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Les nostalgiques du Paradis Perdu à l’assaut de la muraille Algérie

Au moment ou l’Algérie s’apprête à célébrer le 60ème anniversaire de l’indépendance, des voix liées aux nostalgiques du Paradis Perdu sortent de leurs trous pour recycler un logiciel néocolonialiste, soutenues il faut bien le dire par l’attitude de certains individus de l’intérieur du pays qui travaillent d’arrache-pied pour la réhabilitation du colonialisme.
Le mardi 28 juin, le député de l’extrême droite française José Gonzales a saisi l’opportunité de la présidence de la première séance d’investiture de la nouvelle assemblée nationale française, issue des dernières législatives françaises pour remettre en surface les traumatismes et plaies causés par la victoire de la révolution algérienne.
José Gonzales donna l’impression d’un nostalgique n’ayant pas encore digéré l’indépendance de l’Algérie.

Les néocolonisés et les tentatives de réhabilitation du colonialisme

L’Algérie indépendante n’est pas uniquement menacée par les nostalgiques du Paradis Perdu mais par une frange de l’intérieur qui s’active à réhabiliter les symboles du colonialisme, via des subterfuges dangereux, maquillés en instruments culturels.

Ces derniers temps, on a malheureusement assisté à la mise sur scène de certains noms du monde de littérature et des arts de l’ère coloniale, en leur octroyant le statut de militants de la cause nationale. Des tentatives vouées à l’échec face à la réalité et à la prise de conscience des Algériens qui refuseront de trahir le serment de leurs aînés qui se sont sacrifiés pour que l’Algérie deviendra Algérienne.

 

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