L’Algérie visée par le complot néocolonial et impérialiste, est-t-elle devenue une passoire? une question que posent de nombreux patriotes algériens établis en Algérie et à l’étranger, en voyant défiler des agents de la 5ème colonne, alliée de l’Etat profond de l’ancien colon, des nostalgiques de l’Algérie française et leurs alliés sionistes.

Dans de précédents articles, Algérie54 a alerté l’opinion publique algérienne sur les agissements de certaines associations, ONG, personnes qui gravitent autour de certaines institutions et organismes algériens à l’intérieur et l’extérieur du pays, via des subterfuges portant des concepts fallacieux de promotions du partenariat algéros-français dans divers domaines politiques, économiques , social, culturel, sportif, médias, patrimoine, et universitaire. Dans nos précédents articles intitulés “La nouvelle guerre d’Algérie: La galaxie de la Soft-Power néocoloniale de la France” “L’Algérie française en effervescence amicale” et “Esprit colonial es-tu là ?” nous avons mis l’accent sur les ambiguïtés des opérations et actions menées par des organisations, associations et personnes liées au Quai d’Orsay, la DGSE, le CRIF et aussi au puissant conseiller du roi du Maroc, le sioniste André Azoulay président incontesté et incontestable de la Fondation euro–méditerranéenne Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures.
Dans cet article, Algérie 54 évoquera le dénommé Harrys Brikh réserviste de l’armée française, qui a découvert un intérêt soudain pour l’Algérie et son algérianité , en s’autoproclamant représentant et porte-voix de la nouvelle génération de cette jeunesse algérienne née en France.

Harrys Brikh, vient d’ailleurs d’être chargé de la part du ministère algérien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de présenter un programme d’apprentissage de l’arabe et du Coran pour les binationaux qui le souhaitent, sachant que cette personne qui se substitue aux missions de la Grande Mosquée de Paris et au Centre Culturel, est un fervent défenseure des LGBT, comme le confirme un post publié sur son compte ( voir la capture).

Par ailleurs, il faut noter, que le réserviste de l’armée française qui façonne l’histoire de l’Algérie à sa convenance “française” avait été déjà reçu avec les honneurs dans une honorable institution algérienne. Une intrusion de taille soutenue par un déficit de collecte de renseignements sur une personne qui ne cessait de dénigrer l’Algérie et ses institutions, sur les réseaux sociaux, comme l’attestent les captures prises par nos soins.
Harrys Brikh est un fervent défenseur des officines et personnes hostiles à l’Algérie. Qui l’a mandaté pour parlé de la diaspora algérienne en France ? Une enquête à son encontre est plus qu’indispensable pour mettre à nu ses ramifications ainsi que celles ou ceux qui lui ont ouvert la porte des institutions algériennes, pour asseoir cette influence française en Algérie.
La France néocoloniale qui a perdu de son influence dans certains pays du Sahel, comme le Mali, le Niger, et le Burkina Faso, ne compte pas facilement lâcher prise en Algérie, après que les autorités algériennes aient décidé de mettre fin à la domination de la langue française, en prônant son changement par l’anglais, langue du business, du savoir et de la technologie, et décidé aussi de diversifier ses partenaires économiques, en se tournant vers des partenaires et alliés fiables comme la Chine et la Russie, en vue du transfert de la technologie pour le développement de ses ressources et potentialités économiques bien établies.
Aujourd’hui, il est clair, qu’à une année de la présidentielle de 2024, l’Etat profond français et ses supplétifs n’abandonnent pas leur projet de maintenir l’Algérie à la fois, sous influence et sous pression. Nos institutions et représentations sont averties.
Au début de ce mois de décembre, nous avons assisté à la relance de l’activité de l’Association France Algérie AFA, dirigée par l’ancien ministre de l’économie Arnaud Montebourg, sous le président François Hollande, qui avait bradé les fleurons de l’industrie de son pays aux multinationales et qui plaide aujourd’hui, pour les perspectives pour l’économie algérienne, sachant que la France a toujours travaillé pour maintenir l’Algérie comme un marché pour ses produits, à l’opposé des déclarations sur un partenariat stratégique.
Et le meilleur exemple est celui de l’accord d’association signé avec l’Union Européenne UE, préjudiciable au pays à une somme colossale oscillant entre 250 et 300 milliards d’euros en 15 ans, et profitables aux entreprises européennes en particulier françaises.
D’ailleurs, ce n’est pas uniquement l’AFA, dirigée par Arnaud Montebourg et Jean-Louis Louvet, un pied-noir natif de Sétif, nommé par le régime français, en mai 2013 jusqu’au 18 février 2019,quatre jours avant le Hirak, Haut Responsable (HR) à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, mais aussi des associations et individus qui gravitent autour de la grande Mosquée de Paris, à l’image de celui qui avait bénéficié d’un parrainage pour un projet farfelu intitulé “un jeune , une idée”, dont les accointances avec les mouvements islamistes ne sont plus à présenter.







