Par Boualem Snaoui
J’espère qu’il n’est pas impatient, Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », pour prendre connaissance de la deuxième course hippique de la politique, avec ses énigmes voilées, pour nous inciter à résoudre celle de l’excellent « informateur » K. Drareni, de RSF (RSM-Reporter Sous les Frontières du joli Robert Ménard) -tout est écrit en syllabes de la politique « sucrète »-, dans son tweet « mystérieux », que son système a préfabriqué pour les « bovidés », après les avoir « covidés » au « Daoud 19 ».
D’ailleurs RSM, en soutien à la « liberté d’expression bien ficelée » et accessoirement employeur du KD, vient de pousser des hourras, suite à l’ordonnance rendue en référé par le Conseil d’État, à leur demande, tout en saluant la décision prise le 14 décembre par l’ARCOM, le régulateur de l’audiovisuel, de mettre en demeure l’opérateur satellitaire français Eutelsat de cesser la diffusion des chaînes russes Rossiya 1, Perviy Kanal et NTV. Je ne suis pas un supporter de ces médias qui faisaient défiler des pingouins révolutionnaires en Algérie, appartenant à l’espace délimité par la « Mecque des révolutions » de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », mais cela ne m’empêche pas de constater la construction de l’énorme mur des frontières de l’information par les employeurs du KD.
En réalité, je ne voulais pas gâcher la fête de la Saint Sylvestre à Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » ! Et j’ai préféré reporter ? pour la nouvelle année 2023, cette seconde partie, pour ne pas rater celle de l’Epiphanie (tous les chats sont gris) de ses énigmes ; par ailleurs, je voulais aussi équilibrer le poids de ses devinettes installées sur le cheval de la gymnastique de la politique ; surtout que l’Algérie est en train de nettoyer la place publique des déchets (je n’ai pas dit des ordures) des corbeaux gavés avec l’argent qui a une mauvaise odeur, pour chasser les hirondelles. Ces déjections coloniales en décomposition avancée (Wled Frensa- Arew N Frensa- descendants des colons) que le système nous commercialise sur ses ondes en crème Chantilly, ont été dévoilées en collabos fachos fâchés par les militants algériens restés debout, face à la déferlante de guerre du système du FMI.
Sans parler du fait que le barbouze moustache-pistache a volé la vedette, puisque tous les projecteurs du système sont braqués sur leur agent médiatique financé par le régime toujours colonial, qui doit être totalement étranger à Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ». Ce gars est un pro, car en plus du bon boulot colonial qu’il accomplit, avec sa radio Meuuuuh du FMI, il a réussi à se faire passer pour le Julian Assange algérien. Un pingouin révolutionnaire, ça se reconnait au nombre de micros planqués entre les poils lisses de sa moustache, rendue jolie au moyen d’un brushing colonial, réalisé chez les généraux tondeurs du FMI, ces maîtres de la manette et des ciseaux de circoncision berbéro-islamique de la politique, conçus spécialement pour les « bougnoules ».
Ma première rencontre médiatique énigmatique avec son excellence Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », que j’avais déjà contée dans le « Kabyle AOC » (Appellation d’Origine Contrôlée), concerne l’affaire Zaïr Kédadouche : ce Franco-algérien (corps étranger), ambassadeur de France à Andorre, qui dans sa lettre du 18 juin 2013 (adressée à Laurent Fabius, son ministre de tutelle, au Président F. Hollande, au Président du Sénat, au Président de l’Assemblée Nationale et à la Présidente de la commission des affaires étrangères de l’AN) dénonçait la diplomatie de sérail et du système, le « stéréotype de classe ‘Pas d’arabe au Quai’ » qui visait par ailleurs cet ancien Inspecteur général du Ministère des Affaires étrange-ères. Ce dernier a fait condamner, en 2016, le premier qui a tenté de réduire la jetée de « la race » dans le système « Quai » d’Orsay, à 500 € d’amende avec sursis et 3000 € de dommages et intérêts. Il est fou ce Zaïr Kédadouche ! Il a cru pouvoir perturber, avec ses « histoires de racisme », l’occupant « à Quai d’Orsay » du poste « peinard » ou « pépère », auquel légitimement certains pouvaient aspirer avant leur retraite. Depuis cette époque, et même avant, l’extrême-droite banalisée aux belles idées démocratisées tourne à presque 50 % des voix officielles ; officieusement, c’est un raz-de-marée qui couve sous le voile politique, et même « Speedy » Gonzalès a annoncé avec fierté sa désignation au poste de Vice-Président du groupe parlementaire d’amitié de « Fronce » avec l’Algérie ; il a vite appris la stratégie de l’infiltration par le canal amical des guerres de quatrième génération. « Nous -ils sont- sommes en guerre », avait déclaré six fois notre commandeur « O’Macron », lors de son allocution du 16 mars 2020.
