La condamnation du journaliste activiste Khaled Drareni par la Cour d’Alger à purger une peine de deux années de réclusion criminelle, pour incitation à attroupement non armé et atteinte à l’unité nationale, n’a pas laissé les milieux officiels français indifférents, s’ajoutant aux médias français de la mainstream, et des ONG affiliés à l’Establishement français.
Cette focalisation laisse supposer des questions sur l’intérêt que représente Khaled Drareni, par rapport à d’autres journalistes activistes comme Said Boudour, Sofiane Merakchi, ou les activistes ongistes comme ceux du RAJ, et de la LADDH.
Cette focalisation confirmée par la porte-parole du Quai d’Orsay Agnès von der Mull et le secrétaire général de Reporters Sans Frontières RSF, Christophe Deloire , révèle un volet caché et des non-dits sur les rapports de Kamel Drareni avec en premier lieu la chancellerie française à Alger, dont les représentants durant les dernières années, à savoir Xavier Driencourt, Bernard Bajolet et Bernard Emie, étaient des patrons de la DGSE. Selon, le média algérien El Hayat révèle dans une de ses dernières livraisons les liens entre Kamel Drareni et une dénommée Nadia Chirard , employée à l’ambassade de France à Alger,qui lui aurait financé un billet aller-retour Alger-Paris pour assister à une rencontre organisée par SOS Racisme, et de l’argent lié à des services rendus aux médias TV5 et France24.
Ces révélations nous indiquent clairement et sans aucun doute l’existence de liens étroits entre l’Establishement français, et certaines ONG, hostiles à l’Algérie avec certains journalistes, hommes de lettres et artistes, en plus de politiques et économistes, pour orienter l’opinion publique algérienne à épouser les thèses néocolonialistes de la France officielle.
Il est certain, qu’on assistera dans les prochains jours à une offensive destinée à la normalisation avec l’ennemi sioniste, via les canaux de la culture et de l’action sociale, dont les acteurs seront des journalistes, artistes et hommes de lettres.