Il n’y a aucun doute, la Confédération Africaine de Football dirigée par le sud-africain Patrice Motsepe, est à la solde de la fédération de football royale marocaine dirigée par Fewzi Lakdjaa. Une CAF qui ne défend plus le droit international, considérant les territoires du Sahara occidental comme territoires inscrits dans la 4ème commission ad hoc de décolonisation de l’ONU. Des territoires sahraouis concernés par les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU, exigeant un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.
A travers sa partialité au représentant marocain de la Renaissance Sportive de Berkane; la CAF confirme qu’elle est un instrument de la propagande du régime du Makhzen, en violant les chartes de la FIFA et du mouvement olympique interdisant le port sur les maillots de symboles politiques idéologiques , religieux et ethnique.
Ce parti pris, survient après l’attribution de la CAN 2025 au régime du Makhzen même s’il n’est pas encore comme l’attestent les informations sur un report à janvier 2026, faute à des installations sportives et d’accueil, non prêtes, et qui n’ont rien à voir avec la tenue du mondial des clubs en été 2024.
Le scandale de l’attribution du gain du match au représentant makhzenien, aura des conséquences sur la crédibilité de la CAF, et son implosion est une question de temps, si des actions ne sont pas effectuées pour se débarrasser de cette caste corrompue à la solde de Fewzi Lakdjaa. L’Algérie n,’a pas encore dit son dernier mot, à commencer par une action urgente auprès du TAS. La guerre contre la corruption au sein de la CAF ne fait que commencer.