maroc: Ben Jelloun tire à boulets rouges sur Macron pour plaire à son commandeur Mohamed VI

Invité par la chaîne sioniste I24 News, l’auteur franco-marocain Tahar Ben Jelloun a tiré à boulets rouges sur le président français Emmanuel Macron, prenant la défense de son commandeur Mohamed VI, suite à une question concernant les rapports entre les deux hommes.« Emmanuel Macron a été très maladroit. Il a manqué de respect au roi du Maroc et leur relation a été rompue. » a-t-il dit 

Il accusa au passage le président Macron d’être à l’origine de la résolution adoptée par le parlement européen, accusant le Maroc sur le dossier des droits de l’Homme, appliquant le mensonge par omission, pour ne pas évoquer le Marocgate, et l’implication du régime du Makhzen dans la corruption des eurodéputés.

L’auteur franco-marocain reconnait que le différend entre Macron et Mohamed VI, est lié à l’affaire du logiciel Pegasus, soulignant au passage que le président français commet une grand erreur stratégique en se rapprochant de l’Algérie, au détriment de son allié historique et stratégique le Maroc. Tahar Ben Jelloun, oublia de souligner chez ses hôtes sionistes, que la France qui considère le Maroc, comme chasse gardée, n’a jamais apprécier l’arrivée dans son terrain d’influence l’entité sioniste qui a pris le commandeur et son trône sous sa tutelle. Il convient de rappeler, qu’Emmanuel Macron avait reporté sa visite au Maroc, prévue le mois de février dernier.

S’exprimant le mois de décembre 2022, sur la même question,Tahar Ben Jelloun, avait déjà abondé dans le même sens, en accusant Emmanuel Macron de se rapprocher avec Alger au détriment du Maroc. « Tout miser sur l’Algérie est une grave erreur car elle ne lui cédera rien », affirme-t-il. Tahar Ben Jelloun estime que le président français « n’écoute personne ». « Il a négligé la relation de l’Hexagone avec le Maroc par ignorance et erreur politique. Il se concentre sur l’Algérie. »

Tahar Ben Jelloun, un fervent défenseur du sionisme

Prendre la défense de son commandeur Mohamed VI,en tentant de le blanchir du scandale d’espionnage du logiciel Pegasus, au détriment de la « victime » Macron, illustre bien la position de l’auteur franco-marocain, fervent défenseur du sionisme et de l’OPA de l’entité sioniste sur le régime du Makhzen.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard, si les organisateurs du Festival de littérature « Beyrouth Livres » l’accusaient de sionisme.

Pierre Assouline, Tahar Ben Jelloun, Pascal Bruckner et Eric-Emmanuel Schmitt, tous les quatre membres du jury du prix Goncourt,ont été interdits d’entrée au Liban pour leur soutien au sionisme. Mohammad Mourtada, l’ancien ministre libanais de la Culture, avait accusé sur les réseaux sociaux certains auteurs devant participer à l’événement culturel  sans les nommer, de soutenir « le sionisme ».

Mohammad Mourtada, avait affirmé qu’il « ne permettrait pas à des sionistes de venir parmi nous et de répandre le venin du sionisme au Liban ».

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