Par Mohamed El-Abassi

Depuis deux jours voilà que les déjections nauséabondes de Xavier Driencourt, à peine enrôlé par « Thomas Moore »,  un think-tank financé par le Makhzen, que la propagande marocaine se délecte de son goût délicieusement digeste au gout du Palai(s) royal et au flair reniflant et bassement flatueux jusqu’à l’enivrement.   

La montée au créneau sur toutes les chaines publiques et sur les colonnes des journaux à choux marocains font l’éloge d’un déversement haineux ciblant l’Algérie, ses institutions et sa politique de principe. La machine mensongère du Makhzen est enclenchée à grand renfort de faux experts et de spécialistes mobilisés pour médire de l’Algérie, donner raison à Driencourt, se pavaner dans l’autocongratulation et tirer, à bout portant, sur Macron pour avoir privilégier, selon ces sources taries et tarées, d’avoir préférer l’Algérie au Maroc.

Puéril et enfantin comme construction propagandiste pour convaincre la France d’un retournement de veste comme on changerait un fusil d’épaule, et in fine, l’implorer à revenir à de bons sentiments avec le Maroc et reconnaitre son fait colonial au Sahara Occidental. Rien que cela !

Tout est mis par le déchainement démentiel de la propagande marocaine pour faire feu de tout bois pourvu qu’elle assaille l’Algérie de tous les maux et tous les tords. Une feuille de route préméditée comme un coup de couteau aussi aiguisé que venimeux pendant qu’il n’y a pas longtemps le roi M6 se disait tendre la main de la fraternité et du dialogue. Il le rééditera certainement à l’occasion de la prochaine fête du trône, s’il pourrait d’ici là, articuler.

Les algériens ne sont pas méchants dans leur ADN, mais ils peuvent l’être atrocement quand on s’attaque à eux.

Nous avons et savons rendre la pièce de la monnaie de ceux qui osent tenter nous nuire, à nos institutions et à notre patrie. Celle-ci est sacrée parce qu’en cette fête de l’indépendance et de la jeunesse, nous sommes spécialement fiers et à fleur de peau d’un patriotisme débordant et c’est notre droit de l’être et le de rester malgré et envers et contre tous.

Nous n’avons qu’un Président d’une certaine  Algérie Démocratique et populaire et nous sommes fiers de notre vécu sous cette gouvernance contrairement à une certaine monarchie qui s’est auto-érigée en un Emirat des mouminines.

Tout le reste ne nous importe !