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Le viol d’une ligueuse passe sous silence à la LDH: Patrick Baudouin se verse totalement dans le mensonge

Dans un précédent article intitulé ( LDH et FIDH: Deux ONG au service des ennemis de l’Algérie) Algérie 54 avait déjà annoncé la couleur au sujet de la LDH et la FIDH et de Patrick  Baudoin, ennemi juré de l’Algérie et fidèle ami des égorgeurs de l’organisation terroriste  GIA durant la décennie noire.

Sans pouvoir défendre une membre de la LDH, victime d’un viol au sein de son organisation, Patrick Baudoin se donne le droit d’enseigner aux algériens le respect des droits humains. Toute honte bue, le défenseur par excellence de « qui tue qui » reproche à la France son silence au sujet de la dissolution de la LADDH, dont les fondateurs sont exilés en France et en Belgique, sachant que cette ligue est composée de trois ailes qui se revendiquent la »légitimité ».

Évitant d’évoquer l’exfiltration d’Amira Bouraoui,par la DGSE française et l’implication de son confrère François Zimeray, Patrick Baudoin revient à son rituel mensonger de « diaboliser » l’Algérie et ses institutions au moment ou il ferme l’œil sur « qui viole qui » allusion à cet acte ignoble de viol d’une membre de la LDH.

Ainsi, un communiqué public, en date du 1er décembre 2022,  fait une révélation très grave concernant le viol, sous les caméras, d’une femme membre de la section, et qui fut enfermée plusieurs jours. Dans ce même communiqué, on apprend que la LDH a refusé l’assistance juridique à cette ligueuse, et a contribué à faire en sorte que ce « crime sexuel d’état » soit invisibilisé associativement, juridiquement et politiquement, afin de favoriser la carrière politique d’un élu local, un certain Michaël Delafosse.

Dans la même conception ,Patrick Baudouin qui ne voit rien de la corruption généralisée de la commission européenne des droits de l’Homme, du financement de son organisation FIDH par des états et l’Open Society Foundations, des accointances avec le roi du Maroc, du viol des membres de la LDH, …etc, voudrait donc exporter sa liberté d’expression en Algérie. Patrick Baudoin se tait aussi au sujet de « l’implication » de sa consoeur , la présidente de la sous-commission des « droits de l’homme » du Parlement Européen Marie Arena, fervente « défenseur » des organisations liées au terrorisme international comme Rachad et Al Karama. Cette même Marie Arena avait permis au terroriste Rachid Mesli de prendre la parole devant les eurodéputés et à été à l’origine de la résolution condamnant l’Algérie sur la question des droits de l’homme en novembre 2020.

Il convient de rappeler, que Patrick Baudoin avait été à l’origine de l’emprisonnement arbitraire des deux GLD les frères Abdelkader et Hocine Mohamed et qui réussirent après une longue bataille judiciaire à vaincre un autre terrorisme, après celui de la GIA . Les deux GLD ont vaincu le terrorisme des marchands des droits de l’homme, tel que Patrick Baudouin.
Une longue bataille judiciaire qui  se termine en France au profit des deux patriotes algériens..  Le tribunal judiciaire de Paris a accordé des réparations à Abdelkader et Hocine Mohamed qui ont échappé de justesse à la cour d’assises.
Le tribunal a reconnu un «fonctionnement défectueux du service public de la justice» et a condamné l’État français  à payer des dommages de 7 000 euros à chacun des frères. Au total, ce dossier aura duré 17 ans, depuis son ouverture en 2003.

Patrick Baudoin s’était non seulement spécialisé dans le fonds juteux des « droits de l’homme’ mais aussi de la défense sélective des droits  de l’homme. Et ce n’est pas le mouvement BDS qui va nous démentir.

Il convient de rappeler à ce sujet, le procès initié et engagé par la LDH contre Saadia et Hussein, deux militants du BDS 34 (Boycott Désinvestissement Sanction contre l’état d’Israël) en 2015, cette organisation de défense des droits de l’Homme n’a eu aucune réticence à plaider aux côtés de la LICRA, du BNVCA de l’extrémiste sioniste Samy Gozlan, et d’« Avocats sans Frontières » de Gilles-William Goldnadel, ces appendices de la terreur israélienne.

En matière de démocratie, la LDH parisienne, et son président Patrick Baudouin sont loin de donner des leçons aux autres pays du monde, puisque non seulement ils ont étouffé localement la voix de leur propre section, celle du Groupe de réflexion LDH « Saint-Pons-de-Thomières-Hauts », qui a dénoncé les manœuvres de leur propre organisation, dans ce procès politiquement orienté, mais aussi le harcèlement du militant José Louis Moraguès, du mouvement « Boycott Désinvestissement Sanctions ».

 

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