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Les défenseurs du terrorisme et du lobby sioniste, au secours des ONG dissoutes en Algérie

Face aux retentissants succès réalisés par l’Algérie; depuis la tenue de l’élection présidentielle de décembre 2019, ayant mis fin aux illusions de la période de transition synonyme d’instabilité politique, les officines étrangères hostiles à l’Algérie, soutenues par leurs supplétifs, n’ont pas chômé pour mettre le pays des martyrs à genoux.
Jusqu’à ce jour l’union sacrée entre le Peuple et ses institutions ont permis à l’Algérie de retrouver son statut d’Etat souverain très respecté. Si l’Algérie a réussi jusqu’à ce jour à déjouer tous les plans de déstabilisation, il en demeure que les forces du mal n’ont pas abdiqué.
Pour mieux résumer cette situation, il est nécessaire de revenir sur la dernière tentative concoctée par le lobby sioniste, via la sortie des ONG ayant déjà soutenu le terrorisme en Algérie durant la décennie noire. il s’agit de la Ligue des Droits de l’Homme LDH, la Fédération Internationale des Droits de l’Homme FIDH et l’Organisation mondiale contre la torture OMCT. Une nouvelle tentative qui survient quelques jours après les élucubrations de l’ambassadeur de France en Algérie Xavier Driencourt.
Ces trois ONG connues en Algérie via leurs hostilités et campagnes de dénigrement contre l’Algérie via le slogan « Qui Tue Qui » repris par leurs supplétifs et ONG récemment dissoutes via  » Madania Machi Askaria »,viennent de diffuser ce vendredi un communiqué plein de contre-vérités sur la situation des droits de l’homme en Algérie dont le but de porter assistance à leurs instruments propagandistes et succursales droitdelhommistes, mises hors d’état de nuire, par une Algérie soucieuse de sa souveraineté et son devenir, loin des agendas étrangers.
Les droits de l’homme garantis par la constitution algérienne

D’ailleurs et sans surprise , l’Algérie a été élue en octobre dernier à une écrasante majorité L’Algérie  membre du Conseil des droits de l’Homme (CDH) des Nations unies pour la période 2023-2025, en reconnaissance à son rôle de pays pivot dans sa région, soucieux de promouvoir les principes et valeurs des droits de l’Homme dans le monde.

L’Algérie avait récolté 178 voix au cours du scrutin qui s’est déroulé à New York lors de la 17ème séance plénière de l’Assemblée générale de l’ONU. Ceci intervient, dans le sillage de la consécration du respect des libertés individuelles et collectives et des droits de l’homme par la Constitution Algérienne adoptée le 1er novembre 2020.

Dans le même cadre, il faut rafraîchir la mémoire des marchands des droits de l’homme que les services algériens de sécurité ont protégé le Hirak béni durant près d’une année, réussissant à déjouer les plans de ceux qui travaillaient pour son détournement au profit de l’agenda étranger. Et parmi ceux qui travaillaient pour cet objectif les associations dissoutes par la justice algérienne à savoir le RAJ , LADDH et SOS Disparus qui aurait dû être dissoute après l’adoption de la Charte pour la Paix et la Réconciliation Nationale adoptée par le Peuple Algérie par voie référendaire. Un processus qui devint un modèle à suivre par de nombreux pays pour mettre fin à la violence et l’instabilité politique et sécuritaire dans leurs pays. Ces mêmes ONG dont le financement étranger n’est plus à démontrer , comme l’a bien présenté l’auteur et chercheur algérien Ahmed Bensaada dans son article (L’Algérie face à l’Union européenne et ses lobbys)

D’ailleurs, la loi aux  Etats-Unis d’Amérique qualifie celui qui touche de l’argent de l’étranger de « traitre à la Nation » et autorise en même temps son organisme la NED à financer des ONG étrangères pour la concrétisation de sa stratégie de l’exportation de la démocratie et de ce qui est appelé Regime Change. Une stratégie qui vise essentiellement les pays souverains qui refusent l’hégémonie occidentale ou d’être dans le giron américano-sioniste.

Des ONG, orphelines de Maria Arena 

Si la Cour Européenne des Droits de l’Homme CDH était bien à la solde de l’Open Society, chère à Georges Soros, parrain de l’exportation de la démocratie via Freedom House, il en demeure que les ONG et associations qui activaient en Algérie, au même titre que la LDH, la FIDH ou  OMCT sont orphelines de Maria Arena, présidente e la sous-commission des droits de l’homme au parlement européen, et qui les soutenaient aveuglement pour condamner l’Algérie via deux résolutions adoptées en 2020 et 2021. Deux résolutions qui s’évaporent dans le sillage du scandale de corruption qui éclabousse le parlement européen et révèle au grand jours des eurodéputés soudoyés par le régime du Makhzen et son mentor israélien.

D’ailleurs, il n’est pas surprenant que Rachid Mesli; l’un des dirigeants de l’organisation terroriste Rachad et membre de l’ONG Al Karama dont le financier Al Nuaimi inscrit sur la liste des personnes soutenant le terrorisme international, soit invitée par le parlement européen et Maria Arena Pour critiquer la situation des droits de l’homme en Arabie Saoudite, Egypte et Algérie, sans souffler un mot sur les massacres quotidiens des palestiniens.

Les ONG et le génocide du Peuple Palestinien

La nouvelle sortie mensongère et hostile de LDH, FIDH et OMCT à l’égard de l’Algérie révèle encore une fois les accointances de ces ONG avec leur employeur le lobby sioniste et ce n’est pas le mouvement BDS qui va nous démentir. Sur ce registre, il faut rappeler, que la LDH avait porté plainte en 2014 contre deux militants de BDS, sur instigation des succursales des lobbys sionistes dont le CRIF.

L’insistance de l’Algérie à faire revenir la question palestinienne au devant de la scène internationale que le président Tebboune qualifie de cause algérienne, est loin de plaire aux israéliens et leurs fantoches qui n’ont pas lésiné sur les moyens pour enterrer la cause d’un Peuple qui lutte contre l’injustice internationale depuis 76 ans. La réussite du sommet arabe d’Alger, succédant à un processus de réconciliation inter-palestinienne a mis à nu le vrai visage de l’entité sioniste. Un régime d’Apartheid gouverné aujourd’hui par une extrême droite et qui mène une guerre d’extermination du Peuple Palestinien pour le chasser de ses terres.
Patrick Baudouin, le défenseur des égorgeurs du GIA
Evoquer la Ligue des Droits de l’Homme, ou la Fédération Internationale des Droits de l’Homme FIDH ,c’est bien entendu évoquer le nom de son président d’honneur et avocat Patrick Baudouin qui n’avait jamais abdiqué pour ternir l’image de l’Algérie et son ANP. Ses mensonges et contre-vérités ne lui ont jamais permis de gagner un seul procès contre l’Algérie malgré les soutiens propagandistes mis à sa disposition par le lobby sioniste et néocolonial. Il a été débouté lors du procès contre l’ancien ministre de la Défense Nationale Khaled Nezzar et aussi contre les deux GLD de  Relizane.

Aujourd’hui, ni LDH, ni FIDH ni OMCT, ne peuvent décourager les algériens à aller de l’avant en matière d’édification d’une Algérie souveraine dans ses décisions et ses positions à commencer par le soutien indéfectible aux causes palestinienne et sahraouie. Les masques des marchands des droits de l’homme, sont déjà tombés, comme c’est le cas pour les eurodéputés du parlement européen, à l’instar des marchands des fonds macabres rattrapés par le cours de l’histoire. A bon entendeur.

 

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