Si Zaïr Kédadouche était titulaire du label « Kabyle AOC-Appellation d’Origine Contrôlée), eh bien il lui aurait été peut être possible de plaider la cause universelle antiraciste sur la chaîne de la génétique des populations du « Berbéristan », dirigée dans le sens du vent par Mohamed Saadi (qui n’a rien à voir avec Said Samedi Saadi – SSS), comme l’a fait Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », qui a été invité à commercialiser ses énigmes algériennes sur l’écran de fumée des « berbérologues » révolutionnaires.
Ce passage sur la chaîne d’information du « berbéristan » est la marque de fabrique, qui nous a fait économiser beaucoup d’énergie pour la recherche génétique des populations, à qui l’on taille l’information sur mesure, avec toutes les anguilles qui crèchent sous roche; ceci afin de convaincre les récalcitrants aux guerres tribalistes fabriquées par la lignée des Basset (de père en FIS), sous Napoléon III, jusqu’aux foreurs scientifiques-ethniques modernes, guidés dans les galeries souterraines sombres de l’histoire par le professeur « O’ mérite » Salem Chaker.
Donc, pour continuer à suivre le sprinter diplomatique Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », dans cette course à pieds nus avec des chaussures à pointes, lequel va finir par nous faire transpirer avec ses énigmes révolutionnaires, il faut savoir que je ne l’ai pas vu inquiet par son ciblage d’espionnage avec le logiciel « Pegasus » du système du FMI. En effet, ce qui est énigmatique, c’est qu’il est cité dans la « presse », y compris celle du royaume enchanté de Mimi 6, parmi les « mires de lignes » de cet espionnage, comme d’ailleurs son attaché-militaire à l’ambassade à Alger. S’il n’a pas réagi, c’est sans doute que « son excellence » n’a rien à cacher de ses missions de représentant du « système » en Algérie : il travaille en toute transparence ! Et puis, être espionné par le logiciel « Pegasus » de la firme israélienne NSO Group, lorsque même quatorze ministres en exercice, en plus du premier d’entre-eux, et de nombreux représentants du système, ainsi que notre commandeur du régime « O’Macron », sont logés à la même enseigne ! … Cela doit être considéré comme un honneur, dans leur monde parallèle !
L’énigme insoluble, ici, est le fait « rarissime », relevé par France culture (de Radio France silence), dans un article en date du 20 juillet 2020 : « Emmanuel Macron appelle directement l’ambassadeur de France à Alger, Xavier Driencourt, et le somme de faire un aller-retour à Paris pour évoquer la crise algérienne (orchestrée avec des bananes) avec le ministre des Affaires étrange-ères Jean-Yves Le Drian ».
Dans cette banale affaire d’espionnage, nous pouvons constater que la France politique entière ne semble pas intéressée pour éclairer l’opinion publique, à travers par exemple une commission d’enquête parlementaire, même dépendante du système. Les codes nucléaires (dérobés par la porte téléphonique) sont-ils entre les mains d’un fou qui joue aux échecs avec un roi sur table ? A moins que le FMI brouille les cartes entre le F et le MI, pour les faire passer pour des ennemis, alors qu’ils parcourent la même route de la noix.
Je l’avoue, je n’ai pas lu totalement son œuvre « énigmatique-salutaire » tellement répulsive, puisqu’elle est ventilée énigmatiquement avec l’éolienne « complotiste » du « Dilem » d’horreur, qu’on nous brandit dans la démocratie de plateau en solo, dont sa « Oumma.com », qui nous veut du bien. Le « Dilem », qui n’est pas un synonyme de l’énigme, c’est de voir célébrer ses « mystères » caricaturés avec l’encre du croque-mort, dans une interview donnée à la « Oumma.com » pas tout à fait catholique, dans le canard de Nicolas « Joli », celui pour qui le royaume d’Israël est « Beau ». Ce dernier, y compris en politique caricaturée avec son encre indigène, mais surtout indigeste, dessine joliment « les énigmes » de son ambassadeur, face au peuple algérien habillé en militaire « Général ». Ce qui n’est pas du tout énigmatique, c’est de retrouver quatre partis-pris dans cette même publication de guerre contre le peuple algérien, puisqu’en plus du « Dilem » et de son excellence, Nicolas « Joli » précise que la « Oumma .com » ce sont ses amis ! Merci pour l’info, qui nous permet de voir plus clair le très court fil de la toile tissée autour du peuple algérien, par le long travail de l’araignée du FMI (France-Maroc-Israël). Il ne faut surtout pas voir ici une branche du « système » de « Xavier Le Drian court toujours derrière l’Algérie » !…
Pour lever le doute sur les énigmes de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », un « indigène », membre du système colonial de l’Algérie-française, a eu sans doute la fantastique idée d’immortaliser une rencontre avec une équipe politique familiale sympathique, dans un décor plutôt troublant. On y voit à « l’extrême droite » de la photo : *Bernard « l’Hermite » Emié, ancien ambassadeur de « Fronce » en Algérie, aujourd’hui patron des services secrets du système (qui tourne à plein régime), bras-dessus, bras-dessous avec *le croque-mort de la caricature; *le farouche porteur du drapeau du MAK (organisation classée terroriste en Algérie, mais démocratique dans la douce « Fronce » qui nous enfonce); *un pasteur qui prêche peut-être la bonne parole dans une paroisse qui n’a rien de politique, et enfin *la dulcinée du patron des services « sucrés », Bernard, que le farouche Aïnouche, issu de la voix de Monsieur Charles « Roumi » hebdo, appellerait familièrement Isabelle (de son vrai prénom ?).
