Les lobbys de l’establishment français et des nostalgiques de l’Algérie française, hostiles à l’Algérie souveraine qui s’affirme de jour en jour comme acteur incontournable sur la scène internationale.
Et pour mieux contrecarrer les desseins de l’Algérie, les lobbys sionistes et des nostalgiques du Paradis Perdu font ressortir leurs anciens logiciels utilisés durant la décennie noire, pour discréditer le pays des martyrs. Et ce n’est pas un hasard, si c’est anciens logiciels refont leur apparition avec l’affaire Nezzar, visant l’Algérie et son institution militaire. Nous citons à titre d’exemple le supplétif du CRIF, Mohamed Sifaoui, qui vient de s’attaquer à l’Algérie, ses institutions et ses dirigeants, sachant que l’individu en question, est totalement impliqué dans une affaire appelée « affaire fonds Marianne »  et qui n’a pas encore livré  tous ses secrets. Il avait d’ailleurs été auditionné par une commission d’enquête du Sénat français, en tant que co-responsable de la principale association bénéficiaire du fonds Marianne de lutte contre le « séparatisme ».

Un fonds, rappelons-le, doté de 2,5 millions d’euros , lancé suite à l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty, en vue de « promouvoir les valeurs républicaines et combattre les discours séparatistes » auprès des plus jeunes). Parmi les bénéficiaires de ce fonds, il y avait le nom de Mohamed Sifaoui, qui s’est fait connaître par ses attaques contre l’Algérie durant les années 90.  Directeur de la communication du club d’Angers SCO, il  est présenté comme un expert de la lutte contre l’islam radical.

Faute d’acteurs, l’establishment français hostile à l’Algérie, reprend Mohamed Sifaoui, comme il l’a repris le porteur du bracelet électronique, l’ancien locataire de l’Elysée Nicolas Sarkozy, dont le casier judiciaire est plein de scandales, allant des financement libyen de sa présidentielle de 2007, à l’affaire des écoutes en passant par l’assassinat du leader libyen Mouammar El Gueddafi.

Battus par l’Algérie souveraine sur la scène régionales, les lobbys néocoloniaux et sionistes tentent bien que mal d’exercer une pression sur les autorités algériennes, en reprenant les anciens logiciels accablés même sur le sol français. Mais en vain, le train est déjà parti.