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Quand le Makhzen mendiait la « marocanité » du Sahara Occidental auprès de l’entité sioniste

Selon le site d’information américain Axios, Rabat conditionne l’ouverture d’une ambassade à Tel-Aviv par la reconnaissance de la « marocanité » du Sahara Occidental par l’État hébreu, illustrant bien la nature d’un régime aux abois, qui ne cesse de demander l’aumône à un régime d’Apartheid qui n’a jamais respecté ses engagements, et qui de facto continuera à « sucer » le Maroc, jusqu’à ce qu’il devienne totalement sous tutelle.
Les dirigeants palestiniens signataires des Accords d’Oslo, en connaissent quelque chose et l’arrivée au pouvoir en Israël, confirmera la nature du régime expansionniste de l’entité sioniste. D’ailleurs, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ministre de la sécurité intérieure Itamar Ben Gvir, qui vient d’ailleurs d’envahir l’esplanade de la Grande Mosquée d’Al Aqsa, dans la ville sainte d’Al Qods, dont le commandeur des croyants se réclame être président du Comité d’Al Qods, s’apprête à recoloniser les territoires palestiniens, prouvant encore une fois que le régime d’Apartheid ne respecte jamais ses engagements .

Le Maroc a été déjà dupé par le fameux « tweet » de l’ancien président américain Donald Trump, ouvrant la voie au régime de Makhzen de rejoindre les signataires des Accords d’Abraham, et qui seront bientôt confrontés à la réalité amère de la recolonisation des territoires palestiniens, prônée par le gouvernement raciste de l’extrême droite israélienne.

Diplomatie marocaine, de mal en pis

Échouant à se mettre au diapason des enjeux internationaux, la diplomatie marocaine, dirigée aujourd’hui par le soldat du Likoud Nasser Bourita recourt aux pratiques de « voyoutisme » pour s’illustrer, comme l’indiquent le comportement indigne du chef de la diplomatie marocaine à Alger à la veille du dernier sommet arabe, et celui de l’ambassadeur marocain à l’Union Africaine en l’occurrence Mohamed Arrouchi qui vient de susciter l’indignation des diplomates africains lors de la réunion du parlement africain, tenue vendredi dernier à Pretoria en Afrique duu Sud où il avait insulté l’ambassadeur sahraoui en Afrique du Sud. L’ancien représentant du Maroc à l’ONU emboîte le pas à son successeur Omar Hilale, connu pour de tels comportements devenus sport favori de la diplomatie du Commandeur des croyants.

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