Entre nous, et sans façon, qui n’a pas pris de photos avec Bernard Emié, le patron des services « sucrés » impénétrables de la douce « Fronce » qui défonce, bras-dessus, bras-dessous, et même en compagnie de sa belle Isabelle ? Ils étaient en vacances ou en partance ?
D’ailleurs l’usage de l’expression « troublant » n’est même pas « terdite » ici (c’est pour cette raison que je n’en ai pas fait usage) puisqu’une catégorie de la gauche dite « radicale » a tapissé son fascicule dédié au « hirak à la banane » avec l’une de ses planches coloriées au temps des colonies, qui ne serait pas finie.
Comme on peut le constater, avec les sourires en prime (tchiizmoving), il n’y a aucun lien entre Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie » et l’encrier du clan de l’Algérie-française. Ils se sont rencontrés par hasard, et l’un des leurs a placardé fièrement ces photos-souvenirs sur la toile, rappelant un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, en prévision du prochain tour de la distribution des décorations de l’ordre (établi) des chevaliers (au galop, au galop, au galop, …) de la légion (étrangère) d’honneur.
Ce qui nous amène à une autre énigme, du même genre médiatique, puisque suite aux diverses diffusions de fakes news, de haine et d’attaques récurrentes violentes contre le peuple algérien, dans les médias publics en « Fronce », notamment en 2020 (« Algérie Mon Amour » du journaliste sportif en politique, Mustapha Kessous ; »Algérie : Les Promesses de l’Aube« , ou encore de l’éphémère expert Francis Ghiles), son excellence a été convoquée par les autorités algériennes. Conséquence à cette grave crise diplomatique, il avait donné une réponse (rapportée par un média du système-TV5 Monde-, totalement « libre », comme tout le monde le sait), à laquelle personne ne s’attendait : « l’ensemble des organes de presse (jouit et non) jouissent d’une totale indépendance rédactionnelle en France, protégée par la Loi« . Pourquoi ? Il avait des doutes sur l’indépendance de la « presse » des milliardaires en « Fronce » qui défonce la « France » ?
Enfin, on ne peut pas demander à Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », alors ambassadeur en exercice à Alger, de résoudre l’énigme du limogeage de l’ancien premier ministre algérien, Abdelmadjid Tebboune, aujourd’hui commandeur d’Algérie, à la mi-août 2017, trois mois après sa nomination, et juste après sa rencontre « informelle » à Matignon avec le premier ministre Edouard Philipe. C’est juste le hasard. Un peu comme la confidence que lui aurait faite l’ancien oligarque, Ali Haddad, sous les verrous aujourd’hui, qui lui aurait dit : « Il est responsable de tout ce qui concerne les relations franco-algériennes ».
Après ces quelques mystères pour l’énigmatique expert Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », il est quand même Sportmidable de le voir courir toujours derrière ce peuple qui s’est libéré des horreurs coloniales universelles, et oublier les vraies énigmes, les énigmes les plus féériques « à Quai d’Orsay » du système dont il était un imminent membre depuis 1984. Ces énigmes, qui ne sont pas celles de Roger Peyrefitte – « La fin des ambassades- Ed. Flammarion, Paris 1953 » –, ce diplomate avec quelques « vicissitudes légères en ces heures contrastées qui vont de 1939 à 1945, et qui a lancé des flèches contre le monde des ambassades qu’il connait de première main pour y avoir vécu ». Dans un communiqué « à Quai d’Orsay », en date du 24 septembre 1953, rapporté par le journal le Monde, on apprend que Roger Peyrefitte, après avoir été exclu définitivement de l’administration, y a été réintégré en mai 1943, sur intervention de l’ambassade d’Allemagne, ceci confirmé par une lettre écrite à l’intéressé le 6 mai 1943 par le chef du service du personnel. Qui est qui, là dedans ?
