Lors d’un voyage effectué à Alger en février 2017, le candidat Emmanuel Macron pour la présidentielle française de 2017 avait déclaré à l’occasion d’une interview accordée à Echorouk News, et son désormais ancien journaliste Khaled Drareni, (aujourd’hui représentant de RSF) que« La colonisation est un crime contre l’humanité.
Près de six ans plus tard,Macron devient président de l’ancien colonisateur pour une seconde fois , accorde une interview au média français le Point, réalisée par Kamel Daoud Je n’ai pas à demander pardon [pour la colonisation], ce n’est pas le sujet, le mot romprait tous les liens. Je ne demande pas pardon à l’Algérie». S’il les deux KD c’est à dire les journalistes qui avaient interviewé Macron ont le même profil de néocolonisé, il en demeure que le locataire du palais de l’Elysée justifie sa stratégie macronienne, bien illustrée par ses amis ukraniens, pour évoquer les volte-faces et les accrobaties mensongères devenues doctricine chez le président français. Ce dernier s’était déjà illustré par ses déclarations scandaleuses quant à l’histoire de la Nation Algérienne, mais les algériens n’attendent rien de celui qui maintient les crânes des résistants algériens dans des cartons dans des musées de la république de la démocratie et des droits de l’homme et des trophées de la barbarie coloniale. Les Algériens ont gagné la guerre et jouissent de l’indépendance et de la liberté cherement acquise grâce aux sacrifices de ses dignes fils , nos glorieux martyrs et valeureux moudjahidine. Et ce n’est ni le rapport de Stora, ni les mensonges perennisés des français à assumer son histoire coloniale, ne changeront le cours de l’histoire.
La nouvelle Algérie par la voix de son président Tebboune a déjà mis l’accent sur la nécessité de considérer l’Algérie comme un Etat souverain, qui traîte avec tous les Etats en tête à tête. L’ère de la néocolonisation est révolue.
La nouvelle Algérie par la voix de son président Tebboune a déjà mis l’accent sur la nécessité de considérer l’Algérie comme un Etat souverain, qui traîte avec tous les Etats en tête à tête. L’ère de la néocolonisation est révolue.