La fuite de la très controversée Amira Bouraoui, vers la Tunisie malgré sa mise sous contrôle judiciaire et l’ISTN qui la frappe, pour rejoindre la France , ne laisse aucun doute sur les intentions de Paris à éviter l’effondrement de ses « poulains » en Algérie.
La grande mobilisation des autorités françaises pour rapatrier Amira Bouraoui, menacée d’expulsion vers l’Algérie, est révélatrice sur le plan des autorités françaises de reconstituer une nouvelle « opposition » à partir de son territoire. Les médias de l’hexagone n’ont pas tardé à souligner qu’Amira Bouraoui est désormais « sous la protection des autorités françaises ». D’ailleurs, les néocolonisés comme Khaled Drareni ou le makiste Ainouche n’ont pas tardé à se réjouir de l’intervention française pour rapatrier Bouraoui.
La mobilisation française pour rapatrier Amira Bouraoui, survient quelques heures après la fuite d’un autre larbin dénommé Afifi Abderrahmane, qui n’hésitait pas à s’afficher avec les présidents français Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron
Ces derniers bouleversements interviennent suite à la mise en détention préventive de Kadi Ihsene, ancien patron de la Radio.M bénéficiaire de financement étranger et la dissolution de la LADDH dont les responsables sont à l’étranger et demandeurs d’asile en France et en Belgique. Dans le même cadre, des bruits circulent sur l’organisation d’un plan de « fuite » de certains agitateurs et membres d’associations inféodées aux officines étrangères.