Le Mausolée Saint-Patron Sidi El Houari n’a plus les faveurs de nos responsables politiques et locaux.
C’est l’Association Santé Sidi El Houari SDH, dont le siège se trouve à quelques encablures du Mausolée, qui attire l’attention des responsables du pays, après le conseiller du président, chargé du mouvement associatif et de la communauté algérienne à l’étranger Nazim Beramdane, c’est au tour de la ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda de venir s’enquérir des prouesses de l’association créée en 1991, liées aux facettes du patrimoine
SDH et l’histoire de la pétition du parlement européen
Beaucoup de questions entourent l’activité de SDH, « accusée » d’avoir signé la pétition à l’origine de la résolution du parlement Européen condamnant l’Algérie sur le registre du respect des droits de l’Homme, le 26 novembre dernier.
Les Beramdane, Bendouda, sont-t-ils informés de cette histoire, qui porte atteinte à l’image du pays qu’ils représentent, ou bien sont-ils venus réhabiliter l’image de cette association, qui n’a rien livré aux oranais en matière de restauration.
La dernière convention signée par la SDH avec l’UNICEF suscite la curiosité dans la mesure où l’instance internationale s’occupe essentiellement et spécialement des affaires liées à la protection de l’enfance et non au patrimoine du ressort de l’UNESCO. Au docteur Breksi, et ancien élu de l’APC d’Oran de nous éclairer sur ce sujet.
Inauguration du PACO, dont la réhabilitation est inachevée
Par ailleurs, nous avons appris que la ministre de la culture a procédé ce samedi à l’inauguration du palais de la culture d’Oran PACO, dont la réhabilitation est inachevée. Malika Bendouda souhaitait inscrire son nom sur la plaque, pour marquer son empreinte et passage à Oran ; comme nous l’a confié une source proche du ministère. Ce qu’elle n’a pu faire avec le directeur qu’elle avait limogé dernièrement. Les responsables de la wilaya d’Oran le savent bien. A bon entendeur