Plus de deux années après la prise de fonction , d’Abdelmadjid Tebboune, il convient de relever les transformations durables que le président Tebboune, a apporté à l’ordre politique algérien.

Il a très vite fait de l’institution présidentielle, longtemps, prise en otage par les forces extraconstitutionnelles, le véritable centre de gravité de l’exercice du pouvoir.

L’ancien ordre a été décapité, pour laisser place à des institutions, pérennes et légitimes à la hauteur des aspirations des Algériens. L’Algérie nouvelle, est désormais sur rail, malgré, les lenteurs de certaines transformations, mais, il fallait compter sur la détermination du président Tebboune, à s’affranchir d’une gouvernance des plus contraignante, d’une autre époque qui a failli conduire le pays vers l’irréparable.

Aujourd’hui, la majorité, des clignotons ne sont plus au rouge, les principaux secteurs ont le vent en poupe. La gouvernance mise en place par le président de la République, est unanimement considérée comme étant l’avènement d’une nouvelle forme de gestion des affaires de la maison Algérie. Rien n’est laissé au hasard par le président, qui est entrain d’introduire les mots << méritocratie>> et << excellence>> dans la gouvernance. Le président Tebboune, a tenu parole en concrétisant, ses 54 engagements, malgré les << imprévus>>. La majorité des présidents dans le monde, sont jugés sur leur capacité dans les premiers dix huit mois de leur mandat, à apporter les changements et aussi sur leur capacité à tenir leurs promesses électorales, et sur ce plan le président Tebboune émerge du lot…