Par Arezki Belkacimi
Ce mardi 28 mai, l’atmosphère de l’Assemblée nationale française a été agitée, houleuse. Après que le député LFI Sébastien Delogu a brandi en pleine séance un drapeau palestinien dans l’hémicycle, une dispute a éclaté entre les députés LFI David Guiraud et Meyer Habib, apparenté LR. Alors que David Guiraud répondait à des questions de la presse au sein de l’Assemblée, le député Meyer Habib est intervenu pour prendre à partie les journalistes interrogeant son collègue. «Comment vous leur donnez la parole ?», a-t-il répété à tue-tête, surexcité.
«A qui tu parles ? On n’a pas élevé les cochons ensemble», a réagi Meyer Habib. «C’est toi le cochon», a répondu David Guiraud. Le ton est alors rapidement monté entre les deux députés. «Ces gens n’en ont rien à faire. Ce monsieur est un porc. Il défend un génocide depuis le début. Il fait honte à la France», a insisté David Guiraud devant les caméras, Meyer Habib le traitant, en réponse, de «pourriture».
Les deux députés sont fautifs. Le premier, pour avoir signifié à son collègue qu’il n’avait pas élevé de cochon. Le second, pour l’avoir taxé de porc.
En effet, Meyer Habib n’a jamais élevé de cochons. Et pour cause. Il est trop moralement répugnant et politiquement immonde pour prétendre s’accointer avec les nobles cochons. Si les cochons pouvaient parler, ils diraient à Meyer Habib : «Nous n’avons pas élevé les sionistes ensemble».
Comme disent les amateurs de la viande porcine, «tout est bon dans le cochon». A contrario, tout est mauvais et abject dans le sionisme.
C’est donc injurier les porcs que de qualifier l’immonde Meyer Habib de porc. C’est porter atteinte à la dignité de la race porcine que d’assimiler le sioniste Meyer Habib au porc. Habib, grossier personnage, est un pur produit du sionisme.
Si la race porcine, qui existe depuis la nuit des temps, fait partie de la nature, l’immonde sionisme, une création européenne récente, n’appartient pas à la noble humanité. C’est une excroissance pestilentielle fabriquée par le corps politique et étatique occidental.
Si le porc régale le palais des consommateurs de viande porcine, le sionisme, lui, à sa seule énonciation, fait gerber. Donne des nausées.
Si le cochon se prête naturellement à la domestication, le sionisme, lui, est une entité criminogène indomptable. Il est sans foi ni loi.
La domestication de porcs, intervenue à la naissance de l’agriculture, a été faite dans deux foyers indépendants 8 000 ans avant Jésus-Christ au nord de la Mésopotamie et en Chine. En peu de temps, le porc a été domestiqué. Il s’est depuis apprivoisé à l’homme.
En revanche, le sionisme demeure une idéologie suprémaciste indéfectiblement farouche. Car, par essence, barbare. C’est une idéologie étrangère à l’humanité «normale». C’est pour cette raison qu’elle est partagée uniquement par des hommes et femmes congénitalement racistes, suprémacistes, cruels, sanguinaires et génocidaires.
Pour toute l’humanité «normale», saine d’esprit, le sionisme demeurera toujours impur. Une pure folie. Car c’est une idéologie qui se nourrit d’immondices doctrinales, s’alimente rituellement de la chair des populations civiles palestiniennes bestialement colonisées.
Donc, l’humanité normalement constituée ne mangera jamais de ce pain sioniste. Elle préférera se mettre à idolâtrer le porc plutôt qu’à se convertir au sionisme. Pour les adeptes de l’abstinence du porc, notamment les musulmans, manger du porc plutôt que de s’attabler avec un sioniste, à plus forte raison avec un sioniste de l’espèce de Meyer Habib, apologiste de l’Etat nazi d’Israël et du génocide des Palestiniens.
Arezki Belkacimi