Ne pouvant s’occuper de résoudre les tonnes d’énigmes décrites par Vincent Jauvert, dans « la face cachée du Quai d’Orsay, 2016- Ed. Robert Laffont), avec lesquelles on pourrait tapisser beaucoup de lambris dorés des bureaux de cette institution « prestigieuse à la dérive », dont les siennes (puisqu’il en a beaucoup connu avec toutes ses missions au service du système), ce pointeur hippique de la diplomatie « fronçaise », qui court toujours derrière l’Algérie [sans galoper sur les chevaux « arabes de Troie » des Metidji, cette bourgeoisie qui ne perd pas l’Ouest, dont le propriétaire du « groupe Metidji », Hocine Metidji a écopé d’une peine de sept ans de prison ferme, et son fils Yacine de 18 mois] s’est plutôt consacré à l’Algérie et son peuple. Il est bien dans l’agenda.
Vincent Jauvert, après deux ans d’enquête, révèle, à travers une centaine de témoignages et de nombreux documents confidentiels, « les secrets inavouables de ce haut-lieu du pouvoir » des dominants, où logeait professionnellement Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie »: l’impunité dont jouissent encore les ambassadeurs, malgré les scandales qui s’accumulent ; le montant de leurs revenus réels, que l’Administration s’emploie toujours à taire ; l’étendue des malversations qui règnent dans certains consulats ; la puissance d’un réseau de hauts diplomates, surnommé « la secte», qui, dans l’ombre, influence les choix de la France ; ou encore la présence de bases d’écoutes clandestines de la DGSE sur les toits de certaines ambassades… », sans parler du scandale de « pédopholie » étouffé, de ce diplomate détaché aux Nations-Unies et renvoyé par Ban Ki-Moon, car accusé d’être un prédateur, et promu (pour le récompenser ?) dans la gestion des réseaux sociaux d’une direction de la maison, et dont le nom serait apparu dans un jury de concours interne « à Quai d’Orsay ».
Selon V. Jauvert, le patron des « bœuf-carottes » des diplomates était au parfum et a suivi de très près l’une des meilleures affaires à refaire « à Quai d’Orsay », qui concerne Bruno Delaye, ancien ambassadeur à Madrid, « soupçonné d’avoir confondu la caisse du Quai d’Orsay avec la sienne … ». Comme le « renard argenté » est l’enfant chéri « à Quai d’Orsay » et de la Mitterrandie, qu’il tutoie François Hollande et Carla Bruni, qu’il est l’ami d’une pléiade d’artistes, d’hommes d’affaires, de journalistes et d’hommes politiques de tous bords, et que même Jacques Séguéla conseille à un parterre de diplomates :« Observez-le et faites comme lui ! », du coup il n’y a plus d’énigmes à résoudre.
Alors, entre « la fin des ambassades » de Roger Peyrefitte de 1953, et « la face cachée du Quai d’Orsay » de Vincent Jauvert en 2016, qu’est ce qui a changé ? C’est l’énigme de Xavier « Le drian court toujours derrière l’Algérie », notamment avec les dernières révélations et la mise en examen de l’ancien ambassadeur de « Fronce » en Algérie, Bernard « pas joli » la mise en examen sur des soupçons de « complicité de tentative d’extorsion sur Alain Duménil, un détenteur du grand capital. Son ancien directeur du cabinet, le général Jean-Pierre Palasset, (vous avez bien lu, un général –dawla madanya –état civil) a, lui, reçu le statut intermédiaire de témoin assisté dans cette affaire. Enfin, dans cette affaire, l’autre Bernard l’Hermite, ancien ambassadeur du système en Algérie, actuel patron de la DGSE, est entendu comme simple témoin.
Au final, je ne sais pas si Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » a posé l’énigme terminale : « C’est l’Algérie qui a colonisé la France durant 132 ans, ou le lycée de Versailles ? », notamment après son choc, suite à l’inscription « Presidency of the Republic » sur le pupitre de notre « O’Macron » à Alger, lors de la conférence de presse du 25 août 2022, et il a voilé tous les titulaires du prix de la carpette anglaise en « Fronce », grand prix d’indignité civique décroché en décembre 2022 par le commandeur « O’Macron ». C’est Yasmina Khadra qui peut continuer à faire couler les « lames » des animateurs de plateaux d’informations préfabriquées, avec la « langue » qui pendouille comme une cravate.
Et pour clore la messe cathodique de ce croyant, il vient de signer dans la « presse » du système, une véritable tribune de guerre contre le peuple algérien, au titre inversé : « La France s’effondre, entraînera-t-elle l’Algérie dans sa chute ? », tout en apportant son soutien au barbouze moustache-pistache d’Alger, et aux médias indigènes de la « Françalgérie ». La preuve par l’absurde : « ils sont en guerre ».